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Google. © 2021 - Privacy - Terms. Recyclage vetements – Recherche Qwant. Recyclage vetements – Recherche Qwant. THE CONSCIOUS CLOSET — Elizabeth L. Cline. One of the Best Books of 2019. - Real Simple ”A must-read for all fashion lovers who care about the state of the planet.” - Booklist”This book needs to be in every home.” - Arizona Muse, model and sustainability activist”An absolute sustainable fashion Bible.” - Isabella David, model and poet”A thoroughly researched blueprint for making sustainable, humane clothing decisions.” - Publishers Weekly Amazon Barnes & Noble Kindle | Audiobook | Paperback from your local, independent bookseller on Indiebound! About the book From journalist, fashionista, and clothing resale expert Elizabeth Cline, "the Michael Pollan of fashion,"* comes the definitive guide to building an ethical, sustainable wardrobe you'll love.

With her landmark 2012 investigation Overdressed: The Shockingly High Cost of Cheap Fashion, Elizabeth Cline was the first to reveal fast fashion's hidden toll on garment workers, the environment, and even our own satisfaction with our clothes. The Environmental Disaster that is Fuelled by Used Clothes and Fast Fashion | Foreign Correspondent. Un documentaire sur le Ghana, poubelle des textiles du monde - The Good Goods. Notre dépendance à la mode “jetable” – majoritairement la fast fashion – est un désastre environnemental au bout du monde.

Ceux qui ne sont pas revendables ou portables sont sont balayés et remis en sac à la tombée de la nuit, avant d’être dispersés dans une décharge à ciel ouvert ou brûlés.Les textiles synthétiques peuvent mettre des centaines d’années à se décomposer. Pendant la mousson, ils dérivent dans le réseau médiéval d’égouts à ciel ouvert de la ville, étouffent le système de drainage et favorisent les inondations. Les moustiques se reproduisent, les maladies prospèrent. Les textiles échouent des canalisations vers la plage puis en mer. Une minorité flotte, les plus lourds coulent au fond de l’océan. Sous l’effet des courants océaniques, ils remontent et s’enroulent entre eux, formant de longs bras de tissu appelés “des tentacules » mesurant jusqu’à 10m de long. Lien vers le documentaire Trier et recycler est essentiel mais pas suffisant. Un documentaire sur le Ghana, poubelle des textiles du monde - The Good Goods. Mode, surconsommation et gaspillage textile - Noémie vous invite.

Je vous ai parlé il y a quelque temps de ma visite de l’entreprise Le Relais et de ma stupeur face au gaspillage textile. Cela s’explique par notre façon de consommer et surtout de SURconsommer ! Quand le coût et la qualité du textile étaient plus élevés, chacun de nos achats faisait l’objet d’une sérieuse réflexion, ce n’est plus forcément le cas aujourd’hui… La mode, une industrie polluante La production et la surconsommation de vêtements détruisent la planète, elles contribuent à la pollution et au réchauffement climatique. La mode est en effet l’une des industries les plus polluantes. Après avoir pris conscience de tout cela, il est important de s’informer un minimum sur l’origine de nos vêtements et de se poser des questions : « Comment sont-ils produits ? Je vous invite à lire cette infographie sur le sujet, complète et très explicative.

Le gaspillage textile Le gaspillage en chiffres Avons-nous vraiment besoin de tout ces vêtements que nous achetons ? Voici quelques chiffres : La seconde main, une pratique déjà bien ancrée dans les habitudes des Français. (ETX Daily Up) - Nombreux sont les Français qui ont déjà testé et approuvé la seconde main au point d'y avoir quasi systématiquement recours lorsqu'il s'agit de se débarrasser de leurs vêtements, révèle une étude. Reste que la durée de vie de ces mêmes vêtements ne dépasse que rarement les dix ans, et qu'une minorité se tourne toujours vers la benne à ordures pour faire de la place dans son dressing.

Que faites-vous de vos vêtements lorsque vous ne les portez plus ou qu'ils ne sont plus adaptés à votre morphologie ? Pour réduire l'impact environnemental de sa garde-robe, il conviendrait de leur donner une seconde vie, et ça tombe bien car c'est une pratique qui semble déjà ancrée dans le quotidien des Français. Une étude réalisée par OpinionWay pour Clearpay* révèle que plus de la moitié des consommateurs français (51%) déclarent les donner à une association ou une œuvre caritative, 30% à leur entourage, et 28% les destinent à la revente. Shopping en ligne VS magasins physiques. La seconde main, une pratique déjà bien ancrée dans les habitudes des Français. La seconde main, une pratique déjà bien ancrée dans les habitudes des Français. © tataks / Getty Images Les Français privilégient le don et la revente lorsqu'ils ne portent plus leurs… Nombreux sont les Français qui ont déjà testé et approuvé la seconde main au point d'y avoir quasi systématiquement recours lorsqu'il s'agit de se débarrasser de leurs vêtements, révèle une étude.

