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Imprimente 3D

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OpenQCM Project Uses 3D Printing to Create a Precision Quartz Crystal Microbalance. When Novaetech designed openQCM, they knew their vision for the device would require extreme precision when it was executed.

OpenQCM Project Uses 3D Printing to Create a Precision Quartz Crystal Microbalance

A Quartz Crystal Microbalance, openQCM is an incredibly sensitive — and fully open-source — scientific device for applications in chemical and biological sensing, and it’s driven by a quartz sensor capable of measuring mass deposition down to 1 billionth of gram. Novaetech Srl is a spin-off of the National Institute for Astrophysics (INAF), and they are engaged in developing innovative sensors which boast high resolution and ultra high mass sensitivity. Their efforts are dedicated to the development of new generations of mass sensors based on quartz crystal microbalance and MEMS technologies, and they’ve already developed prototypes for dust aerosol detection and collaborated in a variety of international aerospace projects with NASA and the European Space Agency (ESA).

“The openQCM concept is inspired by the emerging movement of the open source hardware. U.S. Army is Researching 3D Printing & its Potential in Facial Reconstruction Surgery. 3dprint.com – Brian Krassenstein – 10/07/2014.

U.S. Army is Researching 3D Printing & its Potential in Facial Reconstruction Surgery

Imprimante 3D. TOP 5 des vidéos de la semaine : Barack Obama imprimé en 3D, recréez le sabre laser du prochain Star Wars... Hewlett packard et Autodesk annoncent un partenariat. 06déc2014.

Hewlett packard et Autodesk annoncent un partenariat

Un cœur imprimé en 3D qui sauve des bébés. Sept modèles pour imprimantes 3D de cœurs avec malformation cardiaque, c’est l’annonce faite le 19 novembre dans un congrès de médecine cardiaque américain par un chirurgien chercheur.

Un cœur imprimé en 3D qui sauve des bébés

Quelques rares nourrissons ont déjà bénéficié de cette aide au diagnostic. Un cœur imprimé en 3D qui sauve les bébés… Ce conte de Noël est en passe de devenir réalité. Après avoir œuvré à la fa­bri­ca­tion nu­mé­rique de par­faites ré­pliques du cœur, des cher­cheurs amé­ri­cains ont réussi à sauver de très jeunes vies en per­met­tant de diag­nos­ti­quer des mal­for­ma­tions car­diaques chez le nou­veau-né et d’in­ter­ve­nir pour les réparer. Le cœur imprimé en 3D est une étape sup­plé­men­taire d’aide à la dé­ci­sion du chi­rur­gien qui, en matière d’ima­ge­rie mé­di­cale, dispose déjà de tout un arsenal de scan­ners et autres ima­ge­ries 3D. 3DHubs nous offre les tendances de l'impression 3D à travers le monde. 3DHubs est en quelque sorte l'Airbnb de l'impression 3D, le site accueille à présent près de 10 000 personnes mettant leur imprimante à disposition.

3DHubs nous offre les tendances de l'impression 3D à travers le monde

Une base qui reste encore restreinte, mais les tendances qui se dégagent des données recueillies par le hub sont intéressantes. Au niveau mondial, trois poids lourds du secteur se partagent 55 % des modèles présents sur 3DHubs. L'américain Stratasys pèse à lui seul près d'un quart du Hub, bien représenté notamment grâce à ses machines vendues sous la marque MakerBot — la Replicator 2 comptant pour 9,2 % du total. On trouve ensuite RepRap, porté par la Prusa i3, qui pointe à la deuxième place avec 6,3 %. Ultimaker arrive 3e au classement des constructeurs grâce au succès de ses modèles Ultimaker 1 et 2, respectivement 4e et 3e dans le classement par machine.

« Il y a une bulle autour de l’impression 3D et du mot "lab" » Aurélien Fache, membre de Makery, anime un atelier grand public © Makery Entre le canal bobo et les cités de Colonel Fabien à Paris, il faut pousser la porte des Ekluz, une « fabrique culturelle et numérique » pour atterrir chez Makery.

« Il y a une bulle autour de l’impression 3D et du mot "lab" »

Dans un modeste 15 m2, les quatre membres permanents de la rédaction nous reçoivent au milieu de vieux Macintosh et d'un « compteur de place vélib » fabriqué avec circuit imprimé open-source. Annick Rivoire, rédactrice en chef, répond à nos questions. La NASA imprime un objet en 3D dans l'espace pour la première fois. Après avoir passé quelques jours à assembler et à calibrer l'imprimante 3D fraichement reçue au bord de l'ISS accompagnée de trois nouveaux astronautes, la petite station d'impression de Made in Space a imprimé son tout premier élément.

La NASA imprime un objet en 3D dans l'espace pour la première fois.

C'est depuis le centre de contrôle terrestre de la NASA que les ingénieurs de Made in Space ont lancés une série d'instructions pour lancer l'impression d'un tout premier élément. Il s'agissait d'une plaque à destination de l'imprimante elle-même qui proposait le logo de la société et celui de la NASA en relief. C'est l'astronaute Barry Wilmore qui a décollé la plaque du berceau chauffant de l'imprimante et l'a fixé sur l'emplacement prévu. L'imprimante utilise une technique légèrement différente de celles proposées au grand public pour lui permettre d'extruder du plastique à basse température.

Pour le reste, le fonctionnement est similaire : des couches de plastique sont appliquées successivement pour obtenir un objet en 3D. Auchan présente son imprimante 3D à moins de 1000 € Auchan a présenté son imprimante 3D vendue sous sa marque de produits high-tech Qilive.

Auchan présente son imprimante 3D à moins de 1000 €

La Q.3622, puisque c'est son nom, vient grossir les rangs des imprimantes 3D de type FDM. Il y a un an, nous vous annoncions l'arrivée de la marque distributeur Qilive, détenue par le groupe Auchan. Smartphones et tablettes ont été les premiers à étoffer les rayons de cette marque. Cette fois-ci, Auchan ne veut pas prendre le train en marche, mais y monter à quai : la Q.3622 entre dans le marché encore balbutiant de l'impression 3D. L'impression 3D dans tous ces états. Et d’une imprimante 3D jaillit la lumière.