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Sociétés et inégalités

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CARCEROPOLIS. Muslimah Pride Day. Près de deux mois après s’être attaquées aux cloches de Notre-Dame, les Femen ont ciblé la religion musulmane en lançant, le 3 avril, un “Topless Jihad Day” à l’échelle européenne afin de soutenir Amina, Femen tunisienne ayant été “kidnappée” par ses parents.

Muslimah Pride Day

En France, les “sextrémistes”, la poitrine nue barrée de slogans provocateurs, ont brûlé un drapeau salafiste devant la Grande Mosquée de Paris. Une action-choc qui a immédiatement déclenché la polémique (comme nous le rapportions ici), mais aussi la colère de femmes musulmanes. En guise de réponse à l’action des Femen : une page Facebook assortie d’un événement, tous deux rédigés en anglais et baptisés respectivement “Muslim Women Against Femen” et “Muslimah Pride Day”.

Les administratrices y invitent les musulmanes à “faire entendre leurs voix”, en postant de simples messages ou des photos d’elles en hijab (voile couvrant les cheveux), niqab (voile couvrant le visage à l’exception des yeux) ou la tête nue. Une planète trop peuplée ?, par Georges Minois. Le spectre de la surpopulation a refait surface en 2008, à la faveur d’une baisse des stocks alimentaires mondiaux et en raison de la dégradation accélérée de l’environnement.

Une planète trop peuplée ?, par Georges Minois

Un coup d’œil à certains chiffres n’a rien de rassurant : 218 000 bouches supplémentaires à nourrir chaque jour dans le monde, 80 millions chaque année, un effectif global de presque 7 milliards, une consommation qui augmente... La population semble peser bien lourd sur les ressources de la planète. L’humanité n’a pourtant pas attendu le début du XXIe siècle pour s’inquiéter du surpeuplement.

Quatre siècles avant notre ère, alors que le monde comptait moins de 200 millions d’habitants, Platon et Aristote recommandaient aux Etats de réglementer strictement la natalité : c’est dire que la notion de surpeuplement est plus une question de culture que de chiffres. Depuis le « Croissez et multipliez » biblique, on voit s’affronter populationnistes et partisans d’une maîtrise de la natalité.

Cities empty rural england and make it look ever more desert. Sean Harris as Womack in The Goob Looking for a statistic or two calculated to reinforce the film’s sheer strangeness, and the sense it conveys of a community pretty much detached from the pulse of modern life, I found it in the report issued last week by the think tank Centre for Cities on the increasing pace of urbanisation and the spectacular growth that has taken place over the past decade in major English population hubs.

Cities empty rural england and make it look ever more desert

Naturally, most of this expansion is down to the under-thirties – students and the young unemployed leaving home in search of jobs: according to census data accumulated in the first 10 years of the century, the number of people in Manchester aged between 20 and 29 has increased by 198 per cent. Well-off families create 'glass floor' to ensure children's success. Well-off parents create a “glass floor” for their less academically inclined children ensuring they “hoard the best opportunities” over poorer peers, a study has suggested.

Well-off families create 'glass floor' to ensure children's success

Children from wealthier families but with less academic ability are 35% more likely to become high earners than their more gifted counterparts from poor families, according to findings from the Social Mobility and Child Poverty Commission. Ma classe de 3e, dix ans après : notre avenir était écrit sur nos têtes. Est-ce qu’à 15 ans, tout est déjà joué ?

Ma classe de 3e, dix ans après : notre avenir était écrit sur nos têtes

Pour répondre à cette question, notre journaliste a retrouvé ses anciens camarades de classe : les bad boys, les fils de profs, les proto-geeks... Ma classe de troisième, en 2004, près d’Orléans En troisième, Martin (les prénoms ont été changés) était le petit génie de la classe. Le solitaire à lunettes rondes qu’on bousculait avec admiration. Une question ? « Vas-y Martin, réponds. » Aujourd’hui, la joue barbue et le cheveu mi-long, il conçoit des pièces de Formule 1 pour un matelas de presque 2 000 euros net par mois.

Making of Si vous nous lisez sur notre nouveau site mobile, peut-être avez-vous succombé au plaisir de jouer avec notre bouton « au hasard », qui vous propose de (re)lire d’anciens articles. A l’inverse du prodige fou de mécanique, Clara n’a pas laissé de traces dans mon souvenir. La voix fatiguée au téléphone, elle explique : « Pendant deux ans, j’ai été ballotée d’un intérim à l’autre. . « Tu voyais les futurs RMistes » Bien visé.