background preloader

News

Facebook Twitter

How Open Education is Changing the Texture of Content. Digital Tools Teaching Strategies thinkstock By Frank Catalano Schools are moving from creamy to chunky — but not in relation to cafeteria peanut butter. The change in texture is happening with content. Instruction that was structured linearly, captured in books that were all-inclusive monoliths with a predetermined progression for a uniform, somewhat “creamy” consistency, is shifting to newer forms of instructional content that are more “chunky,” beginning as a scattered landscape of digital pieces that are then assembled to support full courses The trend, steady and apparently inexorable, is inspired by higher education, driven by financial pressures, propelled by foundations and the federal government, and enabled by technology.

Digital course materials are, of course, nothing new. Pluto’s planetary status in flux? Encouraging this acceleration of digital chunky content, in large part, is the Open Educational Resources (OER) movement. PRICE. AVAILABILITY. DISCOVERABILITY. FLEXIBILITY. Education : comment l'Etat favorise les plus privilégiés. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Maryline Baumard L'éducation n'est plus nationale. Un rapport d'observations provisoires de la Cour des comptes que Le Monde s'est procuré montre pour la première fois l'injustice de la répartition des moyens d'enseignement sur le territoire.

Quelque 93 pages d'un travail inédit dévoilent ligne après ligne comment l'Etat donne plus à ceux qui ont déjà plus et moins à ceux qui cumulent tous les risques de réussir moins bien. Un favoritisme qui s'est aggravé ces dernières années. L'académie de Créteil, qui était en 2006 dans la moyenne nationale pour la dépense par élève dans le primaire, est tombée au 22e rang sur 26. Ce travail est entre les mains du ministère et de quelques recteurs invités à faire part de leurs remarques à la Cour. En France, on sait où sont les élèves défavorisés, mais on ferme les yeux sur cette donnée lors de l'allocation des moyens. Pourtant, la différence de traitement commence dès qu'un enfant met un pied dans l'école. Réinventer le système éducatif, un impératif de ce quinquennat.

L’élection présidentielle derrière nous, nous pouvons en retenir une chose : les cinq prochaines années seront décisives et l’équipe en place a un devoir de réussite. Sans quoi la France perdra non seulement sa stature à l’échelle mondiale mais, plus grave, notre génération handicapera durablement celle qui vient. En choisissant une croissance par la relance et une politique de demande, la France n’a pas d’autre solution que de réussir son pari. C’est un risque, mais c’est aussi probablement une réelle chance. En somme, nous avons 5 ans pour trouver des solutions aux dérèglements sociaux que la crise a générés et des solutions de financement optimales, peu coûteuses et à fort effet de levier. Cet article est le premier d’une série qui a pour but de donner quelques idées à nos nouveaux dirigeants et tenter de les sensibiliser sur ce qui se fait ailleurs en matière d’innovation. Ré-initialiser notre modèle éducatif est un impératif.

La France manquera de diplômés du supérieur en 2020. Notre pays ne forme pas assez de jeunes pour répondre aux développements de l'économie du savoir. Selon les prédictions d'une étude, les diplômés de l'enseignement supérieur risquent de manquer d'ici 2020 aux secteurs qui en ont besoin. Pas très optimiste, l'Institut McKinsey. Dans un rapport publié vendredi 4 mai, le cabinet de conseil annonce, en France, une poursuite de la dégradation du marché de l'emploi d'ici 2020. Principal accusé : l'écart structurel entre les besoins en compétences des employeurs, et la présence de ces compétences sur le marché du travail.

Le système éducatif n'a pas suffisamment pris le virage de l'économie du savoir, souligne l'étude, et les diplômés vont manquer. Comment ? L'enquête montre par ailleurs que pour un même niveau d'études, certaines filières de formation offrent des garanties inégales en matière d'insertion sur le marché du travail.

