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PRESSE CITOYENNE

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Courant Communiste International | Prolétaires de tous les pays, unissez-vous! Il ya 100 ans, l'humanité se tenait au bord de l'abîme, sur le point de plonger dans la saignée la plus terrible que l'histoire n'a jamais vue. Pendant des générations après la Grande Guerre, les années 1914-1918 étaient synonymes de meutre insensée, d'un gaspillage abominable de la vie dans l'horreur des tranchées, pour lequel les populations meutries ont rendu les gouvernements et les classes dirigeantes largement responsables. Cent ans plus tard, commémorer la guerre est donc quelque peu gênant pour ces mêmes classes dirigeantes. Il se préparent donc à nous noyer dans une océan de futilités, et des hymnes à l'unité nationale face à la souffrance de la guerre. Ils éviteront, à tout prix, toute mention des véritables causes de la guerre: l'expansion impérialiste inexorable du capitalisme à travers la planète. Surtout ils éviteront toute mention de l'idée que la seule force qui aurait pu arrêter net la guerre, en 1914 comme aujourd'hui, était le prolétariat.

Crise mondiale : « Nous sommes revenus quelques années avant 1914… » - Capitalisme. Photo : « No futur ? » (© source) En dégradant la notation de crédit des États-Unis, c’est un véritable séisme que l’agence de notation américaine Standard’s and Poors a provoqué au cœur de l’été. Une nouvelle phase de la crise financière de 2007, suite à l’explosion de la bulle immobilière des subprimes américaines, s’est ainsi ouverte, posant de redoutables questions pour l’avenir. Crise des dettes souveraines, explosion de la dette publique américaine et incapacité des gouvernements occidentaux à assurer la réduction des déficits publics en même temps que la relance des économies se conjuguent désormais, dans un contexte international marqué par la montée en puissance des contradictions géopolitiques, pour déchaîner la spéculation sur les marchés financiers. Ces derniers ont parfaitement saisi l’impasse dans laquelle se sont enfermés les gouvernements européens, l’Allemagne de Mme Merkel et la France de M.

Basta ! Quelles seraient ces mesures d’urgence ? Et côté financier ? Décès d'un des Indignés liégeois - RTBF Regions | Belgian Revolution. François Asselineau et l’arnaque des privatisations. Sous le sirop lénifiant, l'UE reconnaît le défaut de paiement de la Grèce. Donc ils viennent de “sauver” une nouvelle fois la Grèce ! La première fois, c’était en 2010, 110 milliards d’euros, flop total !

La seconde fois, en catastrophe, il y a quelques jours, une ou deux semaines tout au plus, je ne sais même plus la somme tant les milliards d’opérette valsent à n’en plus pouvoir. Bide ! Et fiasco annoncé encore, cette fois-ci. Sous le sirop lénifiant des promesses qui n’engagent que ceux qui y croient, ils viennent purement et simplement de reconnaître l’état de défaut de paiement (« partiel », qu’ils disent ! ) du moribond. Un aveu de déconfiture Quelle pitoyable farce !

L’accord officiel prévoit, avance-t-on, une aide de 158 nouveaux milliards d’euros pour tenir hors du marigot la tête de ce socialiste dépravé qu’est Papandréou. Rien n’est réglé Bien sûr, en sous main, ils font tout pour sauver la mise à leurs commanditaires, les banques privées. Quant à faire payer le commun du mortel, sûr qu’ils vont essayer ! Il ne va rien de passer, combien on parie ?

La Grèce aime les armes, pourvu que le peuple s'en empare... - wikistrike.over-blog.com. La Grèce aime les armes, pourvu que le peuple s'en empare... « Cachez ce scandale que je ne saurai voir ! » pourraient s'exclamer, en s'adressant au gouvernement grec, bien des Tartuffe de la (fausse) rigueur budgétaire ou du (pseudo) respect des engagements contractuels. Car il en va ainsi, celles et ceux qui, actuellement, donnent des leçons aux Hellènes eu égard l'importance de leur dette publique sont les mêmes qui, plus que largement, ont contribué à sa croissance et à son importance.

Quel est ce scandale ? Ce scandale est celui de l'origine comme de la structuration de la dette publique grecque qui, pour partie, présente un « côté obscur », celui du poids des dépenses militaires. Conséquence de ce qui précède, les faux dévots de la discipline budgétaire se recrutent parmi les grands exportateurs d'armes, au premier rang desquels on retrouve les USA mais, également, l'Allemagne et la France. On insistera particulièrement sur le comportement des deux derniers.

Mais ceci n'est rien. Debtocracy. Les Indignés bruxellois sont-ils à la hauteur de leurs ambitions ? Ces dernières semaines, j'ai consacré une dizaine d'articles à l'actualité du mouvement dit des "Indignés". Pour ce faire, je me suis déplacé à Bruxelles, à Paris et à Barcelone avec comme objectif d'aller à leur rencontre, mais surtout d'observer, d'analyser et de m'imprégner de ce pour quoi ces citoyens se mobilisent. Parce qu'il est clair que voir des gens descendre dans les rues, se rassembler spontanément et pacifiquement, prendre délibérément le risque d'être les victimes de coups de matraques, de gaz lacrymogène ou de subir des arrestations arbitraires, est tout sauf anodin.

Les voir assumer publiquement leur vérité profonde et leur colère, planter leur tente sur des places publiques, y implanter une cuisine et des ateliers, y organiser des assemblées populaires, des bibliothèques, des commissions et des activités est tout sauf inintéressant. Néanmoins, j'ai à coeur de préserver ma position d'observateur. Mais je ne la conçois qu'impliquée au coeur du sujet. 1. 2. 3. 4. 1. 2. 3. Naissance du syndicalisme en Europe. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le syndicalisme sous sa forme moderne est né en Europe dans les années 1880, résultant de la Révolution industrielle, de ses changements démographiques, politiques et surtout idéologiques[réf. nécessaire]. Mais le phénomène syndical européen n'a pas abouti à un syndicalisme européen unifié. Il a suivi différentes directions et les pensées syndicales britannique, allemande ou française élaborée dans les années 1880 – réformiste, révolutionnaire, politisée – se sont prolongées au XXe siècle.

La naissance du syndicalisme européen[modifier | modifier le code] Contexte[modifier | modifier le code] Concentration industrielle et démographique[modifier | modifier le code] On assiste durant le XIXe siècle à une forte croissance de la population totale : 85 % par demi-siècle pour le Royaume-Uni, 50 % pour l'Allemagne et 20 % pour la France[réf. nécessaire].

La condition ouvrière[modifier | modifier le code] Rezonance. Medium4You.be.