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Protection et exploitation des logiciels

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CNRS - SG - DAJ : Logiciels : L'exploitation des logiciels : les licences. L'exploitation des logiciels : les licences Le choix de la licence Le titulaire des droits patrimoniaux d'un logiciel a la possibilité d'en concéder l'exercice à un tiers. Dans cette hypothèse il va définir par le biais d'un document contractuel dénommé "licence", l'étendue des droits qu'il concède au licencié. Cette licence peut ainsi aller de la simple concession du droit d'usage du logiciel sur un seul ordinateur et pour une durée limitée à des fins d'évaluation, à une licence très large permettant à celui qui en bénéficie de reproduire le logiciel et de le distribuer librement dans le commerce.

Toutes les restrictions sont possibles sous réserve des dispositions de l'article L.122-6 -1 du CPI et notamment du droit pour le licencié de réaliser une copie de sauvegarde du logiciel. Une catégorie particulière : la licence de logiciel libre Le logiciel libre (différent du logiciel propriétaire) ne doit donc pas être confondu avec : Pour en savoir plus. Logiciels libres et propriétaires | Halpanet. Il existe deux sortes de logiciels : les logiciels libres et les logiciels propriétaires.

Pour comprendre ce qu'est un logiciel libre, nous allons déjà voir ce que la plupart des gens utilisent en général : les logiciels propriétaires. Mais avant tout, qu'est-ce qu'un logiciel ? Un logiciel est un programme qui exécute une tâche. Par exemple, Mozilla Firefox est un logiciel permettant de naviguer sur Internet. Il est écrit par des développeurs (programmeurs) dans un langage informatique lisible et donc compréhensible par l'homme : le code source. Pour bien comprendre, comparons avec une recette de cuisine : Le code source est comme une recette. Les logiciels propriétaires Un logiciel propriétaire est écrit, la plupart du temps, par une entreprise. On peut donc simplement dire que ces entreprises ont tous les pouvoirs sur ses utilisateurs qui eux, sont impuissants. source au format SVG Les logiciels libres Un logiciel libre se définit par 4 libertés (rédigées par FSF) : source au format SVG.

Faire de son programme un Logiciel Libre. Il y a deux manières d'appliquer une licence à son programme. Tout dépend de la longueur que fait votre texte. Il y a deux cas. Licences courtes [type BSD] Valable aussi pour les licences ZLIB et MIT, très semblables Valable aussi pour les licences ZLIB et MIT, très semblables Globalement, cette méthode est à suivre pour toutes les licences qui le permettent, c'est-à-dire celles dont le texte est assez court pour être mis en commentaire dans les fichiers source sans gêner.

La première étape, c'est de se procurer le texte complet de la licence. Citation : Licence BSD C'est un texte court (pour une licence du moins ). Votre logiciel est maintenant protégé par la licence BSD. Pour les autres, c'est par ici. Licences longues [type GPL, CeCILL] Celles-là, elles sont beaucoup trop longues pour être mises en entier dans le code source (la GPL fait une dizaine de pages ). ), qu'on distribuera avec le programme. Le texte de la LGPLLe texte de la GPL pour la GPL Citation : Pour appliquer la GPL Voilà. ! . ! Une typologie des logiciels | Site personnel de Christian Braesch. Il existe de nombreuses typologies des logiciels. Une des plus courante consiste à distinguer : les logiciels de base : système d’exploitation, logiciels de traduction, utilitaires, ...les logiciels applicatifs ou fonctionnel.

Les logiciels sont développés pour des besoins spécifiques d’une organisation. Le développement est réalisé par l’organisation elle-même ou par l’intermédiaire de société de services ou d'une communauté. Les logiciels d'éditeur, développés par des éditeurs comme leur nom l'indique, ils sont perçus comme des "boîtes noires", généralement paramétrables, assurant des fonctions précises. Une autre approche consiste à prendre en compte l’aptitude du logiciel à subir ou non les contraintes de l’environnement.

Dans la pratique, les systèmes développés sont un assemblage de ces trois types de programmes. Téléchargement Illégal. Qu’est ce que le téléchargement illégal ? Le téléchargement illégal, ou Peer to Peer (P2P), consiste à récupérer un fichier (musiques, vidéos, jeux...) pour en disposer sans payer les droits associés. Le P2P fonctionne sur le principe de la mise en commun des fichiers par les internautes : un utilisateur poste un fichier (musique, film ou autre) sur un site tel LimeWire, le fichier est vu par tous les autres utilisateurs du site qui peuvent le téléchargé. Ces sites constituent des rayons géants de contenus illégaux où chaque internaute peut piocher à sa guise, comme l’illustre cette capture d’écran de LimeWire. Téléchargement Illégal, que dit la loi ? Selon une étude récente de l'IDATE, il y aurait en France plus de 9 millions d'internautes qui téléchargent illégalement sur Internet des films, des musiques, des jeux vidéo et des programmes.

