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Non, les pesticides ne sont pas nécessaires pour nourrir la planète. C’est un marché qui pèse 50 milliards de dollars par an (47 milliards d’euros) que l’industrie ne veut surtout pas lâcher, au point de véhiculer un «mythe» : les pesticides sont essentiels à la sécurité alimentaire d’une population mondiale qui devrait passer de 7 milliards aujourd’hui à 9 milliards en 2050. C’est totalement faux, démonte un rapport présenté le 8 mars au conseil des droits de l’homme des Nations unies qui accuse les multinationales (Syngenta, Monsanto, Bayer…) de nier les risques sanitaires et environnementaux liés à l’usage de ces produits toxiques. Pour vendre toujours plus de pesticides, ces grands groupes se battent contre toutes restrictions ou limitations d’usage via des campagnes de lobbying auprès des gouvernements nationaux et des «stratégies marketings agressives et contraires à l’éthique». 200 000 décès par an S’ajoute à ce mythe industriel le constat cinglant de conséquences «catastrophiques sur l’environnement, la santé humaine et la société».

Tom Rossi. Home farming robot. La permaculture, ça marche ! La preuve avec cette exploitation normande. Ceux qui décrivent encore la permaculture et l’agroécologie comme une stupide lubie pour bobos insouciants feraient bien de s’intéresser de près à l’exploitation de Linda et Edouard. Grâce à son exploitation, ce couple normand prouve en effet qu’on peut parfaitement produire une nourriture saine et respectueuse de l’environnement… tout en gagnant de l’argent ! Sur leur terrain situé près de Rouen, Linda et Edouard cultivent des framboises, des pommes et plusieurs variétés de courges, le tout grâce à des méthodes 100% basées sur un strict respect de la terre et sur une collaboration pleine et entière avec la nature.

Leurs potagers ne sont jamais labourés, aucun insecticide n’est utilisé et les herbicides sont bannis. Loin des méthodes conventionnelles, ici, on préfère laisser la terre se reposer et utiliser des techniques autrement plus naturelles : fumier, semis, champignons, feuilles mortes… Et ça marche ! Sony dans l’agriculture et le libre. Le géant de l’électronique a récemment présenté, lors du Forum international de la robotique agricole organisé par Naïo Technologies, ses premiers projets de robot dans les domaines de la permaculture et de l’agriculture urbaine. C’est son laboratoire Sony Computer Science Laboratory qui gère ce domaine et a présenté un premier prototype de robot pour le binage. Il n’utilise que des logiciels libres afin de pouvoir être amélioré.

Ce robot en bois pour le moment, très modulaire pour pouvoir être facilement adapté, possède également une caméra infrarouge pour étudier son environnement. Cet engouement pour l’agriculture n’est pas spécifique à Sony. D’autres sociétés s’y intéressent également, notamment pour l’automatisation des tâches dans les petites structures, qui se développent de plus en plus près des villes. Liens : Le site de Sony Computer Science Laboratory Le site du Forum international de la robotique agricole. La qualité, une valeur montante de la consommation alimentaire. Pasona Urban Farm by Kono Designs.

Tomato vines suspended over conference tables and broccoli fields in the reception are part of working life at this Japan office by Kono Designs (+ slideshow). New York firm Kono Designs created the urban farm in 2010, in a nine-storey office building in Tokyo to allow employees to grow and harvest their own food at work. Dezeen spoke with company principal Yoshimi Kono this week to hear more about the project. "Workers in nearby buildings can be seen pointing out and talking about new flowers and plants and even the seasons – all in the middle of a busy intersection in Tokyo's metropolitan area," Kono told Dezeen.

"The change in the way local people think and what they talk about was always one of the long-term goals of the project. " The creation of the new headquarters for Japanese recruitment firm Pasona consisted of refurbishing a 50 year old building to include office areas, an auditorium, cafeterias, a rooftop garden and urban farming facilities. Here's a project description: Agriculture urbaine: nourrir les villes, guérir les urbains. L’AU en France – Maison de l'Agriculture Urbaine. Un toit végétalisé, à Toronto (Crédit : Scott Torrance Landscape Architect Ltd) Lors de son inauguration, en avril 2014, le centre commercial Beaugrenelle faisait figure d’exception. 7 000 m2 de toiture recouverts de plantes, en plein Paris ! Mais ce qui reste, à ce jour, la plus vaste toiture végétalisée de la capitale, devrait bientôt devenir la norme. Car désormais, en France, tous les nouveaux bâtiments situés en zone commerciale devront suivre cet exemple.

