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Orphée

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Virgile - Géorgiques IV - Episode d'Aristée traduit par Henri Laignoux (1939) Mystères d'Éleusis. Dans la religion grecque antique, les Mystères d’Éleusis (en grec ancien : τὰ μεγάλα μυστήρια, littéralement, « les Grands mystères »)[Note 1] faisaient partie d'un culte à mystères, de nature ésotérique, effectué dans le temple de Déméter à Éleusis (à 20 km à l'ouest d'Athènes).

Mystères d'Éleusis

Au cours de leur évolution, les mystères d'Éleusis se sont ouverts d'abord à tous les Grecs, puis à tout homme ou femme, libre ou esclave, parlant grec. L'initiation comportait plusieurs degrés. Ces mystères étaient traditionnellement consacrés non seulement à Déméter et à sa fille Perséphone, mais aussi à Hadès, c'est-à-dire aux divinités de la terre et des morts, ainsi qu'à Dionysos sous son nom favori d'Iacchos auquel il a été assimilé[1],[Note 2] ; Dionysos était en effet intimement mêlé à la vie de la terre et de la végétation, et dans les rituels des Anthestéries et les fêtes des Halôa en Attique, il était associé aux divinités proprement chtoniennes[Note 3].

Le mythe[modifier | modifier le code] Article Orpheus dans le dictionnaire Daremberg et Saglio (1877) Héros, devin, musicien et poète légendaire de Thrace.

Article Orpheus dans le dictionnaire Daremberg et Saglio (1877)

I. Le mythe d'Orphée. Virgile - Géorgiques I. Préambule [1,1-42] Dédicace à Mécène; sujet de chacun des livres [1,1-5] [1,1] Quel art fait les grasses moissons; sous quel astre, Mécène, il convient de retourner la terre et de marier aux ormeaux les vignes; quels soins il faut donner aux boeufs, quelle sollicitude apporter à l'élevage du troupeau; quelle expérience à celle des abeilles économes, voilà ce que maintenant je vais chanter.

Virgile - Géorgiques I

Cicéron : Oeuvres philosophiques (tarduction française) Oeuvres d'Orphée : l'Argonautique. Apollonius de Rhodes : Argonautiques : Préface. Apollonius naquit à Alexandrie (1), sous le règne de Ptolémée Philadelphe, environ 276 ans avant l'ère vulgaire (2).

Apollonius de Rhodes : Argonautiques : Préface.

Son père, qui était de la tribu ptolémaïque, se nommait Illée ou Sillée, et sa mère Rhodé. Il étudia l'art des vers sous Callimaque, poète célèbre chéri de Ptolémée Philadelphe, auquel il prodiguait souvent la flatterie, et dont nous avons encore des hymnes écrits avec autant d'esprit que d'élégance. Les leçons d'un tel maître firent bientôt éclore les talents du jeune Apollonius et prendre l'essor à son génie.

Il n'avait pas encore atteint l'âge viril lorsqu'il fit paraître la première édition de son poème sur l'Expédition des Argonautes. La publication de cet ouvrage fit naître entre lui et son maître une rivalité qui dégénéra bientôt chez Callimaque en une haine violente. Nous ignorons si Callimaque borna son ressentiment à écrire, et s'il ne fit pas usage de la faveur dont il jouissait auprès de Philadelphe pour perdre Apollonius (6). Le savant Tib. 1. 2. 3. 4. Valérius Flaccus - Argonautiques - Introduction. Dryades (mythologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Dryades (mythologie)

Pour les articles homonymes, voir Dryade. Les dryades sont, dans la mythologie grecque, trois nymphes, des déesses mineures liées aux chênes en particulier, et aux arbres en général[1]. Le nom de dryades fut plus tard utilisé pour désigner les figures divines présidant au culte des arbres et de la forêt[2]. Elles sont généralement considérées comme des créatures très timides qui se montrent rarement, sauf à la déesse Artémis qui est réputée être l'amie de la plupart des nymphes. Le mot « dryades » est issu du grec ancien Δρυάδες / druádes, de δρῦς / drũs, qui signifie « chêne »[3]. Peinture représentant la dryade Caïssa Les hamadryades, contrairement aux dryades, étaient attachées spécifiquement à un arbre et mouraient avec lui s'il était abattu. Représentation classique d'une dryade Jack Vance (Le Prince des étoiles) en fit des êtres mi-humains mi-arbres. Sur les autres projets Wikimedia :

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Orphée

Mythe grec Sa femme, Eurydice (une dryade) fut, lors de leur mariage, mordue au pied par un serpent. Elle mourut et descendit au royaume des Enfers. Orphée fou amoureux d'elle, put, après avoir endormi de sa musique enchanteresse Cerbère, le monstrueux chien à trois têtes qui en gardait l'entrée, et les terribles Euménides, approcher le dieu Hadès. Il parvint, grâce à sa musique, à le faire fléchir, et celui-ci le laissa repartir avec sa bien-aimée à la condition qu'elle le suive et qu'il ne se retourne ni ne lui parle tant qu'ils ne seraient pas revenus tous deux dans le monde des vivants. Une autre version veut que lors de la remontée des Enfers, Orphée se rassure de la présence d'Eurydice derrière lui en écoutant le bruit de ses pas.

Orphée se montra par la suite inconsolable. Il circulait en Thessalie une légende au sujet de la tombe d'Orphée. Orphée est également parfois considéré dès l'antiquité comme un mage ou un sorcier[10].