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Arnaud Desjardins

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Livres Arnaud Desjardins. Denise Desjardins. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Denise Desjardins, née Marchina le 25 février 1923 à Alger et morte le 17 mars 2016, est une femme de lettres et peintre française. Spécialiste de la tradition hindoue, elle est un disciple du maître indien Swami Prajnanpad. Biographie[modifier | modifier le code] Née dans une famille juive, elle entretient des rapports difficiles avec sa mère[1]. En 1943, elle s'installe à Paris et commence à peindre[1]. En 1974, elle crée, avec Arnaud Desjardins, son mari pendant trente ans, un premier âshram en Auvergne. Vie personnelle[modifier | modifier le code] Le 25 octobre 1956, elle se marie avec Arnaud Desjardins. Publications[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Annexes[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]

Râmakrishna. Râmakrishna (1881, Calcutta) En 1897, onze ans après sa mort, son disciple le plus proche, Vivekananda, créa la « Mission Rāmakrishna » pour concrétiser le message de son maître en Inde et hors de l'Inde à travers l'existence d'écoles de spiritualité, collèges ou ashram[5]. Ses enseignements sont dispensés en France au Centre Vedantique Ramakrishna à Gretz. Biographie[modifier | modifier le code] Il naît dans une famille brahmanique de tradition vishnouite[6].

Il reçoit une éducation rudimentaire à l'école primaire, adhère à la religion de sa famille, et perd son père à 6 ans. À 20 ans, il devient, pour avoir un moyen de subsistance, prêtre responsable du culte quotidien dans le temple de la déesse Kali à Dakshineswar[6]. Il revient ensuite à 23 ans à son village d'origine et sa mère l'oblige à épouser Sarada Devi, âgée de 5 ans seulement. Il pratique le tantrisme à partir de 1861 avec une femme appelée Bhairavi Brahmani[7].

La rencontre avec Vivekananda[modifier | modifier le code] René Guénon. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. René Jean Marie Joseph Guénon (’Abd al-Wâhid Yahyâ) Métaphysicien français naturalisé égyptien Époque moderne (XXe siècle) Photographie de 1925 (à 38 ans). René Guénon, également connu sous le nom d’Abd al-Wâhid Yahyâ, né le à Blois, en France, et mort le au Caire, en Égypte, est un métaphysicien français.

Il a publié dix-sept ouvrages de son vivant, auxquels s'ajoutent dix recueils d'articles publiés à titre posthume, soit au total vingt-sept titres régulièrement réédités. Ces livres ont trait, principalement, à la métaphysique, à l'ésotérisme et à la critique du monde moderne. Dans son œuvre, il se propose soit d'« exposer directement certains aspects des doctrines métaphysiques de l'Orient[1] », doctrines métaphysiques que René Guénon définissait comme étant « universelles[2] », soit d'« adapter ces mêmes doctrines [pour des lecteurs occidentaux] en restant toujours strictement fidèle à leur esprit[3] ».

Biographie[modifier | modifier le code] Georges Gurdjieff. Georges Gurdjieff ou Georges Ivanovitch Gurdjieff ou G. I. Gurdjieff[1], dont les dates de naissance sont diverses (13 janvier 1866 ou 1872, ou 27 décembre 1877) est né à Alexandropol (auj. Gyumri), en Arménie — alors dans l'Empire russe — et mort le 29 octobre 1949. Gurdjieff est un mystique, philosophe, professeur spirituel et compositeur influent de la première moitié du XXe siècle. Il pensait que la plupart des humains, ne possédant pas une conscience unifiée esprit-émotion-corps, vivent leur vie dans un état hypnotique de « sommeil éveillé » mais qu'il est possible de passer à un état supérieur de conscience et d'atteindre le plein potentiel humain.

