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Septembre 2014

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Ikoula vante son choix d’infrastructure « made in France » Le choix de l’Etat en matière de Cloud Computing d’investir, au travers de la Caisse des Dépôts, auprès de grosses entreprises plutôt que dans des PME déjà implantées avait fait grincer des dents parmi les acteurs du marché. C’était notamment le cas d’Ikoula, une PME française fondée en 1998 et développant des services autour de l’hébergement et du Cloud. « Il existe déjà une filière de fournisseurs d’IaaS qui proposent des offres équivalentes à celles de Numergy et Cloudwatt. Et ces prestataires sont généralement français, fiscalisés en France, et avec des datacenters implantés sur le territoire » confiait son PDG à ZDNet.fr.

La souveraineté, un besoin du marché ? Dans un contexte où semble se dessiner une certaine défiance à l’égard des prestataires américains et une préoccupation accrue à l’égard des questions de sécurité des données, Ikoula insiste sur son implantation locale. Le prestataire annonce en effet l’ouverture, sur le territoire, d’un second datacenter en propre. Google annonce un quatrième data center en Europe. Et de quatre ! Google vient d'annoncer ce mardi la construction d'un nouveau centre de traitement de données en Europe, après ceux bâtis à Dublin (Irlande), à Hamina (Finlande) et Saint Ghislain (Belgique). Cette fois, l'entreprise américaine a choisi de s'établir à proximité du port d'Eemshaven, aux Pays-Bas, qui, selon Google, bénéficie d'une connexion directe par câble à deux principaux hubs européens de l'Internet, Londres et Amsterdam.

La construction de cette nouvelle emprise coûtera 600 millions d'euros. Prévus pour durer quatre ans, les travaux permettront toutefois une mise en route progressive du site. Selon Google, ce nouveau data center commencera à fonctionner au cours du premier semestre 2016 avant d'être pleinement opérationnel en 2017. Selon Google, le centre de traitement de données "bénéficiera des dernières avancées en matière de refroidissement et de technologie électrique" . ( photo : Eemshaven ) Amazon : échange datacenter de 120 salariés contre faveur fiscale. Amazon prévoit d’investir 1,1 milliard de dollars dans l’implantation d’un nouveau datacenter.

A la clé la création de 120 postes et forcément des recettes économiques supplémentaires pour les collectivités concernées. Et comme pour l’ouverture de centres logistiques, Amazon sait qu’il peut faire jouer la concurrence et décrocher faveurs fiscales et subventions. Ainsi l’Etat américain de l’Ohio est prêt à d’importantes concessions pour décrocher l’implantation de cette usine informatique sur son territoire. Terrains gratuits et exonération d'impôts Selon des documents de l’administration de l’Etat, consultés par Reuters, Vadata, filiale d’Amazon, se voit offrir 80 millions de dollars de crédit d’impôt en échange de la création de ce datacenter qui d’ici fin 2018 devrait employer 120 personnes – pour un salaire moyen annuel estimé à 80.208 dollars.

Amazon dispose déjà de quatre datacenter aux Etats-Unis. Vis ma vie, mon business a changé grâce aux données du social media. « Retweet », « Share », « Repint »… quel est l’impact réel du social media ? La problématique des données sociales ne peut plus se réduire à l’évaluation d’un contenu selon ses métriques. Fort de ce constat, le Social Media Club a réuni plusieurs acteurs de la « social data » dans le cadre de la commission dédiée, coordonnée par Rémi Douine. Quatre figures, quatre témoignages. Le social media a gagné en maturité…. L’univers du social media l’a compris, « likes » et « followers » ne sont plus une fin en soi. Les polémiques d’achat de fans ne sont qu’un exemple parmi d’autres prouvant que les métriques ne suffisent pas à démontrer la qualité d’un contenu ou la bonne santé d’une marque. . … mais n’a pas encore achevé sa croissance ! La gestion de la donnée sociale n’en est toutefois qu’à ses balbutiements. Si les groupes médias peuvent s’offrir l’appui précieux d’outils d’analyses, ce n’est pas le cas des journalistes indépendants… ni de tous les chercheurs.

Est-il temps d'exclure toute présence humaine des datacenters ? Vinod Khosla, ancien président-directeur général de Sun Microsystems, aujourd'hui partenaire de Khosla Ventures, est réputé pour être un personnage controversé. Il n'a pas failli à sa réputation, cette année encore, lors de la conférence Gigaom Structure à San Francisco.

