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Ce qu'il faut retenir cette semaine 12_10_12

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Le buzz : SNCF et serious game. Vous pensiez que les mecs qui bossaient à la SNCF étaient des planqués qui attendaient les pauses clopes et les apéros de 12h et 18h avec impatience ? Détrompez-vous ! Non ce ne sont pas non plus des mecs qui ne pensent qu’à faire une grève pour la couleur des serviettes à la cantine, ce sont des INGÉNIEURS !

Et si jamais vous n’arrivez pas à me croire sur ce sujet, je vous propose d’aller tester la nouvelle opération de la SNCF mise en place par TBWA Paris et qui poussera les plus sceptique d’entre vous à réfléchir à deux fois sur le métier qu’exerce ces hommes et ces femmes. Avant tout destiné aux écoles d’ingénieurs, la campagne pousse l’internaute dans les conditions réelles du métier et vous plonge au cœur de l’entreprise ferroviaire. Alors serez-vous prêts à relever le défi où le cerveau prend le dessus sur le reste… C’est une autre histoire. Source : Il était une Pub inShare0. A venir : mobile-commerce. Carrefour vient de lancer un nouveau dispositif d’achat en ligne.

L’enseigne a, en effet, développé, deux magasins virtuels éphémères. Le premier a pris place depuis le 28 septembre dernier à la gare de Lyon Part-Dieu et un second ouvrira « ses portes virtuelles » dans les couloirs de la Gare du Nord à Paris, dès le 10 octobre prochain. Concrètement, cette boutique nouvelle génération se présente comme un cube avec 4 faces sur lesquelles des centaines de produits sont affichées, à l’image de rayons de supermarchés. Au menu : produits laitiers, petit-déjeuner, produits d’hygiène ou encore surgelés… Via un système de codes-barres et une application mobile dédiée, les utilisateurs ont ensuite la possibilité de flasher les produits désirés et de choisir leur mode de livraison pour recevoir leurs courses à domicile ou les récupérer à un point drive.

Pour l’heure, le choix proposé aux passants reste relativement limité puisque seuls 300 produits sont disponibles. Comment allons nous travailler ? Citrix a lancé deux études afin de connaître les aspirations des salariés français et de découvrir les projets des entreprises en France et dans le monde. Les résultats sont encourageants pour les sujets qui nous intéressent puisque les entreprises : souhaiteraient que leurs employés puissent travailler en tout lieu : « Un tiers des entreprises (33%) a d’ores et déjà adopté le travail mobile. D’ici à 2020, 87 % des entreprises hexagonales l’auront adopté à des degrés divers. » ; et le BOYD progresse !

Prévoient de réduire les bureaux physiques au profit de périphériques supplémentaires (à noter que la France est le pays européen qui compte le plus de périphériques connectés au réseau de l’employé ;comptent repenser l’espace de travail, le rendre plus flexible, pour favoriser la créativité et développer la collaboration (l’importance des espaces de détente est soulignée.

Les avantages sont nombreux, côté entreprises, mais aussi côté employés. Mais ils sont différents. Via. Usages du numérique et influences. Vendredi 21 septembre 2012 L’AFRC * a lancé début 2012, avec Orange Business Services, l’Observatoire des Usages du Numérique réalisé par Colorado Conseil (récemment rejoint par Nexstage). Au delà d’un point précis sur les profils, usages et attentes des Français vis à vis des outils 2.0, l’étude s’attache à montrer comment les dispositifs de relation client devront radicalement s’adapter pour répondre aux nouveaux besoins du client digital. L’objectif de l’Observatoire est triple : Tout d’abord, pour comprendre les nouveaux besoins numériques, il faut envisager un champ beaucoup large que les simples échanges numériques marchands et regarder les usages personnels et interpersonnels. C’est dans cette sphère privée que se forment les nouveaux gestes, les nouvelles normes sociales qui auront un impact dans l’univers de la relation marchande.

Deuxièmement, le choix méthodologique est de se concentrer sur les usages, plus que sur les perceptions et les désirs. 1. 2. 3. 4. 5. 1. 2. 3. 4. 5. En débat : la télé connectée une vraie innovation ? Fondateur de Gandi et auteur des Confessions d'un voleur , Laurent Chemla publie sur Owni sa deuxième chronique et dit tout le bien qu'il pense de la télévision connectée. Avec méthode et ouverture d'esprit, dans l'espoir que le lecteur y donnera son avis. Eat more pizza. Drink More beer. Photo CC by-sa avlxyz Argument-choc d’un CSA qui se cherche à redorer une légitimité ternie, le serpent de mer de la “ télévision connectée ” est récemment ressorti du marais saumâtre des idées-bateaux, idées imposées par un marketing tout-puissant mais sans imagination. Même dans les termes, c’est imbuvable : on ne “voit” pas Internet, on l’utilise. Et on y participe autant qu’on le consomme, bien au-delà de la simple “interactivité” que nos chers diffuseurs cherchent vainement à développer depuis des lustres.