L’amendement adopté jeudi 19 mars, dans le cadre du projet de loi « pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages » (votée mardi 24 mars à l’Assemblée nationale), prévoit l’installation, sur les toitures, de « dispositifs végétalisés » destinées à rafraîchir l’air ou « de production d’énergie renouvelable ». Le toit du Palais de Chaillot, à Paris (Crédit : Milena Chessa / Le Moniteur.fr) La cinquième façade qui rafraîchit les villes (Crédit : GEP VegDUD-VD synthèse P&C, oct. 2014) Que faire des mauvaises herbes? J’ai la chance d’avoir un grand potager et j’essaie de limiter les mauvaises herbes en couvrant le sol le plus possible mais il y’en a quand même et parfois en quantités assez importantes. Qu’en faire ? Récemment Yannick a présenté sa méthode : il utilise les mauvaises herbes en mulch.

Il m’arrive aussi d’utiliser cette solution mais j’expérimente cette année une méthode différente. Cette question se pose en particulier pour les rumex, liserons, pissenlits, renoncules et pour les herbes montées en graines. Pour les mauvaises herbes annuelles je trouve pratique de les laisser sur place comme couvre sol, surtout par temps sec quand ils ne risquent pas de reprendre.

Pour les mauvaises herbes pérennes j’ai récupéré le vieux (et petit) tank à lait de l’agriculteur qui nous a précédé sur notre petite ferme. La cuve circulaire possède un trou en bas, je lui ai confectionné un couvercle en bois pour faire le noir à l’intérieur (même si mon couvercle n’est pas 100% hermétique). La permaculture, au cœur du potager du futur.

Nourrir les hommes tout en guérissant la terre ? C’est le dessein de la permaculture. Grâce à cette technique, les potagers produisent en abondance sur de tout petits espaces, de concert avec la nature. Selon son rythme. Sans jamais la forcer en sens contraire à coups de produits chimiques de synthèse. Et pour y parvenir, rien n’est laissé au hasard. Une permaculture optimale relève d’un savant design élaboré au préalable du moindre nouvel arbre planté. Collecter la foison de données nécessaires demande d’ouvrir l’œil et une patience de Sioux. De la ville à la campagne Fabian Féraux est designer de projets de permaculture au sein de la coopérative Les Petits Mondes. D’autres citoyens surfent sur la vague en proposant de la permaculture semi-urbaine. Ce concept fraîchement sorti de l’œuf, c’est une histoire de famille.

«Réinventer Paris» : la tour de Babel de l’alimentation à Masséna. « Ici, pour la première fois à Paris, nous allons rassembler tous les enjeux de l’alimentation. Les gens du quartier pourront à la fois se cultiver et cultiver », se réjouit-elle en présentant son projet à 6 M€ qui devrait voir le jour en 2019. DGT (Dorell.Ghotmeh.Tane / Arch Hier, Marie-Thérèse, 50 ans, à vélo, se félicitait d’un projet qui « va mettre de la vie dans le quartier », tout en s’étonnant de pouvoir ainsi cultiver au bord du périphérique. « Quand je vois l’état de mon balcon », se surprend-elle.

Paul, un collégien de 14 ans qui passe avec ses copains, est enthousiaste. « Je trouve ça génial. Et si la cuisine est végétarienne, ce sera aussi bien », lance-t-il. Gabriel, 44 ans, un sandwich à la main, remonte le boulevard Masséna, vide sur cette partie. « Ce sera un nouveau morceau de ville bienvenu. En plus des étudiants de l’AgroParisTech, on trouvera Sous les fraises, une petite entreprise pionnière en production biologiques. Maraîchage d'hiver - les bonnes idées d'Eliot Coleman. Eliot Coleman Eliot Coleman est l’un des pionniers de l’agriculture biologique en Amérique du Nord (Deep Organic Farming). Il est connu pour son inventivité (innovations sur des outils, nouvelles techniques agricoles) et atteint une productivité impressionnante sur petite surface presque sans mécanisation ni recours aux énergies fossiles, avec un travail manuel savamment planifié. En ce sens son travail se rapproche de celui de John Jeavons (le père américain de la « microagriculture bio-intensive » mais aussi et surtout du « carbon farming » dont nous reparlerons).

C’est sur sa ferme du Maine (aux hivers très rigoureux), dans la bien nommée 4 Seasons Farm qu’il a développé ses techniques, notamment pour étendre au maximum la saison de production et une pause hivernale (repos imposé par le climat) la plus courte possible. Sa ferme emploie 5 à 7 personnes selon les périodes de l’année sur seulement 6000m² cultivés. Doubler les protections contre le froid Cultiver les bonnes variétés. Permaculture : la nature comme modèle. Un poulailler installé dans une serre pour augmenter la température naturellement, une mare à grenouilles plutôt que des insecticides pour lutter contre les limaces… Bienvenue à la ferme du Bec-Hellouin dans l’Eure. Ici, les maraîchers Charles et Perrine Hervé-Gruyer mettent en application les principes de la permaculture depuis 2008 et sont aujourd'hui considérés comme les ambassadeurs français de cette méthode agricole.

