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Inspi film d'horreur

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Les catégories de film. «Ghostwach», le faux documentaire d’Halloween qui a traumatisé l'Angleterre. Le site Mental Floss revient dans un article passionnant et détaillé sur un faux documentaire diffusé le 30 octobre 1992 sur la BBC.

«Ghostwach», le faux documentaire d’Halloween qui a traumatisé l'Angleterre

«Après avoir déclenché plus de 20.000 appels, un accouchement, et des milliers de lettres enragées, l'équivalent du CSA britannique a convoqué une audition. Le 27 juin 1995, ils ont déterminé que les producteurs de “Ghostwatch”, avait délibérément “cultivé une sensation de menace”. En d'autres termes, la BBC avait été reconnue coupable d'avoir fait bien flipper onze millions de personnes.»

Ce soir-là, la chaîne britannique avait diffusé un mockumentaire sur une famille vivant dans une maison apparemment hantée où un fantôme refusait de partir et terrorisait la famille. Histoire de faire les choses bien, les producteurs avaient fait venir des animateurs familiers pour présenter le programme, et seul un des crédits indiquait que l'émission avait été écrite par un scénariste. Creepypasta from the Crypt: À propos. ♦ La prudence nous commande de conseiller aux enfants et aux personnes sensibles de passer leur chemin.

Creepypasta from the Crypt: À propos

Tout le monde a droit au frisson et nous sommes bien les derniers à vouloir vous en priver, de plus la majorité des textes publiés demeurent relativement tout public. Toutefois, prenez bien en compte que le sentiment que tel ou tel contenu peut provoquer dépend autant de la creepypasta elle-même que de son lecteur, et quelques-unes sont susceptibles de choquer profondément certaines personnes, selon leurs expériences ou leurs ressentis propres. Vous voilà prévenus ! ♦ Les contenus de ce site ne garantissent aucunement leur authenticité. Les histoires postées ici ont simplement été choisies (et parfois traduites) pour leur capacité à faire peur ou pour l'amusement qu'on a à les lire, pas pour leur véracité (ou leur semblant de). Le mot Creepypasta est un dérivé du mot "Copypasta" qui est un argot anglais pour désigner le copier/coller. Le mec raccroche un peu paniqué. Bonne nuit ! Entre « screamers » et « creepypastas », sur Internet, c’est tous les jours Halloween.

Avec le Web, les histoires d’horreur ont connu une révolution.

Entre « screamers » et « creepypastas », sur Internet, c’est tous les jours Halloween

Adaptations, remix, vidéos, jeux vidéo… Les règles pour jouer à se faire peur ont changé en une dizaine d’années. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Damien Leloup et Florian Reynaud A nos lecteurs : cet article contient des vidéos et images déconseillées aux plus jeunes et aux âmes sensibles. Les personnes l’ayant lu sans tenir compte de cet avertissement ont toutes connu d’étranges sueurs froides, de mystérieuses insomnies et une augmentation inexpliquée de leur rythme cardiaque. « Cette vidéo musicale vous expliquera tout sur les messages subliminaux, concentrez-vous bien sur les paroles et montez le volume de vos enceintes. » Cette phrase pourrait être tirée de n’importe quel site tentant de titiller la curiosité de ses lecteurs, mais il n’y a aucun message subliminal dans cette vidéo.

Selon le site spécialisé Know Your Meme, le premier screamer est apparu en 2003. Des histoires sans cesse copiées et diffusées. Comment les scientifiques produisent des fantômes. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Nathaniel Herzberg Faut-il être malade pour voir des fantômes ?

Comment les scientifiques produisent des fantômes

Maupassant et son Horla, Hoffmann dans ses contes ou Poe dans ses nouvelles semblaient assez hésitants sur le sujet. Depuis qu’en juin 1970, alors qu’il redescendait épuisé du Nanga Parbat, dans l’Himalaya, en compagnie de son frère, Reinhold Messner a éprouvé le sentiment qu’« il y avait un troisième grimpeur avec nous, un peu sur ma droite, quelques pas derrière moi, juste en dehors de mon champ de vision », l’alpiniste italien a compris que des conditions extrêmes pouvaient engendrer cette impression a priori inexplicable. Une équipe de l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) vient de montrer qu’un tel « sentiment de présence » pouvait être généré en laboratoire, à l’aide d’un robot, par la simple perturbation du mécanisme de perception spatio-temporelle. Elle publie dans la revue Current Biology un article décrivant ce dispositif.