Lors d'une conversation avec Tom Krazit, rédacteur en chef chez Gigaom, Vinod Khosla a déclaré : « Il est ridicule de demander à des individus de gérer le niveau de complexité auxquels ils sont confrontés à l'intérieur des datacenters ». Tout en ajoutant que les individus représentaient un coût important pour l'informatique et qu'ils devraient être retirés de l'équation. Avant de décider si Vinod Khosla a raison ou tort, voyons de plus près ce dont il parle exactement. Trop complexe ? Il est difficile de nier la complexité d'un datacenter. Une citation de M. Parmi les 10 erreurs citées par M. L'automatisation à la place des individus En discutant avec M. Une automatisation en adéquation avec la réalité Dernières réflexions.

Quelle sécurité pour les OIV et Data Centers ? Les Organismes d'importance vitale font l'objet d'attentions particulières. Notamment les Data Centers. Quels sont les moyens pour les protéger ? Définis par les articles R1332-1 et R1332-2 du code de la Défense, les Opérateurs d'importance vitale (OIV) sont des organisations identifiées par l'État qui ont trait à la production et la distribution de biens ou de services essentiels à la vie des populations (santé; gestion de l’eau; alimentation,) à l'exercice de l'autorité de l'État, au fonctionnement de l'économie ou au maintien du potentiel de Défense et sécurité de la Nation.

Par ailleurs, les OIV sont également des établissements susceptibles de présenter un danger grave pour la population comme les centrales nucléaires, les dépôts d'armement, certaines usines... En réalité, la liste des OIV français est inconnue du grand public. Obligation de résultat. Analyse de risque par processus. Ensuite, l'étude porte sur la pertinence de l'environnement d'implantation du Data Center.

Agenda : les événements IT à ne pas manquer en octobre. Parmi notre sélection des événements IT à ne pas manquer dans les prochaines semaines, trois manifestations ont particulièrement retenu notre attention : - Mobility for Business, salon incontournable mobilisant acteurs et experts de la mobilité ;- Le Forum PHP 2014, événement annuel majeur de la communauté IT spécialisée dans le PHP ;- L'OpenWorld Forum, dédié aux solutions Open Source et à leur avenir. 15 - 16 octobre Mobility for Business Mobility for Business va ouvrir la 4ème édition de son salon les 15 et 16 octobre 2014, mobilisant experts français et internationaux autour de sujets orientés mobiles : applications, objets connectés, paiement, gestion et sécurité des échanges, cloud mobile, marketing mobile, géolocalisation, haut débit...

L’objectif premier de l’événement étant d’apporter une compréhension sur la mobilité d’aujourd’hui ainsi qu’un éclairage sur celle de demain. Lieu : CNIT - Paris La DéfensePlus d'informations et inscription 23 - 24 octobre Forum PHP Paris 2014. Google investit 600 millions d’euros dans un nouveau datacenter. Le géant de Mountain View apprécie incontestablement le marché européen – sans doute plus que la fiscalité des Etats membres. Pour couvrir ses besoins, Google va ainsi ouvrir un nouveau datacenter. Celui-ci sera localisé aux Pays-Bas. La firme a annoncé qu’elle investirait 600 millions d’euros sur quatre ans dans la construction de cette usine informatique qui devrait en principe entrer en fonction au cours du premier semestre 2016 et employer 150 personnes. Google promet un datacenter efficient en matière de consommation d’énergie grâce notamment à un système de refroidissement des serveurs exploitant l’air ambiant ou « free cooling » et des eaux usées (« grey water »).

La firme américaine a ouvert son premier datacenter en Europe en 2007. Le géant précise qu’il investira également au cours des prochaines années dans de nouveaux centres informatiques basés en Irlande, Finlande et en Belgique. Salesforce.com s’appuie sur Interxion pour son datacenter français. Le spécialiste US du CRM en mode SaaS avait officialisé en février dernier, à l’occasion d’un déplacement de François Hollande, son intention d’ouvrir un centre de données localisé en France. Avec un datacenter au Royaume-Uni et un autre en Allemagne, l’éditeur disposera ainsi de trois centres informatiques en Europe. Dans un communiqué, Salesforce.com précise que la création de ce nouveau datacenter est confiée à Interxion, un acteur européen de « gestion de data centers de colocation » et des « services gérés associés ».

Une usine informatique alimentée aux énergies renouvelables Concernant, les caractéristiques de ce futur datacenter, qui doit en principe entrer en production en 2015, Salesforce.com n’apporte aucune information. Il ne fait en effet que rappeler que celui-ci sera alimenté à 100% « à l'aide de sources d'énergie entièrement renouvelables. »