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Greenpeace accuse des fournisseurs chinois de Nike et Adidas de polluer les fleuves. L'association de défense de l'environnement Greenpeace a accusé mercredi les fournisseurs des fabricants Adidas et Nike d'empoisonner l'eau des fleuves chinois en rejetant des produits chimiques toxiques provoquant des problèmes hormonaux. Huit échantillons d'eau usée provenant des rejets de deux usines dans les deltas du Yangtze et de la Rivière des perles, contenaient un «cocktail de produits chimiques dangereux», a indiqué Greenpeace durant une conférence de presse à Hong Kong. Possibles dérèglements hormonaux chez les humains Le Yangtze, le plus long fleuve chinois et le delta de la Rivière des perles fournissent de l'eau potable à près de 67 millions de personnes, dont les habitants de Hong Kong, selon l'association.

Les deux usines en question sont des fournisseurs de Nike et Adidas, selon Greenpeace. «Nos tests ont montré la présence de produits chimiques toxiques qui n'ont pas leur place dans l'environnement», a souligné Vivien Yau, responsable de l'association. Nike encore critiquée pour ses conditions de travail à l'étranger | Fabrication. Des dizaines de travailleurs interrogés par l'Associated Press (AP) et un document publié par Nike laissent croire que le géant des espadrilles et des vêtements de sport a encore un long chemin à parcourir avant de respecter les normes qu'il a lui-même établis il y a une décennie afin de faire cesser sa dépendance à la main-d'oeuvre de misère.

Cela ne semble pas avoir empêché les agressions supposément subies par des travailleurs de l'usine du Pou Chen Group à Sukabumi, à plus de 100 kilomètres de Jakarta. L'entreprise n'a pas commencé à fabriquer des produits Converse avant que quatre ans ne se soient écoulés depuis l'achat de Converse par Nike. Une employée a soutenu avoir reçu un coup de pied d'un superviseur l'an dernier, après avoir fait une erreur en coupant du caoutchouc pour les semelles.

«Nous sommes impuissants», a déclaré la femme. Les 10 000 travailleurs de l'usine, pour la plupart des femmes, gagnent environ 50 cents US de l'heure. Nike: vers la fin des ateliers de misère? Nike pourrait-elle devenir une marque éthique? La multinationale de l’équipement sportif n'a pas encore tout juste mais elle fait preuve de plus de transparence qu’il y a 20 ans. Dans les années 90, le boycott de la marque lancé par des ONG contre les mauvaises conditions de travail chez ses sous-traitants s’est révélé efficace.

Nike est depuis obligée d'être plus transparente sur ses pratiques. 150 rapports d’inspection dans ses usines sont désormais consultables. Nike comme ses concurrents ne peuvent donc plus ignorer les critiques des ONG. Il y a un an, Greenpeace l’accusait avec Adidas de laisser leurs sous-traitants polluer des cours d’eau. Réaction immédiate des deux firmes: elles s’engagent à stopper ces pratiques d’ici 2020. >Lire l'article sur The Guardian. Des sous-traitants de Nike accusés de ne pas payer le salaire minimum. Chine: Dixième jour de grève pour des ouvriers fabriquant des chaussures Nike et Adidas. Audrey Chauvet Ils ne seraient pas moins de 30.000 à avoir débrayé. Les ouvriers de Yueyuen, un sous-traitant chinois pour les marques Nike, Adidas et Converse, situé à Dongguan, dans le sud-est du pays, ont cessé le travail depuis le 14 avril.

Ils reprochent notamment à leur employeur de ne pas avoir versé les cotisations sociales à hauteur des heures supplémentaires qu’ils ont effectuées, sans compter les conditions salariales déplorables, les contrats de travail lacunaires et les carences dans leur couverture sociale. Menaces de délocalisation La direction de l’entreprise s’est engagée à effectuer un rattrapage dans ces versements d’ici fin 2015, a relaté à l’AFP, sous couvert de l’anonymat, une salariée du site. Mais cette proposition a été rejetée par les ouvriers en grève, inquiets par la perspective que la direction puisse brusquement décider de fermer l’usine pour la délocaliser, sans honorer ses promesses.