Gurdjieff a élaboré une méthode pour atteindre ce potentiel qu'il a nommée Le travail (sur soi) ou la méthode. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et voyages[modifier | modifier le code] Néanmoins, les propres intérêts de Gurdjieff le portent vers l’étude de la science et de la technologie. Décès[modifier | modifier le code] Jean Herbert. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Herbert. Ne pas confondre avec Jean Herbert, pseudonyme de Popeck en tant qu'acteur Œuvres principales Spiritualité hindoue, 1947Introduction à l'Asie, 1960Aux Sources du Japon: Le Shintô, 1964Réflexions sur la Bhagavad-Gîtâ, 1976 Jean Herbert (Jean Daniel Fernand Herbert) était un orientaliste français, interprète et traducteur, né à Paris le 27 juin 1897 et mort le 21 août 1980 à Genève (Suisse)[1]. Spécialiste de l'Inde, il est l'auteur d'ouvrages consacrés à l'hindouisme et à l'Asie.

Directeur de plusieurs collections de spiritualité, il a fondé pendant la deuxième guerre mondiale la collection Les Trois Lotus chez Derain à Lyon, puis en 1946 Spiritualités vivantes chez Éditions Albin Michel. Biographie[modifier | modifier le code] En 1933, il fait un voyage dans les pays bouddhistes. Celui-ci l'accepte comme disciple en 1935 sous le nom de Vishvabandhu (« l'ami de tous »). Collectif. Adhyatma yoga. L'Adhyatma Yoga permet, par une compréhension du monde, de nous renvoyer à nos propres imperfections et de nous en libérer. Inversement, par une meilleure connaissance de nous-mêmes, il nous permet d'apprécier le monde à sa juste valeur. Dans cette voie spirituelle, l'intellect mène à la porte de la libération, mais la connaissance réelle passe par un vécu supra-intellectuel.

Le Mental, l'égo[modifier | modifier le code] Le mental agit comme un filtre qui empêche de voir le monde tel qu'il est. Il est animé par des empreintes ou des « mémoires » appelées vasana et samskara et d'une mauvaise interprétation des lois de la vie. L'égo est le sentiment de séparation vis-à-vis du reste du monde, la sensation d'être un individu particulier et non un autre, l'identification à un corps, à un nom. L'égo est donc, dans cette perspective, une illusion qui nous sépare de la réalité du monde. Vasana[modifier | modifier le code] Samskara[modifier | modifier le code] Deux choses sont toujours différentes. Swami Prajnanpad. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Biographie[modifier | modifier le code] Formation[modifier | modifier le code] Il naît sous le nom de Yogeshar Chattopadhyaya le 8 février 1891 à Chinsurah, une ville situé à une cinquantaine de kilomètres au nord de Calcutta, dans une famille brahmane pauvre.

Il reçoit une éducation traditionnelle, dans une ambiance marquée de dévotion. Il est encore enfant lorsque ses parents décèdent, après quoi c'est un de ses frères plus âgé, enseignant de sanskrit, qui s'occupera de lui. La voie spirituelle[modifier | modifier le code] En effet, en 1921 il a rencontré son maître, Niralamba Swami (en), et en 1925 il devient samnyâsin, revêt le vêtement ocre des renonçants, et ce alors même que sa femme est enceinte[2]. Entre psychanalyse et spiritualité[modifier | modifier le code] L'Adhyatma yoga[modifier | modifier le code] Durant près de 30 ans, Prajnanpad pratique avec ses disciples l'Adhyatma yoga, c'est-à-dire le yoga dirigé vers le Soi[2]. Arnaud Desjardins. Arnaud Desjardins, né le 18 juin 1925 à Paris et mort le 10 août 2011 à La Tronche[1], est un ancien réalisateur de télévision français devenu enseignant spirituel. Il offrit pour la première fois aux Occidentaux, sur les chaînes de l’ORTF, des documentaires tournés auprès du Dalaï-lama en Inde et du maître zen Taisen Deshimaru au Japon mais également des films sur les ashrams hindous, le tantrisme et le soufisme qui l’aidèrent en outre à trouver sa propre voie.

Après avoir rencontré son maître spirituel, Swami Prajnanpad, et étudié auprès de lui, il fonde en 1974, sur la suggestion de ce dernier, un premier ashram en France qui, par la suite, s’implantera en Ardèche en 1995 sous le nom de Hauteville et qui accueille depuis lors des hommes et des femmes de toutes confessions en quête de recherche intérieure. Spiritualité[modifier | modifier le code] La spiritualité qu’Arnaud Desjardins a développée et transmise dans ses livres et enseignée dans ses lieux d’accueil se veut laïque.