Un astéroïde de la taille d'un bus a frôlé la Terre. Par Francetv info avec AFP Mis à jour le , publié le Une collision évitée de justesse.
Un astéroïde de la taille d'un bus a frôlé la Terre vendredi 27 janvier, ont indiqué les experts du Minor Planet Center, un organisme qui traque ces objets dans le système solaire. L'astéroïde, baptisé 2012 BX34, mesurait entre six et 19 mètres de diamètre. Sciences : Protéger la Terre contre la chute d'un astéroïde. INFOGRAPHIE ANIMÉE - L'Union européenne finance l'étude de trois méthodes pour dévier la trajectoire de corps célestes menaçant notre planète.
Le scénario catastrophe de l'énorme astéroïde qui percute la Terre de plein fouet a surtout fait le bonheur des scénaristes de science-fiction à Hollywood. Mais si les probabilités d'un tel cataclysme sont très faibles, les conséquences sont tellement élevées (destruction d'une région ou d'un pays entier selon la taille et la vitesse du bolide) qu'un petit groupe international de scientifiques a lancé un programme d'étude très sérieux pour essayer d'éviter l'impact d'un «corps géocroiseur», les 8.000 astéroïdes et comètes connus qui passent régulièrement à proximité de notre planète. La première méthode est très simple dans son principe: on envoie une sonde spatiale percuter à toute vitesse l'astéroïde. Dans le détail, les difficultés sont nombreuses et vont faire l'objet d'études détaillées. Un engin spatial hyperfiable. Première découverte d’une autre Terre.
On cherchait une autre Terre.
Ils en ont trouvé deux. Dans un article publié, mardi 20 décembre, par la revue Nature, une équipe internationale de chercheurs exploitant les données de l’observatoire spatial Kepler de la NASA (que montre la vue d’artiste ci-dessus) a annoncé la découverte de deux planètes extrasolaires de taille comparable à celle de la Terre. Ces deux objets appartiennent à un système à cinq planètes tournant autour de Kepler-20, étoile située à un peu moins de 1 000 années-lumière de nous et très semblable à notre Soleil, quoique légèrement moins massive, moins chaude et moins lumineuse que lui. Sur ces cinq astres, trois sont des mini-Neptune et deux des cousins de la Terre. Ce jeune astronome français de 33 ans, expatrié aux Etats-Unis au Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics de Cambridge (Massachusetts), est le premier auteur de l’étude publiée dans Nature.
La vie dans le sous-sol de Mars ? Possible, démontrent des chercheurs ! Les futurs explorateurs de la planète Mars devront peut-être se faire spéléologues, comme la géomicrobiologiste Lisa Pratt, ici dans une mine canadienne.
En 2006, elle a étudié des populations bactériennes dans une mine d'or d'Afrique du Sud, vivant au sein de roches irradiées par de l'uranium. © Lisa Pratt La vie dans le sous-sol de Mars ? Possible, démontrent des chercheurs ! - 2 Photos À lire : l'eau liquide, source de vie dans l'univers Sur la surface de Mars, où la température reste très basse (environ -60 °C en moyenne) et où la pression n’atteint à peu près qu’un millième de celle que nous connaissons au niveau de la mer, l’eau ne peut exister que sous forme de glace. Sur Terre, des micro-organismes peuvent vivre jusqu’à des profondeurs de plusieurs kilomètres.
Qu’en est-il sur Mars ? Des astronomes captent les premières images d'une étoile "cannibalisée" Ce sont les premières images d'une étoile "cannibalisée" par sa compagne stellaire.
Grâce à un télescope virtuel de 130 mètres de diamètre alliant deux instruments de mesures installés au Chili, des astronomes d'un institut de recherche de Grenoble et de l'Observatoire européen austral ont pu observer avec une précision "inédite" la SS Leporis, un système d'étoiles binaire "atypique", explique le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) dans un communiqué. Les astronomes suspectent l'étoile la moins évoluée de "cannibaliser" sa compagne vieillissante, une géante rouge et froide, paradoxalement moins massive. Kepler-22b, une nouvelle planète habitable découverte par la NASA. La Nasa confirme l'existence d'une troisième exoplanète "habitable" Mars : les Terriens passent à l'attaque. Branle-bas de combat pour conquérir la planète rouge.
Puisque Mars ne passe pas à l'attaque, Russes et Américains ont, en moins de quinze jours, fait feu. D'abord, les Russes, le 9 novembre avec la mission Phobos-Grunt-1. Mais la sonde spatiale, sitôt après son envol, est restée collée sur une orbite terrestre. Si ce n'est déjà fait, elle va inexorablement s'écraser sur la Terre sans pouvoir entamer son périple de plusieurs mois vers Phobos, une lune de Mars où elle était censée atterrir pour en rapporter 200 grammes de sol. Un objectif sans doute trop ambitieux pour une industrie aérospatiale russe qui a perdu la plupart de ses cerveaux et qui n'est plus bonne qu'à assurer un service d'"autobus" vers la station spatiale internationale. Le 26 novembre, si le compte à rebours n'est pas interrompu, une fusée Atlas V devrait s'élancer de cap Canaveral, à 15 heures, GMT, avec à bord un magnifique Rover destiné à sillonner la planète rouge.