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«Parlons travail» : mes collègues et moi. Vous passez plus de temps avec lui ou elle qu’avec votre propre famille, il ou elle peut vous pourrir la vie. Il ou elle, c’est votre collègue de travail. «Parlons travail», le grand questionnaire initié par la CFDT, soutenu par Libération et qui approche des 150 000 répondants, vous a interrogés sur ce qui représente votre environnement de travail direct et que vous considérez comme essentiel à votre bien-être quotidien. Preuve de l’importance de cette personne que vous côtoyez au boulot tous les jours, vous êtes une large majorité à penser qu’il suffit d’un collègue pénible pour vous compliquer la vie ou au contraire d’un collègue sympa pour que tout aille pour le mieux. Dans très peu de cas, les personnes interrogées signalent des relations tendues avec leurs collègues.

Au contraire, elles sont cordiales pour un grand nombre. Et formidables pour un petit nombre de privilégiés. Et la moitié d’entre vous sont partis ou pourraient partir en vacances avec des collègues. Les secrets du design scandinave. Plébiscité, le design scandinave, minimaliste, «nature», est devenu un must. Il n'est pas à l'abri des critiques: on déplore tantôt son élitisme, tantôt sa popularité. Mais le connait-on vraiment? Terme ombrelle, il abrite nationalités, influences et contradictions variées. Pour y voir clair, mieux vaut questionner les principaux intéressés. Où il est question d'IKEA et de l'Eglise luthérienne, d'esprit pratique et d'auto-dérision, où le mot «artisanat» ne provoque aucun sourire entendu: une leçon de design scandinave en six points-clés. 1. On a pourtant essayé d’avoir sa peau: en 1980, un groupe de designers s’est insurgé contre l’étiquette qui leur été collée d'office, en organisant les funérailles officielles de cette appellation d'origine non contrôlée.

Mais le design scandinave a survécu au-delà du mythe. Stricto sensu, «scandinave» n'est pas vraiment équivalent à «nordique»: seules Norvège et Suède se partagent la péninsule scandinave. Le cas de la Finlande diffère. 2. 3. 4. 5. 6. L'incroyable culture d'entreprise imaginée par Zappos - JDN. La culture d'entreprise imaginée par Zappos suscite la curiosité des managers du monde entier. Le JDN s'est rendu sur son campus à Las Vegas pour en savoir plus. Le CEO de Zappos, Tony Hsieh, n'est pas un CEO comme les autres. Quand il prend la tête de l'entreprise en 1999, il décide de mettre la culture d'entreprise, le bien-être de ses salariés et la satisfaction de ses clients au cœur de ses préoccupations.

Basé à Las Vegas, le vendeur de chaussure en ligne - qui est devenu la propriété d'Amazon en 2009 - organise depuis quelques années des visites de son campus. Des managers du monde entier font ainsi le déplacement pour essayer de s'inspirer de cette entreprise qui a su casser les codes établis. Le bien-être des salariés avant tout Aux yeux du CEO de Zappos, le bien-être des employés compte autant que la satisfaction des clients. Pour intégrer l'entreprise, le talent ne suffit pas Satisfaire le client, à tout prix Chez Zappos, l'expression "le client est roi" prend tout son sens. Le Dire et le Faire. Voici venir Bunker Roy. Comme vous le verrez à la fin de la vidéo ci-après, il a eu beaucoup de succès à TEDGlobal et reçu une "standing ovation". Tellement qu'il m'a été difficile de l'approcher après sa conférence. Je vais traduire ce "talk" en Canadien sous une dizaine de jours ! Il nous y présente les enseignements de sa vie passée à développer l'école des illettrés en Inde et comment cette initiative est devenue une ONG mondiale avec des essaimages en Asie, en Afrique et en Amérique Centrale et du Sud: De quoi parle-t-on concrètement ?

Il s'agit d'initiatives villageoises d'amélioration du cadre de vie communautaire en milieu rural beaucoup axée sur l'utilisation de l'énergie solaire. Sanjit "Bunker" Roy controversé: Bunker Roy est critiqué. Que nous apprend ce "talk" ? Franchement, je ne sais s'il faut prêter l'oreille à ces ragots ou s'il faut prendre le risque de se faire abuser mais pour ma part, j'ai envie de retenir ceci: 0.

Barefoot College - une formation d’ingénieur solaire pour grands-mères. Juin 2009 (Photos: Barefoot College) Les populations rurales pauvres de la Terre sont les premières victimes des changements climatiques et celles qui en souffrent le plus. Des millions de dollars ont été dépensés à des fins de sensibilisation, de formation aux technologies de substitution et de préparation des communautés vulnérables à relever le défi. L’un des succès les plus remarquables à cet égard est celui de Barefoot College, en Inde. Le concept pouvait sembler irréaliste, et pourtant des centaines de femmes illettrées ou semi-illettrées des pays en développement et des pays les moins avancés - dont de nombreuses grands-mères - ont reçu de Barefoot College (littéralement le “collège aux pieds nus”) une formation qui en a fait de véritables ingénieurs en énergie solaire. Il existe en Inde une multitude de villages isolés que l’on ne peut atteindre qu’après des jours de voyage en tout-terrain sur des pistes difficiles, suivis d’un long trajet à pied.

Au-delà du solaire. L'invasion des «métiers à la con», une fatalité économique? «Avez-vous l’impression que le monde pourrait se passer de votre travail? Ressentez-vous la profonde inutilité des tâches que vous accomplissez quotidiennement? Avez-vous déjà pensé que vous seriez plus utile dans un hôpital, une salle de classe, un commerce ou une cuisine que dans un open space situé dans un quartier de bureaux? Passez-vous des heures sur Facebook, YouTube ou à envoyer des mails persos au travail? Avez-vous déjà participé à un afterwork avec des gens dont les intitulés de jobs étaient absolument mystérieux?

Êtes-vous en train de lire cet article parce qu’un ami ou un collègue vous l’a conseillé, twitté, facebooké ou emailé au travail?» Si vous avez répondu oui à plusieurs de ces questions, vous faites sans aucun doute possible partie de cette population qui occupe un «boulot à la con», ou «bullshit job», comme les nomme l’anthropologue anglais David Graeber. Strike! «Pour y arriver, des emplois ont dû être créés qui sont, par définition, inutiles.

Parlons-en! Management : L'entreprise sans hiérarchie, ça marche ! - L'Express L'Entreprise. C'est un ovni nommé Favi, une usine de fonderie atterrie au milieu d'un champ, dans la campagne picarde, à Hallencourt. Aux commandes du vaisseau depuis 1971, Jean-François Zobrist, un extraterrestre visionnaire. Constatant qu'il n'y a pas de performance sans bonheur, et pas de bonheur sans responsabilité, il a décidé de lâcher la bride à ses ouvriers et de supprimer les échelons hiérarchiques. " Sur la production, pas de structure verticale, avec une multitude de "petits chefs" s'arrogeant le pouvoir, mais une organisation aplanie, dans laquelle chacun travaille pour le client et non pour son supérieur ", résume le chef d'entreprise. " Des consultants, des écoles de commerce, des journalistes demandent souvent à nous rencontrer, explique Nathalie Laplaud, cadre multicasquette, chargée d'accueillir ces visiteurs d'horizons divers.

Certains n'attendent qu'une chose : trouver la faille. " Le système Favi dérange, en effet, tant il sort des codes en vigueur sur la planète management...