Le principe même de la “diffusion”, d’ailleurs, se prête mal au jeu du réseau. Bref. Je zappe. Les applications, donc. La VOD (ou la catch-up TV) alors ? La télévision connectée existe déjà. En débat : objets connectés et protection des données. Programmer à distance sa machine à laver, l'ouverture du store de sa chambre ou savoir combien on a consommé d'électricité tel jour: les "smartgrids", ou réseaux intelligents, sont des outils de gestion et de mesure sophistiqués qui se développent de plus en plus pour éviter les gaspillages et mieux mettre en adéquation offre et demande en électricité.

"Des informations vont commencer à circuler entre tous les systèmes à l'intérieur de la maison mais aussi vers l'extérieur, et c'est d'ores et déjà un enjeu très important qui pose des problématiques nouvelles de sécurité et de confidentialité des données", a résumé Benoît Watrigant, reponsable Nouvelles activités pour le fabricant de matériel électrique Legrand. "Le particulier doit garder le contrôle et être maître de ces informations", a-t-il estimé, lors du colloque intitulé "Monde numérique et respect de la vie privée, quels enjeux, quelles solutions" organisé par la Commission nationale de l'informatique et des libertés, et la Fieec. Innovation : le journal papier ET numérique.

Une nouvelle technologie permet de concilier deux formats longtemps jugés antagonistes : le papier et le numérique. Pour aboutir, demain, à des journaux imprimés totalement interactifs ? Et si la bataille entre les défenseurs du papier et ceux de l’écran prenait fin grâce au papier journal interactif ? Le chaînon manquant vient, semble-t-il, d’être imaginé par l’entreprise Novalia et des chercheurs des universités de Central Lancashire, de Dundee et de Surrey, au Royaume-Uni.

Comme le rapporte le magazine en ligne ActuaLitté, cette société a abouti à « la création d’un papier journal compatible avec l’information électronique ». Fondé sur une encre électroconductive, qui réagit à la manière d’un écran tactile, il peut comporter des boutons interactifs, qui permettent au lecteur de voter à un sondage, d’activer un supplément audio ou encore de « liker » sur Facebook. Le procédé technique n'a pour le moment pas été dévoilé. Nouvel usage Kinect. Par Marc Zaffagni, Futura-Sciences Les équipes de secours qui sont les premières à pénétrer dans un bâtiment après un accident ont la charge de repérer les lieux afin de fournir des indications qui permettront aux autres intervenants de progresser plus vite en sachant exactement où ils doivent se rendre. De la rapidité et de la précision de cette approche initiale dépend souvent l’efficacité du reste de l’opération. Pour aider les secouristes, des chercheurs du ( MIT ) ont conçu un appareil portable capable de cartographier l’intérieur d’un lieu en temps réel pendant que l’utilisateur se déplace.

L’information est transmise par une connexion sans fil à un ordinateur distant qui peut se situer dans le poste de commandement à l’extérieur du bâtiment exploré. L’appareil, dont la taille équivaut selon ses concepteurs à celle d’une tablette tactile , se porte sur la poitrine. Le système de cartographie en temps réel portable se porte sur la poitrine. Ce sujet vous a intéressé ? Kinect Effect. Quelle application nous fera basculer dans la fibre optique ? Tout le monde veut le très haut débit. Mais pourquoi faire ? Le 3ème forum des territoires THD organisé par Altitude Infrastructure fût l'occasion de réunir des intervenants de différents horizons (universitaires, industriels, responsables numériques dans des collectivités) pour évoquer les applications de demain qui nécessitent le très haut débit. Pour l'instant, si l'usage qui fera tout basculer et accélèrera le déploiement de la fibre optique n'est pas clairement identifié, de sérieuses pistes se dessinent.

Si tout le monde s'accorde pour dire que la fibre optique changera nos habitudes, il semblerait que l'application qui imposera le très haut débit ait du mal à émerger. Quels usages, quels services nécessiteront le très haut débit ? Quelle application fera que monsieur tout le monde voudra à tout prix être raccordé en fibre optique ? Les 19 et 20 septembre derniers, Altitude Infrastructure organisait le 3ème forum des territoires THD à Toulon. Source : DegroupNews. Le très haut débit pour quoi faire ? Cinq reporters armés de smartphones C’est ainsi que la transmission sans fil haut débit, la 4G LTE (lire p.10 à 12) a été testée à Brest grâce à quatre points hauts déployés dans la ville. « Une première expérimentation a eu lieu en octobre 2011 puis deux projets ont été menés en 2012 », poursuit Michel Corriou. Le premier, Miriad, porté par Orange(3), est une application touristique. Elle consiste à mettre à disposition des personnes en visite dans la capitale finistérienne des vidéos ou des informations sur des lieux d’intérêt, associées à de la réalité augmentée, sur smartphone ou tablette.

Les résultats de cette expérience lancée en juin sont en cours d’analyse. Zewal, la seconde expérimentation, s’est aussi déroulée cet été, pendant l’opération Tonnerres de Brest. Cinq reporters armés de smartphones, des moyens légers, ont pu diffuser leurs images en direct sur Internet. « Le temps de latence n’était que de trente secondes ! Le coup de pouce de la Bretagne.