Inventée au milieu des années 1970 par les Australiens Bill Mollison et David Holmgren, la permaculture propose de recréer la diversité présente dans la nature en concevant des paysages et des installations humaines qui interagissent "comme des écosystèmes", explique Charles Hervé-Gruyer devant la caméra de GEO. Première étape, le "design". Il s'agit d'imaginer un agencement des cultures et des installations qui favorise à la fois les économies d'énergie et la productivité, le tout dans le cadre d'une exploitation durable. A Colombes, la lutte d’une ferme urbaine contre un parking. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Laetitia Van Eeckhout Les défenseurs de l’Agrocité à Colombes (Hauts-de-Seine) sont en colère. Ils sont sommés par la justice de quitter les lieux alors que cette ferme urbaine est installée depuis cinq ans sur une ancienne friche.

La nouvelle municipalité (Les Républicains) veut en faire un parking provisoire le temps des travaux de rénovation d’un ensemble d’immeubles mitoyens. Samedi 6 février, dans une ambiance malgré tout chaleureuse, plus de 300 personnes, du quartier et au-delà, ont manifesté leur attachement à cette oasis de verdure qui, tranchant avec la couleur béton des tours environnantes, égaie le quartier populaire des Fossés Jean-Bouviers, au nord-est de la ville. « On croit beaucoup en ce projet. Jardins partagés, poulailler, ruches Occupant une surface de 3 000 m2, l’Agrocité c’est déjà un bâtiment en bois en partie recyclé, modulaire, monté sur pilotis, alimenté par des panneaux solaires et un chauffage au compost. Mais rien n’y fait. Bio et hyperproductive : la ferme magique d'un agriculteur québécois. Jardinier-maraîcher ? Fermier de familles ? Jean-Martin Fortier lui même a du mal à qualifier son métier.

Ce canadien de 35 ans exploite depuis 2005 la ferme des Jardins de la Grelinette, à Saint-Armand, à quelques kilomètres de Montréal, au Québec. Sa ferme est une micro-ferme. Elle mesure moins d’un hectare, loin de la taille moyenne d’une exploitation française qui est de 55 hectares. Avec sa compagne, ils appliquent des techniques découvertes en voyageant et travaillant dans des fermes notamment au Nouveau-Mexique et à Cuba.

Terra eco : Pourquoi avez-vous souhaité travailler sur une très petite surface, ce que personne n’avait jamais fait au Québec ? Jean-Martin Fortier : Nous souhaitions démarrer notre production, mais nous n’avions pas les moyens d’investir beaucoup. Pouvez-vous résumer votre méthode de production, que vous appelez bio-intensive ? Puisque nous travaillons sur une petite surface, il nous a fallu intensifier au maximum notre production. Tout à fait. Focus sur la permaculture, un système autonome et hyperproductif inspiré par la Nature. Comprendre les écosystèmes pour les adapter aux hommes de manière durable en cherchant l’autosuffisance.

Bienvenue en permaculture. Un système plus productif que l’agriculture industrielle, qui respecte la nature et prône la diversité. Concevoir un système de culture fertile et autosuffisant Rendre fertile la terre indéfiniment en créant un système à la fois durable et autosuffisant. Voilà l’enjeu principal de cette culture inventée par deux Australiens, Bill Mollison et David Holmgren, dans les années 1970.

La permaculture est un mélange d’agroécologie, de biomimétisme (ingénierie inspirée du vivant), d’agriculture biologique, de pédologie (science des sols), de paysagisme et de philosophie. L’idée principale est d’intégrer le travail de l’Homme dans la Nature, et non de façonner la Nature pour satisfaire les besoins de l’Homme. Formation en permaculture à Syndey en Australie Le mot permaculture vient de l’expression anglaise “permanent agriculture”.

Les principes de la permaculture. Permaculture: utopie ou alternative crédible ? Inventée en 1978 par les Australiens Bill Mollison et David Holmgren, la permaculture tend à recréer la diversité présente dans la nature en concevant des installations en harmonie avec les écosystèmes. Alors que la France est le premier utilisateur de pesticides en Europe, certains luttent contre ce modèle polluant, comme dans la ferme du Bec-Hellouin dans l’Eure. Une éthique: « prendre soin de la terre, des gens et partager équitablement » Entre un poulailler pour faire augmenter naturellement la température ou une mare de grenouilles pour lutter contre les limaces, des stratagèmes naturels sont employés pour favoriser la création d’un environnement durable et productif. Pour preuve, à la ferme du Bec-Hellouin, des poulaillers ont été placés près des vergers pour faire fertiliser le sol et permettre aux animaux de se nourrir des vers présents naturellement dans la terre.

