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7 - L'entreprise doit-elle fidéliser ou conquérir ?

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- Etude marché, Conseil en stratégie : Marketing, Communication entreprise, Relation client - La Poste entreprise : Le'Hub. - Etude marché, Conseil en stratégie : Marketing, Communication entreprise, Relation client - La Poste entreprise : Le'Hub. 80 % des enseignes proposent une carte de fidélité Le chiffre est tiré d’une enquête réalisée l’an dernier par le cabinet de conseil en stratégie Vertone. Sur certains secteurs, comme la beauté et la grande distribution, c’est même 100 % des enseignes étudiées qui ont mis en place un programme de fidélité. « Les dispositifs de fidélisation font partie intégrante du Marketing Mix des annonceurs, » commentent les consultants de Vertone.

A l’inverse, parmi les secteurs les plus réfractaires aux programmes de fidélité : les banques et le hard discount. Cette étude fait aussi apparaître que les différences s’estompent entre magasins traditionnels et e-commerce : 78 % des sites marchands proposent un programme de fidélité. 55 % des programmes repose sur une mécanique de cashback Toujours selon le cabinet Vertone, la fidélisation s’opère dans la majorité des cas par un remboursement d’une partie du montant des achats. Seuls 30 % des programmes sont ciblés ou segmentés.

Marketing & CRM. Les nouveaux-outils-pour-mieux-fideliser-vos-clients-def. Stratégie de fidélisation, les articles sur ce thème. Google AdWords : le mobile pour tous ? Google oblige désormais les annonceurs à piloter leurs annonces sur mobile et desktop comme un seul et même objet marketing. Implicitement, l'entreprise réserve, pour l'instant, ses formats mobiles premium à ses plus gros clients. Deezer fait sa promotion sur Vine avec la série #Vineception Le site de streaming musical Deezer a fait appel à dix artistes pour dévoiler une série de vidéos Vine illustrant les fonctionnalités du service. Publicité sur Facebook : en vidéo et le vendredi, c'est mieux ! Le récent rapport d'Adobe Digital Index montre que le vendredi est le jour le plus efficace pour la publicité sur les réseaux sociaux, Facebook en tête.

L'Oréal fait appel à Sitecore pour parfaire sa relation client digitale L'Oréal fait appel à Sitecore, spécialiste des solutions de relation client digitale, pour créer une plateforme commune à toutes ses marques. InfographieQuels sont les leviers de la fidélité client? Sosh donne la parole à ses clients. L'e-mail de prospection: les 11 erreurs à éviter - EXPERTISES. 1. Opter pour différents noms d'émetteur Il est indispensable de faciliter votre identification par le prospect.

Deux possibilités s'offrent à vous: faire apparaître le nom de votre entreprise, qui a le mérite d'être connu, ou bien le vôtre, qui permet d'établir une relation de proximité dès le départ. Mais une fois que vous avez opté pour l'une ou l'autre des solutions, n'en changez plus pour vos envois ultérieurs. 2. Lorsque vous envoyez un e-mail pour la première fois, pensez à entrer au préalable le nom et le prénom du destinataire dans la liste de contacts de votre messagerie. L'expert Vincent Fournout, directeur associé et cofondateur de Message Business, éditeur de solutions de communication électronique et d'e-marketing. 3. 15 %, c'est le taux moyen d'ouverture d'un e-mail de prospection en B to B.

En revanche, proposer une invitation ou mettre l'accent sur le bénéfice de votre offre favorise l'ouverture de l'e-mail. 4. 5. 6. 7. Attention à la tentation de vouloir «faire joli». Le marketing direct glisse vers le marketing relationnel. Les dépenses de marketing direct atteindront 9,2 milliards ou 14 milliards d'euros en 2012 selon le périmètre considéré, soit 30% ou 45% des dépenses de communication totales en France, selon les derniers chiffres annoncés par Xerfi-Precepta. Ainsi, les dépenses en imprimés publicitaires (+2,5% en 2012) auront tiré le marché vers le haut. Celui-ci reste en effet le média de référence de la distribution et du commerce (70% des dépenses en valeur). Le courrier publicitaire aura, lui, fléchi en valeur sous l'effet de la décroissance de l'envoi de catalogues par les vépécistes traditionnels et d'un meilleur ciblage des campagnes par les annonceurs. Les autres éditions publicitaires (prospectus non distribués) et le télémarketing sont également sur le déclin.

Du côté des nouveaux médias, la contraction des dépenses d'e-mailing masque un double mouvement. Vers un repli du marché à l'horizon 2015 Les perspectives du marketing direct s'annoncent mitigées à l'horizon 2015. Les défis du secteur. Passez de la fidélité transactionnelle à la fidélité émotionnelle. « Vous avez plus besoin de vos clients qu’ils n’ont besoin de vous ! ». Quand on aborde le sujet des programmes de fidélité, il est important de se répéter ce ‘mantra’, si évident en théorie. Et pourtant… Force est de constater le décalage entre les ambitions des marques en matière de fidélisation et leurs pratiques.

De la fidélité transactionnelle à la fidélité émotionnelle (ou fidélité 2.0) Une grande partie des programmes de fidélité actuels se fonde sur une logique transactionnelle de " earn & burn " où seul l'acte d'achat est récompensé et où les communications relationnelles sont pauvres, voire inexistantes. Exemples de programme 2.0 Certaines entreprises ont déjà adopté des programmes de fidélité 2.0. Prenons l'exemple de Starbucks, qui peut être considéré comme l'un des pionniers de la fidélité 2.0, avec son programme de réduction "Mayor" sur Foursquare, l'une des applications les plus populaires sur le web. Les 5 règles d'or pour passer à la fidélité émotionnelle. Marketing B2B et B2C, un enrichissement mutuel - CANAL AUNEGE. L'e-commerce peut-il fidéliser sur Facebook ? : Le prix, premier facteur de fidélisation. Les internautes ont-ils envie d'un quelconque dialogue avec les sites de vente en ligne sur Facebook ?

Olivier Martin, directeur marketing de Webloyalty en doute. S'il ne conteste pas la nécessité de la fidélisation dans l'e-commerce, le directeur marketing de Webloyalty se montre volontiers sceptique quant à l'utilisation des réseaux sociaux comme support de fidélisation pour ces acteurs : "les médias sociaux sont des supports de communication, pas des médias transactionnels". Bien adaptés à la communication de marques "productrices" de produits, ils le seraient donc moins pour les marques "distributrices". "Le prix reste le principal argument qui pousse les internautes à retourner faire un deuxième achat chez un marchand", explique Olivier Martin. Les e-commerçants doivent-ils pour autant bouder les réseaux sociaux ? Non répond en substance Emeric Ernoult. Fidelisation. QG7 Fidéliser ou conquérir : l'entreprise doit-elle choisir?