Prévention Répression Mais ce système, contraire à l'égalité devant la loi pénale, a été censuré par le Conseil constitutionnel. Cybercriminalité : Les questions légales - Legadroit. «Ce n’est pas à la personne humaine d’être l’esclave de la technique, c’est à elle de servir l’homme.» R. Savatier La cybercriminalité est une notion floue et abstraite qui a vu le jour à la fin des années 1990. Elle désigne «toutes les infractions pénales susceptibles de se commettre sur ou au moyen d’un système informatique généralement connecté à un réseau.». Selon l’OCDE, la cybercriminalité s’assimile à «tout comportement illégal, ou contraire à l’éthique, ou non autorisé, qui concerne un traitement automatique de données et, ou de transmission de données».

Vous êtes confronté à la cybercriminalité ou vous êtes impliqué dans une affaire de cybercriminalité, consultez Me Hawrylyszyn Le terme cybercriminalité renvoie à une nouvelle forme de délinquance qui se situe dans un espace virtuel communément appelé le «cyberespace». C’est pourquoi la France, mais également la communauté internationale, souhaitent se prémunir contre cette menace. En réalité, cet anonymat est une chimère. Copie illicite d'un logiciel - La responsabilité de l'employeur - Avocat Lille.

Le logiciel est protégé au titre du droit d’auteur en tant qu’œuvre de l’esprit par l’article L.112-2 du Code de la Propriété Intellectuelle, suite à la loi du 10 mai 1994 (loi n°94-361), y compris le matériel de conception préparatoire. Tout acte d’exploitation entourant le logiciel original est soumis à l’autorisation préalable de l’auteur. A défaut d’autorisation, il constitue une violation des droits de l’auteur et est ainsi réprimé par le délit de contrefaçon. Les droits d’auteur sont composés de droits patrimoniaux et de droits moraux. Le droit moral de l’auteur lui permet notamment de décider du moment et du mode de communication de son œuvre, au titre de l’article L.121-2 du Code de la Propriété Intellectuelle. Ainsi, présente un caractère illégal toute divulgation d’une oeuvre sans autorisation de l’auteur. De même, il est généralement admis que chaque nouvelle diffusion est à nouveau soumise à l’autorisation de l’auteur. Ainsi, la copie privée est interdite pour les logiciels.

Le piratage, ami ou ennemi des éditeurs de logiciels ? L’histoire de l’informatique personnelle et l’histoire du piratage de logiciel ou «crack» sont étroitement liées. Chacun a participé au développement de l’autre et nombreux sont les pirates qui ont contribué à la démocratisation de l’informatique. Il convient de se pencher sur les notions d’informatique personnelle, de logiciel et de piratage, ou «crack», afin de bien comprendre les enjeux de ce dernier dans le développement de l’informatique personnelle.

Par informatique personnelle, on entend l’informatique qui, par opposition à l’informatique professionnelle, a vocation à être utilisée par tous. Inexistante dans les premières années de l’informatique, sa naissance a été controversée: peu croyaient en l’intérêt de proposer à des particuliers l’utilisation d’un ordinateur. Ce qui en résultait que le budget concédé au développement d’ordinateurs personnels ou «PC» (pour Personal Computer) par les grandes entreprises était quasi-nul. I. Le piratage d’applications: A. B. II.

A. B. MARCHE DU LOGICIEL D'OCCASION. Tremblement de terre dans l'industrie du logiciel : la cour de justice crée un nouveau marché, celui du logiciel d'occasion ! Elle estime qu'un créateur de logiciels ne peut s'opposer à la revente de ses licences « d'occasion » permettant l'utilisation de ses programmes téléchargés via Internet. Juridiquement parlant, la cour estime que « Le droit exclusif de distribution d'une copie d'un programme d'ordinateur couverte par une telle licence, s'épuise à sa première vente ». Ce qui est agréable pour les avocats spécialisés en nouvelles technologies, c'est la nécessité de se renouveler sans cesse et toujours remettre en cause les acquis. En voici un bel exemple car ils étaient peu nombreux ceux qui paraient sur un tel arrêt, pris sur les conclusions conformes de l'avocat général mais contre l'avis de la Commission et des nombreux Etats qui sont intervenus dans la cause.

Les faits UsedSoft est une entreprise allemande qui commercialise des licences rachetées aux clients d'Oracle. Un drame ?