Reste que la durée de vie de ces mêmes vêtements ne dépasse que rarement les dix ans, et qu'une minorité se tourne toujours vers la benne à ordures pour faire de la place dans son dressing. Que faites-vous de vos vêtements lorsque vous ne les portez plus ou qu'ils ne sont plus adaptés à votre morphologie ? Pour réduire l'impact environnemental de sa garde-robe, il conviendrait de leur donner une seconde vie, et ça tombe bien car c'est une pratique qui semble déjà ancrée dans le quotidien des Français. La seconde main apparaît comme l'une des alternatives idéales pour agir en faveur de la planète, mais plus d'un tiers des Français ne semblent toujours pas y adhérer. Christelle Pellissier. Fin de la fast fashion, place aux habits durables | ARTE Regards. L'impact de la mode : les conséquences de la fast-fashion.

Traditionnellement, l’industrie de la mode produisait deux collections par an : la collection estivale et la collection hivernale. Cependant, depuis le début des années 2000, la mode rapide et jetable est en plein essor. A l’heure actuelle, environ 130 milliards de vêtement sont consommés par an. Leur production a doublé entre 2000 et 2014 ! La mode dite rapide ou jetable, communément appelée « fast-fashion » correspond au renouvellement des collections de manière intensive et massive. Ainsi, toutes les semaines, de nouvelles collections sont proposées en magasins à prix toujours plus bas. La dimension économique prime au détriment des aspects écologiques et sociaux. La mode jetable répond autant qu’elle alimente une demande des consommateurs qui en veulent plus et à un moindre coût. Cette production et surconsommation de masse sont à l’origine du désastre socio-environnemental de l’industrie textile. Résultats de la recherche.

Textiles usagés. Avant la création de cette filière nationale, il existait de multiples initiatives de collecte mais qui, dans leur ensemble, n’arrivaient pas à dépasser 20 % de déchets collectés au niveau national (par rapport au gisement estimé). De plus, nombre de ces initiatives apparaissaient ou disparaissaient selon le niveau des cours de revente des textiles usagés collectés. Le projet de filière s’est structuré conformément aux orientations données par l’Union européenne dans la directive-cadre sur les déchets (directive 98/2008), qui affiche sa volonté de mettre en place une société plus responsable des déchets qu’elle produit tant sur le plan écologique qu’économique.

La France applique notamment cette directive pour organiser plusieurs filières nationales de gestion des déchets selon le principe de la responsabilité élargie des producteurs (REP), dont la filière des TLC. Les grands principes de la filière des déchets textiles Le rôle du ou des éco-organismes agréés et les objectifs à atteindre. En 2017, 36 % des ménages ont acheté, vendu, loué ou échangé avec d’autres particuliers - Insee Première - 1851. En 2017, un tiers des ménages ont commercé avec d’autres particuliers En 2017, 36 % des ménages déclarent avoir échangé des biens ou services avec d’autres particuliers au cours des douze derniers mois (figure 1 ; sources).

Alternative aux modes de consommation traditionnels, ces échanges entre particuliers s’inscrivent dans le cadre de pratiques de consommation collaboratives. Ils privilégient le partage et la proximité, favorisent le réemploi, réduisent l’empreinte écologique et permettent de faire des économies ou même de gagner de l’argent. Un tiers des ménages ont eu des échanges payants avec d’autres particuliers. Il s’agit le plus souvent d’achats (pour 20 % des ménages) ou de ventes (16 %), plus rarement de locations (8 % des ménages ont pris en location un bien ou un service auprès de particuliers et seulement 2 % en ont proposé en location).

Avec le développement des usages d’Internet, de nombreuses plateformes numériques sont apparues ces dernières années [Cousteaux, 2019]. Fripes-business : au cœur du circuit international des vêtements usagés. Youtube. Fin de la fast fashion, place aux habits durables | ARTE Regards. Youtube. Amazon. Amazon. S’habiller en seconde main : un phénomène de mode ? Le marché des vêtements de seconde main est estimé à 1 milliard d’euros en France en 2018. Une tendance qui ne risque pas de passer de mode : d’ici dix ans, la part des articles de seconde main aura doublé dans nos armoires. C’est l’application mobile incontournable depuis plusieurs années en France : Vinted. Son principe est simple : « Tu ne le portes pas ? Vends-le ! ». La start-up lituanienne, lancée à Vilnius en 2008, compte 21 millions d’utilisateurs dans le monde.

