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Analyses financières

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Olivier Delamarche mardi 22 janvier 2013. Bientôt la fin des bourses ? Le contexte général d’incertitude explique certes partiellement la frilosité des entreprises à investir et à embaucher. La crise européenne, la falaise fiscale aux Etats-Unis de même que les négociations en cours sur le plafond de leur dette, le ralentissement du moteur chinois, sont bien-sûr autant de facteurs qui entrent en ligne de compte dans les décisions – ou dans l’absence de décision – des directions générales. Après tout, les perspectives économiques en Europe - y compris en Allemagne - n’inspirent que du pessimisme. Les Etats-Unis ayant, pour leur part, évité de justesse en fin d’année 2012 une catastrophe annoncée avec la résolution in extremis de leur contentieux budgétaire. Néanmoins, les taux d’intérêts actuels, proches du zéro absolu dans la majorité des pays aux économies dites « intégrées », devraient – en tout cas théoriquement – favoriser l’investissement de la part des patrons d’entreprises.

La réponse se trouve en fait dans la question. Philippe Béchade mercredi 9 janvier 2013. Jacques Sapir - Lundi 7 janvier 2013 - Bale 3 les Banksters [HQ] Olivier Delamarche mardi 4 décembre 2012 [HQ] Olivier Delamarche mardi 27 novembre 2012 [HQ] Jacques Sapir, 12 novembre 2012. Le rêve de Madame Merkel. Le rêve de Madame Merkel Lorsque la Grèce vivait encore sur les euros que l’Allemagne, la France et les autres pays du cœur de l’Union Européenne voulaient bien lui assurer, son chômage n’était qu’à 7.5% en 2008. Il atteint aujourd’hui des chiffres invraisemblables puisqu’il dépasse 25% tandis qu’il était autour des 18% en juillet 2011… sachant que c’est pas moins de 58% des moins de 24 ans et plus de 32% des 24-34 ans qui se trouvent sans emplois de nos jours en Grèce ! Pendant que ces jeunes défilent dans les rues pour manifester leurs angoisses et leurs rêves déchus, leur Parlement vient d’approuver de nouvelles mesures d’austérité réclamées par l’Union, par le F.M.I. et par la tristement célèbre « Troïka ».

C’est ainsi 13.5 milliards d’euros supplémentaires qui seront soustraits au peuple grec sous la forme d’augmentations d’impôts et de réductions de dépenses publiques. Article rédigé par Michel Santi, économiste ( Vidéos qui devraient vous intéresser. BOURSE/Wall Street peine à rebondir après sa plus forte chute de l'année. BOURSE/Wall Street peine à rebondir après sa plus forte chute de l'année New York (awp/afp) - La Bourse de New York tentait de rebondir jeudi, après avoir enregistré la veille sa plus forte chute de l'année, portée notamment par une bonne statistique dans le secteur de l'emploi aux Etats-Unis: le Dow Jones était stable et le Nasdaq gagnait 0,02%.

Vers 15H40 GMT (16H40 HEC), le Dow Jones Industrial Average grignotait 0,35 point à 12'933,08 points et le Nasdaq, à dominante technologique, grappillait 0,61 point à 2937,90 points. L'indice élargi Standard and Poor's 500 progressait de 0,04% (+0,51 point) à 1395,04 points. Wall Street avait été minée mercredi par l'anxiété des investisseurs face aux problèmes budgétaires qui se profilent aux Etats-Unis après la réélection du président Barack Obama: le Dow Jones avait chuté de 2,36%, son plongeon le plus important depuis le 9 novembre 2011, et le Nasdaq de 2,48%.

Microsoft prenait 0,55% à 29,24 dollars et HP 0,80% à 13,80 dollars. ds. Olivier Delamarche mardi 6 novembre 2012 [HQ] Jacques Sapir, 5 novembre 2012. BOURSE/Paris: le CAC autour de l'équilibre, l'incertitude domine. Olivier Delamarche, 30 octobre 2012. Crise de la dette, MON EPARGNE EN DANGER ! Débat : Delamarche, Herlin, Lecoq Vallon, Feron-Poloni. DEVISES/L'euro perd un peu de terrain face au dollar, marché sans direction. DEVISES/L'euro perd un peu de terrain face au dollar, marché sans direction Londres (awp/afp) - L'euro reculait face au dollar lundi, sous la pression d'inquiétudes persistantes sur l'Espagne et la Grèce dans un marché sans grande direction alors que certains cambistes américains devraient rester absents des échanges du fait d'un ouragan touchant la côte est des Etats-Unis.