Peur des représailles Attentats: comment s'organise l'enquête belge? Des produits toxiques dans les vêtements de 14 grandes marques. Les traces de substances chimiques toxiques détectées sont susceptibles de porter atteinte aux organes de reproduction des êtres vivants, selon un rapport de Greenpeace. Des traces de substances chimiques toxiques susceptibles de porter atteinte aux organes de reproduction des êtres vivants ont été détectées dans des produits de quatorze grands fabricants de vêtements.

C'est ce qu'a annoncé l'ONG de défense de l'environnement Greenpeace, mardi 23 août à Pékin. Parmi les marques mises en cause figurent Adidas, Uniqlo, Calvin Klein, Li Ning, H&M, Abercrombie & Fitch, Lacoste, Converse et Ralph Lauren. Greenpeace a acheté dans dix-huit pays des échantillons de vêtements de ces marques, fabriqués notamment en Chine, au Vietnam, en Malaisie et aux Philippines. Puis, elle a soumis ces textiles à des analyses. "Ce n'est pas seulement un problème pour les pays en développement où sont fabriqués les textiles, a insisté Li Yifang. La contre-offensive médiatique de Nike. Malgré les drames et scandales, l'industrie a la mémoire courte.

FOCUS - L'effondrement meurtrier du Rana Plaza au Bangladesh a contraint les géants de la mode à s'engager à améliorer la sécurité des usines du pays. Sur fond de course à la productivité, le risque d'accidents persiste malgré les promesses des industriels. «Sur le front des conditions humaines du travail, on refait toujours les mêmes erreurs», juge Michel Llory*, ingénieur spécialiste de la sécurité et de la prévention des accidents. Derrière chaque catastrophe industrielle ou drame de la sous-traitance, selon lui , «le même scénario se répète: l'industrie s'excuse et puis oublie.» Un constat sévère qui jette un froid suite à la signature par 31 géants du textile d'un accord visant à améliorer la sécurité des usines au Bangladesh.

Ces dernières années, de nombreux géants de l'industrie ont été mis à l'index pour leur recours à une sous-traitance à bas coût, au mépris souvent des règles élémentaires de sécurité ou des conditions de travail de la main d'oeuvre locale. Cambodge : ils réclamaient 11 euros de plus par mois, Nike les licencie. Cambodge : ils réclamaient 11 euros de plus par mois, Nike les licencie ! Ils ne fait pas bon de protester chez Nike. Ce sont plusieurs centaines d’ouvriers d’une usine au Cambodge sous-traitante des fameuses chaussures américaine qui ont été licenciés après une série de protestations concernant leur salaires.

De mauvaises conditions de travail ? Les ouvriers devront s’y faire ! Ou pas, nombre d’entre eux furent licenciés sur le champ pour avoir osé manifester. Leurs réclamations : 11 euros supplémentaires sur un salaire mensuel de 57 euros. Ils sont 288 à avoir été remerciés à l’usine Sabrina Garment Manufacturing pour avoir participé à cette grève les 27 mai et 3 juin derniers, provoquant des heurts avec la police, selon les syndicats. Démission obligatoire et sans compensation Des heurts entre policiers et grévistes ont entrainé 23 ouvriers blessés. 3 000 ouvriers, majoritairement des femmes, ont été évacués car ils bloquaient l’accès à leur usine. Lire l’article sur humanite.fr. Cambodge: Des employés d'un sous-traitant de Nike blessés par la police. B. de V. avec AFP EMPLOI Quelques semaines après le drame de Dacca et en attendant que les marques occidentales signent de nouvelles chartes de sécurité, un nouvel incident perturbe les tentatives d'apaisement...

La situation des employés des usines d'Asie du Sud connait un nouveau rebondissement. Au moins vingt-trois employés d’une usine fabriquant des vêtements pour la marque américaine Nike ont été blessés ce lundi au Cambodge lors d’une intervention de la police locale qui tentait de mettre fin à une manifestation pour l’augmentation des salaires, selon un représentant syndical. La police n’a pas souhaité commenter, d’après le New York Times. La police a pourant reçu l’ordre de disperser près de 3.000 employés, essentiellement des femmes, qui bloquaient l’accès à la route menant à leur usine, dans la province de Kampong Speu, à l’ouest de la capitale, Phnom Penh. Dans l'ombre de Dacca Rechercher une solution durable «Les acheteurs ont un rôle primordial. Mots-clés : bangladesh.