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Vision

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LE CERVEAU À TOUS LES NIVEAUX! Si l’on passe en revue les principales composantes optiques de l’œil, on a d’abord la cornée qui forme la surface externe transparente et légèrement bombée au centre de l’œil. Comme la cornée ne possède pas de vaisseaux sanguins, elle prend ses nutriments dans le milieu qui est situé derrière, l’humeur aqueuse, ainsi que dans celui qui est situé devant, les larmes répandues par le clignement des paupières. La lumière traverse ensuite le cristallin, véritable lentille qui baigne entre l’humeur aqueuse et l’humeur vitrée qui remplit l’intérieur de l’œil. La pupille est le terme employé pour désigner l’orifice qui permet à la lumière d’entrer dans l’œil et d’atteindre la rétine; elle paraît noire à cause de la couche de cellules pigmentées qui tapissent le fond de l’œil et qui absorbent la lumière.

-La singularité de la perception du temps. L’état d’esprit modifie la perception du temps. Vous n’avez jamais remarqué comment vous attendez quelque chose, comme Noël, plus longtemps qu’il n’arrive, alors que les examens que vous craignez tant arrivent toujours trop rapidement ? Ceci vient de ce que notre perception du temps qui passe dépend de votre état d’esprit, affirme une étude de psychologues qui ont étudié la science derrière le fait d’être rivé sur l’horloge.

Des chercheurs de l’École d’Économie de Paris ont trouvé que différents types d’anticipation pour un événement donné, affectaient la durée que les gens éprouvaient avant l’arrivée d’un événement, ce qui est techniquement appelé sa "durée anticipée". Le sentiment que vous "ne pouvez pas attendre quelque chose" le rend plus long à venir. D’un autre côté, la crainte d’une obligation fait paraître le temps comme plus rapide. "La durée anticipée s’allonge. Enfants, seniors, schizophrènes, dépressifs, autistes… chacun perçoit le temps à sa façon. Recréer une harmonie. Thesemartinroy. Présentation. Bienvenue à tous sur notre site consacré au TEMPS. Bien que réalisés en première, les TPE (Travaux Personnels Encadrés) comptent pour le baccalauréat. Et pour donner un sens à ces cours s’étalant sur un semestre, nous avons choisi de nous intéresser à une notion fondamentale de la nature : le temps.

Ce TPE a été réalisé par deux élèves de 1ère S 1 du lycée du Cheylard (07) : VERILHAC Loïc et CELLIER Loïc. Ce site à pour objectif de tenter de répondre à la problématique (bien que construite de plusieurs questions) suivante : Qu’est-ce que le temps ? Cette problématique s’inscrivant dans le thème « La Mesure » et dans le sous thème « Mesure, perception, illusion normative ». Différents éléments nous ont conduits à la réalisation d’un site internet.

Nous vous laissons désormais consulter l'introduction de ce TPE qui vous guidera. II- La transmission de l'image au ceeau. Comme nous l'avons vu précédemment, la lumière est captée par l’œil. Elle suit un trajet bien précis pour aboutir à la rétine. Mais que se passe t-il après ? Comment l'information est-elle transmise au cerveau ? Premièrement, quand la lumière vient « frapper » la rétine, elle va être transformée en signal électrochimique en trois étapes, en effet la rétine et composée de trois couches de cellules. D'abord, les cônes et les bâtonnets qui sont les premiers photorécepteurs. Les bâtonnets analysent en majorité l'intensité de la lumière mais ils sont moins performants quand ils s'agit d'analyser des couleurs ou des détails. Les bâtonnets sont au nombre moyen de 120 millions par œil chez l'être humain, constituant près de 95% des cellules photo-réceptives de la rétine.

Ensuite, l'information est transmise à des cellules bipolaires (appelés neurones bipolaires) . - Les cellules de grande taille capables de détecter les changements de contraste, donc aussi le mouvement (trajet M) ; I/ Transmission de l'image au cerveau. - Le blog de illusions-optiques. Les travaux de Brodmann au début du XXe siècle, ont permis de démontrer que la vision résulte également d’une activité cérébrale. De plus, le scientifique Bach-y-Rita, un neurologue de l’université du Wisconsin a dit en 1972 que « Nous ne voyons pas avec les yeux, mais avec le cerveau ».

Nous avons vu précédemment, dans le fonctionnement de l’œil, que la rétine convertit les signaux lumineux qu’elle reçoit en signaux électriques. Ces signaux électriques sont ensuite acheminés vers le cerveau. I/ Transmission du message au cerveau. La rétine, où se forme l’image, se prolonge par le nerf optique : le nerf optique de l’œil gauche et le nerf optique de l’œil droit se réunissent dans une zone appelée le chisma optique. Du chiasma partent les bandelettes optiques qui contiennent des fibres qui rejoignent les corps genouillés latéraux externes.

II/ Traitement de l'image par le cortex visuel. I- La perception de l'image par l'oeil. L’œil : de la réception de variations de lumière aux messages nerveux L’œil est un organe spécialisé dans la détection, la localisation et l’analyse de la lumière. Comment l’organisation de l’œil permet-elle la formation d’images sur la rétine ? A. La structure de l'oeil Le système visuel de l’Homme commence avec l’œil, structure complexe dont seule une petite partie, la rétine, est consacrée à la réception de la lumière, c’est-à-dire à la photoréception. Le reste de l’œil est comparable à un appareil photographique et forme des images nettes des objets sur la rétine.Comment est organisé l’œil ? Quelles sont les structures impliquées dans la formation des images ? A) Organisation externe de l’œil L’œil humain adulte est une sphère d’environ 2,5 cm dont seul le sixième antérieur est visible. Les structures intervenant dans la protection de l’œil et permettant son fonctionnement sont : Les sourcils qui protègent l’œil de la lumière et des gouttes de sueurscoulant du front.

B. 1. 2. 3. Tpe vision. Dossier SagaScience - Chimie et Beauté. Au fond de l’œil, de nombreux photorécepteurs permettent de capter la lumière. Ils transforment cette information en signal électrique qui est ensuite décodé par le cerveau pour donner la couleur. La rétine est tapissée d’une mosaïque de photorécepteurs : les cônes et les bâtonnets. Les bâtonnets sont 25 à 100 fois plus sensibles à la lumière que les cônes. Ils nous permettent de voir dans la pénombre, mais pas de distinguer les couleurs, d’où le dicton "la nuit, tous les chats sont gris" ! Les cônes, moins nombreux et moins sensibles à la lumière, interviennent dans la vision des couleurs et la netteté. Il existe trois types de cônes qui diffèrent par la radiation qu’ils détectent : de courtes, de moyennes ou de grandes longueurs d’onde. La gamme de couleurs que nous percevons a pour origine l’ensemble de ces trois réponses fondamentales. Quand ils sont excités par de la lumière, les cônes émettent un signal électrique.

Le message reçu par le cerveau est analysé et interprété.