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Le webomètre politique en live. [Présidentielle] GQ et Wizee mettent en place un webomètre politique. GQ, magazine masculin de mode, s’est associé à Wizee, plateforme de blogs pour les personnalités, afin de mettre en place un baromètre politique 2.0. Baptisé Webomètre, l’outil mesure l’influence des principaux acteurs politiques sur la toile. Actualisé six fois par jour, le module prend en compte la présence et l’activité des politiques sur Twitter et Facebook, mais aussi les requêtes Google associées à leur nom.

Un classement, allant de 0 à 100, est ainsi établi et permet de prendre régulièrement le pouls de la campagne digitale. Enfin, tous les vendredis, le webomètre met en avant un homme ou une femme politique ayant particulièrement marqué l’actualité de la semaine. Pour rappel, Libération, en partenariat avec l’institut TrendyBuzz, a également mis en place en septembre dernier un baromètre baptisé, Politivox.

La blogosphère politique en 3 cartes. Par Guilhem Fouetillou, cofondateur de Linkfluence 2012 est une année particulière... Pour notre travail de cartographie du web politique aussi. Depuis 2007, Linkfluence représente les sites et les blogs engagés, un exercice difficile mais riche, car il se fonde sur les liens hypertexte qu'ils tissent entre eux. En 2012, l'image du champ de bataille à la veille de la campagne présidentielle a été enrichie par une nouveauté de méthode : nous avons différencié les sites de sympathisants de ceux directement liés aux parti.

NB : Ces cartes ne se lisent pas exactement comme des cartes traditionnelles, en cliquant sur l'icône "? " La blogosphère politique en France 01/12 Cliquez sur la carte pour accéder à la version interactive de celle-ci. Pour commencer, évitons la désorientation et proposons, dans la continuité des cartes de 2007, 2009 et 2011 une version 2012 produite selon le même modèle.

Focus sympathisants/militants Focus partis/mouvements. Politique : Une mauvaise utilisation de Twitter ? Hollande veut mobiliser sur le terrain grâce au Web social. A quatre-vingts jours de l'élection présidentielle, la nouvelle version du site toushollande.fr, en ligne depuis le 3 février, est une plate-forme de mobilisation utilisant tous les outils du Web social, rappelant évidemment le Mybarackobama de 2008.

L'équipe Internet du candidat socialiste, dirigée par Vincent Feltesse (budget: 1,8 million d'euros), a d'ailleurs été, notamment, conseillée par les fondateurs de la société Blue State Digital à l'œuvre pendant la campagne du démocrate. Le site a son relais sur Twitter et son application Facebook. Celle-ci se présente comme «le groupe de discussion officiel de la campagne» et propose aux internautes d'inviter leurs amis et de poster des informations dont les meilleures «seront reprises» sur le site.

Lire aussi : Bayrou veut aussi faire la différence sur le web. Bayrou veut aussi faire la différence sur le web. François Bayrou n'était pas là pour constater que le lancement de sa campagne web avait rempli la salle où se tiennent les conférences de presse du Modem - bien plus, par exemple, que son intervention impromptue à la suite de la perte du triple A. C'est donc sans lui que son équipe de campagne - Matthieu Lamarre, responsable web, et Jean-François Martins, directeur de la communication - a lancé, mardi 7 février au QG du Modem rue de l'Université à Paris, la campagne Internet du candidat Bayrou, en dévoilant le nouveau site bayrou.fr, quelques jours après la présentation de toushollande.fr. François Bayrou a tenu à marquer sa différence avec les sites politiques traditionnels par des choix éditoriaux «innovants», comme le design épuré de l'accueil, qui s'inspire de «la Une de Libération», explique Jean-François Martins.

«On a voulu rompre avec les codes, les sites à rubriques multiples», ajoute le directeur de la communication du Modem. Un jour, un dossier, une photo, une citation.