Vers 10H00 GMT (11H00 HEC), l'euro valait 1,2905 dollar, contre 1,2935 dollar vendredi vers 21H00 GMT. La monnaie unique européenne baissait face à la devise nippone, à 102,73 yens contre 103,00 yens vendredi soir. Le dollar se stabilisait face à la monnaie japonaise, à 79,61 yens contre 79,62 yens vendredi soir. "Les spéculations sur le calendrier d'une demande espagnole d'aide continuent de dominer les pensées des investisseurs qui scruteront lundi une rencontre à Madrid entre le Premier ministre espagnol Mariano Rajoy et son homologue italien Mario Monti", commentait Michael Hewson, analyste chez CMC Markets. Les mentalités allemandes changeraient-elles? Les mentalités allemandes changeraient-elles' Telle qu’elle est structurée, l’Union européenne avantage nettement les petits pays dans le cadre de la crise actuelle.

Quoique moins importants dans le fonctionnement de la zone euro, les petits pays jouissant d’excédents – ou à tout le moins d’équilibre budgétaires – ne se privent néanmoins pas de faire la leçon à leurs alter ego dans la tourmente. Comme les garanties récemment exigées aux grecs par les finlandais. Ou les menaces autrichiennes d’éjecter de l’Union les mauvais élèves. A l’extrême, ces nations européennes privilégiées, mais de taille modeste, peuvent également décider de quitter l’Union, sans conséquences dramatiques pour cette dernière. Mais interrompons là ce cauchemar absolument irréaliste car le temps joue incontestablement en faveur des pays européens périphériques et, en conséquence, contre l’Allemagne.

Article rédigé par Michel Santi, économiste ( Vidéos qui devraient vous intéresser. Jacques Sapir, 30 juillet 2012. Jacques Sapir : "l'annonce de Mario Draghi est une capitulation en rase campagne" Jeudi dernier, la Banque centrale européenne a annoncé qu'elle rachèterait « sans limite » un certain nombre d'obligations (celles de un à trois ans) des pays en difficulté de la zone euro. Cette décision a été saluée comme décisive. Qu'en pensez-vous ? Mon appréciation n'est pas très positive. La déclaration de Mario Draghi a été vivement saluée dans la presse. Mais quand vous lisez le communiqué -extrêmement précis- publié par la BCE, vous vous apercevez de plusieurs choses. Tout d'abord, la BCE s'engage à faire des rachats pour les pays qui le sollicitent. .....la suite de cet entretien est disponible ICI Lire et relire sur l'arène nue Lorsque Jacques Sapir propose "la démondialisation" CLICK Papademos, Monti, Draghi, vive la technoparade européenne : CLICK Référendum sur l'Europe : et si on faisait comme Ayrault a dit ?

Chinallemagne : mourir pour la yuan ou pour l'euro ? Et si on testait les talents de la CPI sur les dirigeants de l'Europe CLICK Les entretiens de l'arène nue. Jacques Sapir, 29 octobre 2012. Jacques Sapir, 8 octobre 2012. Jacques Sapir et la crise 2012. Jacques Sapir : "dévaluer permettrait de redistribuer la richesse" Dans la première partie de cet entretien, à lire ICI, Jacques Sapir exprimait ses doutes quant aux chances de réussite du "plan Draghi" annoncé jeudi. La suite ci-dessous : Comme vous l'êtes de longue date, vous demeurez donc très pessimiste quand à la pérennité même de l'euro ? Tout à fait. Mais il faut bien savoir qu'aujourd'hui, il n'y a plus que les politiques et les journalistes pour penser que la monnaie unique ait un avenir.

Pas un banquier français, anglais, allemand ou suisse ne croit encore à sa survie ! Comment pourrait se passer fin de l'euro ? J'envisage deux scénarios possibles. En revanche, je ne vois pas de troisième solution. Payer pour la France...pour l'heure, il nous arrive d'emprunter à des taux négatifs. Pas du tout. Finalement, que peut encore faire le gouvernement français ? Le problème du gouvernement, c'est qu'il va être confronté à une monté explosive du chômage. En réalité, le chômage va augmenter beaucoup plus vite que cela. Pourquoi donc ? Oui, bien sûr. Olivier Delamarche mardi 4 septembre 2012. Olivier Delamarche mardi 11 septembre 2012. Olivier Delamarche 31 juillet 2012. Olivier Delamarche 7 août 2012. Olivier Delamarche mardi 28 août 2012. Olivier DELAMARCHE, 23 octobre 2012. Paul JORION, analyse de la crise.