Des techniques traditionnelles La permaculture est basée sur des techniques variées et anciennes à la portée de tous. Agricool Paris. Une forêt comestible pour atteindre l'auto-suffisance alimentaire. Produire des fruits sains, avec le moins de travail possible, et en respectant la nature : voici les objectifs de Juan Anton Mora, un espagnol de 78 ans. Depuis sa retraite, il s’est mis en tête de changer le monde, grâce à sa forêt comestible ! Il expérimente l’auto-suffisance alimentaire et transmet ses savoir-faire. « De cette manière, quoi qu’il se passe, si nous n’avons plus de travail, nous aurons toujours de quoi manger. » Reportage vidéo. Juan Anton Mora, 78 ans, va courir 40 minutes plusieurs fois par semaine.

Il organise chez lui des réunions de plusieurs jours avec des dizaines de personnes. « Chacun apporte son sac de couchage et on se débrouille », explique-t-il. Y-a-t-il besoin de le dire : Juan Anton a une forme impressionnante ! Comment fait-il ? Une vie saine et son envie de changer le monde doivent avoir leur rôle à jouer. Car oui, chacune de ses actions a pour but de "changer le monde" ou pour être plus précis, combattre la faim dans le monde. Une idée pour le jardin, la culture sur buttes. Produits locaux : les Français pour l'obligation en restauration. 2016, année des légumineuses : pourquoi tant d'intérêt ? 2016, année des légumineuses : pourquoi tant d'intérêt ? Une commune crée une monnaie pour l'alimentation locale. L'agriculture, une partie de la solution pour la biodiversité. Plus de bios dans les cantines, les députés sont d'accord. 20 ans de culture permanente et diversifiée - Kaizen. Permaculture urbaine : l’incroyable jardin de Joseph Chauffrey.

Sikkim Becomes India's First Fully Organic State. Introduction à la permaculture. Résistance agricole : la Ferme du Bec Helloin. Au jardin d’Eden de la permaculture. Dix ans d'essai en protection intégrée. Sans titre. Watch_2013_2.pdf. Loi sur les obtentions végétales et les semences de ferme. 2011-1843 du 8 décembre 2011 relative aux certificats d'obtention végétale. La vie sans pétrole, c’est possible !

Maisons de la semence : un espace de liberté agricole. Recherche. Résultats - Données chiffrées. Les nouveaux résilients (1/7) : le gardien des sols. Maison de l'Agriculture Urbaine. En route vers l'aquaponie. Revolution-agroecologique. Cuba, le pays où l'agroécologie est vraiment appliquée. Cuba vit une nouvelle révolution agricole : de l'agriculture intensive à l'agroforesterie. France projet agroécologique - Actualités. HOME | CIVAM. Agroécologie, bio, commerce équitable… tiennent-ils leurs promesses? Le foncier agricole en France. Révolution verte urbaine 3/3.

Révolution verte urbaine 2/3. Révolution verte urbaine 1/3. Conférence Agroécologie/Agroforesterie Marc Dufumier. Une formation à l'agroforesterie au CTA de Strée: (re)mettre des arbres dans les champs. Créer un Jardin de Cocagne - Réseau Cocagne. Jean-Guy Henckel - Réseau Cocagne. Innovation sociale: le cas Danone - Bénédicte Faivre-Tavignot. Youtube. En finir avec le labour - Produire sans polluer - Konrad Schreiber. Le pari agroforestier. Maraîchage bio sous les arbres - Denis Flores (Hérault) Oser devenir agriculteur bio en France | Sylvain Laigniez. Permaterre - Un potager en permaculturePermaterre | Un potager en permaculture. Philip Forrer présente; "Le Jardin du Graal". Potager en pemaculture pas à pas, préparation sol partie 2/3. Potager en permaculture pas à pas préparation du sol partie 1/3.

Accueil - Réseau Cocagne. Les Jardins de Cocagne | Graines De Vie. Documentaire "Le pouvoir de l'intelligence collective" Les 2 Vaches, l’amour du bio jusque dans ses assiettes - Influencia. «Prendre naturellement soin du sol améliore la production» Marie Monique Robin. “Nous avons dépoétisé nos sociétés”, Pierre Rabhi, en Ardèche. L'engagement durable à la sauce Chipotle. Les moissons du futur [Marie Monique Robin _ 2012] Valorial contribue à la révolution digitale agroalimentaire !

La nécessaire transformation numérique dans l'agroalimentaire, Le Cercle.