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Competences 21eme siècle

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Ce n’est pas le code qui importe, c’est le modèle. « Non, le code n’est pas la nouvelle littératie« , nous prévient Chris Granger (@ibdknox) dans un article portant ce titre.

Ce n’est pas le code qui importe, c’est le modèle

Pourtant, ce développeur n’appartient pas à la cohorte de ceux qui ne voient dans la programmation qu’un savoir technique qu’il n’est pas nécessaire d’acquérir. Non, pour lui, nous nous trompons d’apprentissage ; ce qui importe ce n’est pas le code, mais ce que ce dernier sous-tend : autrement dit notre capacité à modéliser les phénomènes. Granger, qui a travaillé sur de nombreux projets (il a été un temps chez Microsoft) a notamment coécrit un éditeur de programme, LightTable, doté de plusieurs fonctionnalités originales. Tout d’abord, nous explique Wired UK, il permet de voir les résultats de son code au fur et à mesure qu’on l’écrit ; une chose qui existe déjà avec des systèmes comme Logo ou Scratch, nous rappelle le magazine, mais pas pour des programmes professionnels impliquant des milliers de lignes de code.

Les quatre phases de la modélisation Rémi Sussan. Les suites d’Humanlit : Hubic – HUmanités digitales et BIbliothèques, des Compétences à identifier. DCRL Questions: Alexandre Monnin. Référentiel compétences information literacy. Les compétences du 21e siècle - OCE - L'Observatoire compétences-emplois. À l’ère de la culture numérique, de nouvelles exigences apparaissent dans le domaine de l’éducation et de l’emploi.

Les compétences du 21e siècle - OCE - L'Observatoire compétences-emplois

Au cours des vingt dernières années, plusieurs termes ont été utilisés pour les désigner, tels que compétences de base, compétences essentielles, compétences clés, socle commun de connaissances et compétences, etc. Depuis les cinq dernières années, cependant, un consensus émerge sur le terme compétences du 21e siècle, plus englobant, significatif et générique que les autres. S’accordant sur la terminologie, qu’en est-il de la définition de ces compétences? Dans ce dossier, nous présentons les travaux de deux équipes de chercheurs, une néerlandaise, l’autre américaine, qui se sont intéressées à cette question. La mise en parallèle de leurs travaux permet de constater que les compétences qui font consensus et celles qui sont les plus en demande sur le marché du travail sont très semblables. Les compétences qui font consensus Les compétences les plus en demande Les savoir-faire.

Les compétences du XXIe siècle. Plusieurs organismes internationaux se sont attelés à définir cet ensemble de savoirs et de savoir-faire sur lesquels nos systèmes éducatifs devraient se concentrer pour former les futures générations aux besoins de l’économie de la connaissance.

Les compétences du XXIe siècle

Ces nouvelles aptitudes ont été dénommées les « compétences du XXIe siècle ». Qu’il s’agisse des travaux en la matière de l’OCDE, du groupement d’expert internationaux ATC21S ou encore de l’organisation américaine P21, on retrouve plusieurs points communs permettant de dégager trois blocs principaux : des compétences génériques d’apprentissage, des compétences d’innovation et de création et des compétences de collaboration. Face à la révolution de l’informationLe premier ensemble répond à la nécessité de savoir manoeuvrer dans un monde bouleversé par la révolution de l’information et de la communication. Le développement d’une telle culture nécessite que les apprenants n’aient plus peur de l’échec.