Note : le rapport est disponible en lecture libre dans sa version anglaise. Craig R. Barrett: It's Time to Stop Lying to Students and Parents and Raise Our Educational Standards. I recently told the Arizona Commerce Authority that if I was choosing a site for Intel to build a new facility, Arizona wouldn't even make my Top 10 list. Even though Intel employs 9,700 people in its semiconductor manufacturing and research and development facilities in Arizona, the condition of K -12 education in the state, particularly in science and math (STEM), makes me believe that it would be foolish to invest another dime in the state. Why would anyone want to build in a place where it will be unable to find enough qualified employees?

Not surprisingly, my comments created controversy but it's time someone told the truth. State educational systems are cooking their books and lying to kids and parents. Specifically, they are rigging educational standards, setting the bar for "proficiency" far too low and creating a dishonestly rosy picture of American schools. By doing so, states are torpedoing the future of America's students and American business. This is not just about Arizona. Edevolution.wordpress. Education Evolution. Observatoire des inégalités. 27 septembre 2011 - Malgré de réels progrès, l’éducation pour tous reste une préoccupation majeure : près de 800 millions d’adultes sont analphabètes dans le monde, dont deux tiers de femmes. Près de 796 millions de personnes de plus de 15 ans sont analphabètes dans le monde, soit 17% environ de la population d’adultes mondiale. Près des deux tiers d’entre eux sont des femmes. Dans les pays riches, la quasi-totalité de la population est alphabétisée.

A l’inverse, les pays en développement comptent le plus grand nombre d’individus ne possédant pas les compétences de base en lecture et en écriture : 412,4 millions en Asie du Sud et de l’Ouest, 167,2 millions en Afrique Subsaharienne. Les femmes sont tout particulièrement touchées : elles représentent 64 % des analphabètes.

Pour en savoir plus : Sur le site de l’Unesco : Rapport mondial 2011 de suivi sur l’éducation pour tous de l’Unesco A lire sur notre site : La scolarisation des enfants dans le monde Photo / © Dmitry Nikolaev - Fotolia.com. Observatoire des inégalités. CHILI • La contestation étudiante a trouvé son leader. Issu d’une bonne famille, étudiant à l’Université catholique, Giorgio Jackson n’a rien d’un révolutionnaire. Pourtant, à 24 ans, c’est en partie sur lui que repose l’actuel mouvement étudiant. Portrait. Dimanche 7 août, dans l’avion qui le ramenait d’Antofagasta, dans le nord du Chili, Giorgio Jackson, 24 ans, était loin de se douter de ce qui l’attendait.

Dans tout le pays, le fracas des casseroles [en signe de solidarité, des milliers de Chiliens ont frappé sur des casseroles] a certes redonné du souffle au mouvement étudiant. Mais, derrière l’euphorie, il y a des étudiants en grève de la faim, des lycéens dont l’année scolaire est presque perdue et le déclenchement d’une spirale de violence entre jeunes et forces de l’ordre. Ce jour-là, il rejoint la manifestation étudiante, défilant très sérieusement aux côtés de Camila Vallejo et de Camilo Ballesteros, les deux autres leaders de la contestation étudiante.

L’éducation gratuite Ce dimanche 3 juillet, il fait froid à Santiago. Students Pressure Chile to Reform Education System. Higher education for all is under threat. Half a century ago Kingsley Amis, aided and abetted by the Times, moaned that "more means worse". A decade later, the notorious Black Papers were published, peddling the same reactionary views. But then the right abandoned its campaign against the expansion of higher education. Now the beast is back. The tripling of tuition fees has reduced demand for undergraduate degrees. While liberals hope this is a temporary blip, conservative opponents anticipate a permanent shrinking of a bloated mass system. Already, the prospects look bleak. But there is more – a steady trickle of articles trashing the value of higher education (not, of course, for "top people", but for the people at large) and talking up alternatives to university (whether apprenticeships or cheap substitutes provided by private colleges).

Fees were introduced by the previous government to enable higher education to access more public funding by the back-door. But let's be fair. Britain has become a graduate society.