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Echange homme temperature. Thermorégulation : Symptômes. Physiologie Quand un individu est au repos, la plus grande partie de la chaleur corporelle provient du foie, de l'encéphale (cerveau), du cœur et des glandes endocrines (glandes fabriquant les hormones). Les muscles, quant à eux, fournissent environ 30 % de cette chaleur. En cas d'activité intense, la quantité de chaleur produite par les muscles peut être 40 fois supérieure à celle qui provient du reste de l'organisme. Il apparaît donc évident que l'activité physique est l'un des meilleurs moyens de réguler la température du corps. La température de l'individu en bonne santé ne doit pas varier de plus de 1°C en vingt-quatre heures.

On appelle homéostasie la faculté qu'ont les êtres vivants de maintenir ou de rétablir certaines constantes physiologiques (concentration du sang et de la lymphe, pression artérielle, etc...) quelles que soient les variations du milieu extérieur. Les échanges de chaleur de notre organisme se font de la façon suivante : Physiopathologie. Pourquoi a-t-on besoin de dormir. Nous passons en moyenne 8 heures par jour à dormir, ce qui sur l’ensemble d’une vie représente environ 25 années au lit. Et pourtant, aussi incroyable que cela puisse paraître, on ne sait pas vraiment pourquoi nous avons besoin de dormir. Bien sûr, on dort « parce qu’on est fatigué », mais cela ne nous dit pas quelle est la fonction biologique du sommeil. Par exemple on sait qu’on ne mange pas simplement « parce qu’on a faim », mais parce que notre organisme a besoin de nutriments pour fonctionner.

Il existe ainsi plusieurs hypothèses crédibles pour expliquer le rôle du sommeil, mais aucune ne s’est encore définitivement imposée. Le sommeil, une anomalie ? Pour l’homme et les autres animaux, devoir dormir représente quand même un sacré inconvénient ! Pour essayer de comprendre le rôle fondamental du sommeil, il existe une méthode simple : arrêter de dormir et regarder ce qui se passe ! Les effets de la privation Le sommeil, pas si indispensable ? Quelle fonction pour le sommeil ? Références : Sommeil-Stress PDF. LE SOMMEIL, INDISPENSABLE A L’ACTIVITE PHYSIQUE. Ce n’est plus un secret : le sport permet une meilleure qualité de sommeil. De plus, ce sommeil régénérateur est indispensable à la pratique physique. C’est ce qu’on appelle couramment du « donnant, donnant » ! Alors, à nous les bras de Morphée… Sommeil lent et sommeil paradoxal Avant d’étudier les bienfaits du sport sur le sommeil et vice versa, il faut comprendre ses différentes phases.

La phase de sommeil lent se déroule en 4 temps : l’endormissement et 3 périodes de sommeil plus profond. La phase de sommeil paradoxal, quant à elle, constitue les rêves et représente environ 25% de la durée totale du sommeil. Il faut également savoir que, d’après certaines études, il existe des périodes propices à l’endormissement, qui se trouvent entre 23h et 7h et aux alentours de 13h. Bienfaits du sport sur le sommeil et bienfaits du sommeil sur le sportif Les effets positifs de l’activité physique sur le sommeil se traduisent de plusieurs façons. Sport et sommeil. La température du cerveau est en étroite relation avec le cycle veille/sommeil, et conditionne les périodes de la journée où les performances sont optimales. À ce titre, la chaleur et la sieste sont des "somnicaments" (des médicaments naturel du sommeil) car ils permettent d’influencer l’horloge biologique.

Nous disposons tous d’une horloge interne qui conditionne notre rythme d’éveil/sommeil. À l’instar des autres mammifères diurnes ce rythme se traduit par une modification de la température du cerveau au cours des 24 heures : elle baisse le soir lorsque nous avons sommeil et remonte le matin lorsque nous sommes bien éveillés. Il est établis que le niveau des performances sportives est corrélé à cette variation cyclique de la température centrale. La période la plus propice aux exploits se situe en fin de journée, c’est à dire au moment où le corps est le plus chaud (Voir "Chronobiologie : Devoir dormir"). . Température et vigilance Adapté de la Revue Sommeil-Vigillance n°15. Sport & sommeil. Le sommeil occupe un tiers de notre vie et subit de grandes variations en fonction de l’âge mais aussi lors de l’apparition d’éléments pathogènes (exemples : maladies, surentraînements).

Nous allons dans un premier temps déterminer les variables neurophysiologiques explicatives du sommeil, et ensuite tenter de trouver une corrélation entre activité sportive et modification du sommeil. Dés lors, nous pouvons nous poser deux questions : Partie I Il apparaît que la régulation éveil-sommeil est sous la dépendance de 2 systèmes antagonistes : Un sous l’influence des catécholamines, l’autre sous l’influence de la sérotonine. Au niveau de l’éveil : On est éveillé parce que les neurones du Système Réticulaire Activateur Ascendant (situé dans la partie médiane du tronc cérébral au niveau du mésencéphale) sont actifs et que l’activité de ces neurones entraînent une désynchronisation corticale. Au niveau du sommeil lent : Variation des paramètres sanguins : Les hormones : La température : Partie II. Combattre l'insomnie | 12 bonnes raisons de faire du sport.