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Le discours de Sarkozy? «Un coup de poignard dans le dos de la République» A Grenoble, Sarkozy dégaine tous azimuts. Nicolas Sarkozy a sorti vendredi l'artillerie lourde sur la sécurité et l'immigration en promettant à Grenoble un nouveau renforcement de l'arsenal répressif contre les délinquants et en déplorant l'«échec» du modèle d'intégration français depuis cinquante ans.

Venu installer le nouveau préfet de l'Isère, Eric Le Douaron, choisi parmi les hauts gradés de la police après les graves violences survenues mi-juillet dans la ville, le président a d'abord tenu à voir les policiers locaux, passant près d'une heure et demie avec eux, à l'abri des caméras. Dans l'Hôtel de police, il a visionné un film sur les événements qui ont éclaté dans le quartier de la Villeneuve, où des fonctionnaires avaient essuyé des tirs à balles réelles, puis longuement discuté avec eux.

Nouveau tour de vis sécuritaire. Retrait de la nationalité aux criminels «Nous allons réévaluer les motifs pouvant donner lieu à la déchéance de la nationalité française. «La nationalité française se mérite. Renforts de police à Grenoble. Aubry condamne «la dérive antirépublicaine» de Sarkozy. Nicolas Sarkozy : une année de glissement sécuritaire. La fragile l gitimit de Nicolas Sarkozy - AgoraVox le m dia citoyen. "Le pouvoir sarkozyste" Pendant des siècles, la question de la légitimité du pouvoir et de l’autorité ne se posait pas. Elle n’avait même aucun sens. L’homme obéissait à un autre que soi et cet autre se présentait comme le représentant de « forces supérieures » (divinités ou Dieu, cosmogonies diverses, etc.) dont il tirait sa légitimité .

Le pouvoir auquel tout individu était assujetti procédait d’une cause externe, présentée le plus souvent comme surnaturelle. Les sociétés démocratiques, sous l’effet du processus de sécularisation, ont fait disparaître la cause externe qui avait permis la justification du pouvoir. C’est la raison pour laquelle, dans les sociétés démocratiques, le pouvoir est amené sans cesse à se justifier, d’autant plus que ces sociétés proclament volontiers la liberté, l’égalité et la fraternité entre tous ses membres.

Au sein des systèmes politiques démocratiques, le pouvoir résulte donc d’un pacte social, que les juristes désignent sous le nom de « Constitution ».