Parmi eux, 9 millions sont français, faisant de l’hexagone le marché principal de la plateforme. Découvez dans cette vidéo le phénomène du seconde main et sa formidable croissance économique : Mais qui sont ces accros à la friperie écolo? Les utilisateurs sont majoritairement des femmes. Chaque jour, 400 000 nouveaux articles sont mis en ligne. S’habiller éthique ?

Des indépendants poussent encore plus loin le concept de seconde main. Choisir des vêtements éthiques coûte-t-il plus cher pour autant ? De vieux vêtements en guise d'isolant dans la construction. LA MONTAGNE TEXTILE: LE FARDEAU CACHÉ DE NOTRE GASPILLAGE VESTIMENTAIRE. Les enfants dans l'industrie textile hier et aujourd'hui. Transposition pour le Web du travail de Sarah Dehousse Préambule En Belgique, le travail des enfants aux 19ème et 20ème siècles va de pair avec l'industrialisation et la pauvreté. Une première enquête fut réalisée par une commission spéciale en 1843, mettant en évidence les très mauvaises conditions de travail, de salaire, d'alimentation, des ouvriers de l'époque (voir aussi). Elle élabore un projet de loi interdisant d'employer dans l'industrie des enfants de moins de 10 ans, limitant à six heures et demie par jour le travail des enfants de 10 à 14 ans et à dix heures et demie celui des adolescents entre 14 et 18 ans.

Ce projet rencontre de vives oppositions. Qu'en est-il à Verviers ? A. . - L'âge d'admission au travail Les enfants sont employés en général dès qu'ils ont atteint l'âge de faire leur communion solennelle, c'est à dire dès l'âge de 12 ans pour les garçons et 11,5 pour les filles. . - La durée de travail La durée de travail est la même que celle des adultes. " b. Retour. La Fast Fashion : l’envers de l’industrie de la mode décriée par l’infographie Trademachines - C3D. Alors que la Fashion Week s’est tout juste achevée à Paris, l’industrie de la mode n’a jamais été aussi peu glorifiée. En effet, l’industrie du textile est à l’heure actuelle la plus polluante du monde. Elle émet à elle seule 8 % des émissions de gaz à effet de serre mondiales : c’est plus que les trafics aériens. Nocive pour l’environnement, elle est également responsable des conséquences sociales nuisibles qu’elle génère.

Les enseignes, tout comme les consommateurs, doivent repenser leur rapport à la mode. Des démarches responsables et durables sont de plus en plus nombreuses à voir le jour et doivent être perçues comme des exemples à suivre, et à surpasser. État des lieux de l’industrie du textile : entre surproduction et surconsommation Fast Fashion. Alors que l’on attend traditionnellement de la mode qu’elle produise des collections environ deux fois par an, dans un contexte de fast fashion, les enseignes produisent jusqu’à une collection par semaine ! Vêtements, consommation responsable et alternatives - Bric à bacs.

L’industrie vestimentaire est la 2e plus polluante mondialement, après celle du pétrole. Hyper-consommation d’eau, de produits toxiques et conditions de travail parfois proche de l’esclavagisme sont autant d’enjeux encourageant à remettre en question le modèle actuel sur surproduction et de surconsommation de vêtements. La consommation vestimentaire a augmenté en flèche au courant des dernières décennies : nous achetons 4 fois plus de vêtements qu’il y a 20 ans. Au Québec, nous jetions en moyenne 11 kg de vêtements par personne par année en 2012-2013. C’est donc près de 90 000 tonnes de vêtements qui prennent le chemin de l’élimination chaque année. Le coton est un tissu très répandu et consommé.

Or, la production d’1 kg de fibres de coton nécessite de 6 000 à 27 000 litres d’eau, avant même sa transformation. La capsule vidéo humoristique Louis T datant de mars dernier résume bien les impacts environnementaux et sociaux liés à cette industrie. En voici quelques unes : Recyclage de vetements : filières de recyclage de vêtements. ¼ des textiles que nous consommons finissent au recyclage. La recyclage de vêtements appartient à une filière spécifique de recyclage, tout comme le recyclage automobile, le recyclage de l'huile, le recyclage des emballages et la récupération des palettes. Recyclage de vêtements : une bonne action Nous consommons 17 kg de textiles (vêtements, linge de maison) par an : au final, ¼ finit au recyclage. Plutôt que laisser moisir de vieux vêtements au fond de son armoire, il est simple de leur donner une seconde vie.

Le recyclage des vêtements permet : d'aider les personnes en difficulté,de gagner de la place chez soi,de diminuer le coût des matières premières,d'offrir des emplois durables et stables. 2 options de collecte : le récupérateur ou les associations Le don de vêtements usagés est simple et à la portée de tous : Pour donner ses vêtements usagés, il suffit de : La collecte par conteneur : toutes les infos Un conteneur pour tous types de textiles, chaussures et jouets.