Publishing is Dead, Long Live Publishing. I've discovered that " Something is Dead " headlines attract a lot of attention so I couldn't resist using one myself today. With Seth Godin announcing that he's going to ditch his traditional publisher (Portfolio part of Penguin), does it mean that book publishing as we know it is dead? I find this topic especially interesting as its something that I discussed at length when I spoke at the Digital Book World Conference back in January. Here's my take. Seth Godin is among the most popular best selling marketing authors and his latest book Linchpin sold over 50,000 copies. The publisher probably played a big role in the editing and the distribution of that book. Seth Godin knows his readers better than his publisher does . Time will tell whether other leading authors adopt a similar model.
5032 - DIFFUSIONNISME (CRITIQUE DU) La Video Virale Selon Pinkanova. Donnez moi de la vidéo virale ! The 10 types of online video that brands should embrace with gusto. Online video consumption has doubled in the space of a year, and this rate of growth may well continue for some time to come.
It provides brands with a huge opportunity to engage consumers. Smartphone penetration has helped, though I think the real reason why online video is doing so well is linked to the ease with which videos can be shared. Platforms like Facebook and Twitter are perfect for passing around videos. So what should brands be doing about this? How can they make the most of this trend towards richer, smarter, more interactive video content? I have 10 ideas for you to peruse, with plenty of examples, to show you what the smarter brands are doing. Branded Videos – M&S The retailer has made a significant investment into this space. Product Videos - ASOS If you work in e-commerce and haven’t yet embraced product videos then you need to schedule a meeting.
User Videos - Firebox User-generated videos filmed by customers are an incredibly compelling way of showing off a product. Effet Streisand. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
L'effet Streisand est un phénomène médiatique au cours duquel la volonté d’empêcher la divulgation d’informations que l'on aimerait garder cachées — qu'il s'agisse de simples rumeurs ou des faits véridiques — déclenche le résultat inverse. Par ses efforts, la victime encourage malgré elle l'exposition d'une publication qu'elle souhaitait voir ignorée. Il s'agit donc à proprement parler d'un « effet pervers »[1]. Origine[modifier | modifier le code] L'expression « effet Streisand » fait référence à un incident, survenu en 2003, au cours duquel Barbra Streisand avait poursuivi en justice l'auteur et le diffuseur d'une photographie aérienne de son domaine privé, Kenneth Adelman et Pictopia.com, afin d'empêcher sa propagation[2],[3].
Exemples notables[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Annexes[modifier | modifier le code] Et si vous pouviez modifier le cours d'un film? Qui n’a jamais rêvé de changer le cours d’un film ou de voir à l’écran une autre fin que celle que le réalisateur choisit ?
La frustration ou la déception que certains longs métrages nous inspirent -quant au déroulé de leurs intrigues- pourraient bien se voir anéanties grâce à la technique de Ben Shaul développée par les chercheurs de l’Université de Tel Aviv. Cette innovation technologique permettrait au spectateur de décider du déroulé du film tout en le regardant, une interaction qui donnerait la possibilité, par exemple, de transformer une fin heureuse en une fin tragique. "Ce procédé peut changer la façon dont les gens consomment les médias et la publicité", explique le professeur Ben Shaul, diplômé d’études cinématographiques à l’Université de New York, dans une interview au Journal Sentinel. La fin dépendra du spectateur Pour illustrer ce procédé, Ben Shaul et ses collaborateurs ont réalisé un film pilote interactif : Turbulence. Comment l’histoire finit-elle ? Anne-Sophie Balbir.