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Lenahry

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Addiction au travail: ces signes qu'il ne faut pas prendre à la légère. Vous travaillez 12 heures par jour sans y être contraint, vous ne vous détendez jamais complètement, à la maison, à la plage, vous avez besoin de rester constamment connectés, vous vous investissez de manière exagérée dans votre travail... vous êtes peut-être un "workaholik" ou "accro au boulot" qui s'ignore. Mais comme les manifestations de ce "syndrome" - encore largement méconnu - peuvent varier grandement d'une personne à l'autre, l'addiction au travail n'est souvent repérée que tardivement par les médecins, au stade des complications (dépression, burn-out...), selon le Dr Michel Lejoyeux, psychiatre et addictologue.

"Elle n'est pas mise en avant spontanément (par les patients). Il faut aller la chercher derrière des symptômes tels que des céphalées, une grosse fatigue, des troubles du sommeil, du stress ou même de l'hypertension", a expliqué le Dr Lejoyeux lors des entretiens de Bichat qui se tiennent à Paris jusqu'à samedi. Mais tous ne seraient pas des travailleurs compulsifs.

"Burn-out": le mal professionnel du XXIe siècle | www.francesoir.fr. A force de trop tirer sur la corde, les employeurs finissent par épuiser leurs salariés. Stress, fatigue, dépression: le "burn-out", ce sentiment d'épuisement professionnel, ne cesse de se développer et les cas recensés, de se multiplier. En France, un salarié sur quatre aurait été touché par cette "maladie" au cours de sa carrière, selon une enquête du groupe Cegos, publiée le 20 novembre dernier.

Ce chiffre alarmant a d'ailleurs poussé 26 députés à réclamer la reconnaissance de ce phénomène comme maladie professionnelle, dans une tribune publiée dimanche 7 par le Journal du Dimanche (JDD). Ces derniers souhaitent faire payer le "burn-out" aux entreprises. Ce changement de statut permettrait notamment à la collectivité de ne plus indemniser ces conséquences pathologiques. Faire toujours mieux, toujours plus avec moins de moyens est devenu au fil des années une obsession pour certains employeurs.

Littéralement, faire un "burn-out", signifie se "brûler de l'intérieur, se consommer". ESPACES DE DISCUSSION EN ENTREPRISE. Développer le dialogue au sein des entreprises, c’est une des tendances fortes du moment en matière de qualité de vie au travail. C’est aussi le sujet que l’Anact (Agence Nationale pour l’Amélioration des Conditions de Travail) a choisi de mettre au cœur de sa douzième semaine pour la qualité de vie au travail, qui s’est déroulée en juin dernier. Pour l'occasion, son directeur général, Hervé Lanouzière, a tenu à préciser : "Aujourd’hui, les salariés et les employeurs sont d’accord pour dire que les espaces de discussion manquent dans les entreprises.

Le sujet intéresse à la fois les organisations syndicales et le Ministère du Travail, dans le cadre de la Loi sur le dialogue social. " Alors qu’il existe déjà dans les entreprises des moments de discussion formalisés (entretiens individuels annuels, réunions du Comité d’Entreprise), que pourraient apporter ces "espaces de discussion" ? Renforcer le dialogue, une demande forte des salariés Trouver la bonne formule. Le bien-être au travail. La mélodie du bonheur dans l'entreprise Soyez heureux! La mode des "chief happiness officer" importée des Etats-Unis prend de l'ampleur en France et s'invite dans les entreprises qui cultivent les espaces de bien-être dans des locaux réaménagés en salons cosy. Cosmétique ou révolution? Enquête. Qu'est-ce qui fait fumer un salarié? Les conditions de travail influencent la consommation de tabac, pointe une étude de la Dares publiée le 28 juillet.

Se lever tôt, la clef du bonheur? Aux Etats-Unis, ils se réveillent entre 4h et 6h du matin tous les jours et sont des pros de l'autodiscipline. Les ateliers bien-être au travail: un simple gadget? Séances de yoga, massages... Comment mieux vivre au travail C'est l'une des demandes fortes des Français: pouvoir s'épanouir dans leur métier. Comment le patron de Chronoflex a libéré ses salariés Bien dans leur job, ils témoignent Ils ont des responsabilités dans de grands groupes ou sont installés à leur compte.

Comment se protéger du stress au travail? Risques professionnels : quand le travail fait mal. Les conditions de travail se dégradent. En cause notamment, l'intensification de l'activité et la persistance de nombreuses tâches pénibles. Les suicides au travail ont régulièrement fait la une des journaux ces dernières années. Ces actes extrêmes restent heureusement assez limités en nombre. Ils sont néanmoins révélateurs de la montée d'un certain mal-être des salariés, lié à des conditions de vie au bureau ou à l'usine en dégradation constante depuis les années 1970. Accès réservé Je suis lycéen, étudiant ou enseignant, et abonné à Alternatives Economiques :> Je m'identifie pour accéder gratuitement à cet article.Je suis abonné à une des publications d'Alternatives Economiques, mais pas lycéen, étudiant ou enseignant : > Je peux consulter les articles de la publication à laquelle je suis abonné en m'identifiant sur le site En revanche, je ne peux pas accéder aux contenus de ce site réservé aux lycéens, étudiants et enseignants.

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