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Etrusquie :)

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Mythologie etrusque. Déesse étrusque du Monde souterrain Dieu étrusque du Monde souterrain Déesse de l'agriculture, des champs et de la fertilité. Menarva (Menrva, Meneruva ou Menrfa) était la déesse étrusque de la sagesse et plus tard de la guerre. Elle sera ultérieurement assimilée à Minerve. Dieu des sources et de l'eau, sans doute originaire de Ombrie, et assimilé plus tard par les Romains au dieu Neptune. Déesse du Destin et de la Fortune qui avait son sanctuaire à Volsinii (Bolsena). Ses adeptes venaient au nouvel an planter un clou dans son sanctuaire, symbole de chance.

Déesse du Monde Souterrain, Phersipnei est l'équivalent de Perséphone Mère de Fufluns et assimilée à Sémélé. Dieu des frontières Dieu Etrusque des forges souterraines et du travail sur les métaux; Sethlans sera plus tard assimilé à Vulcain. Dictionnaire des mythologies en 2 volumes d'Yves BONNEFOY, Flammarion, Paris 1999. Foie de Plaisance. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Description[modifier | modifier le code] Objet[modifier | modifier le code] L'objet est une maquette en bronze d'un foie de mouton, de taille réelle, mesurant 126 mm de long pour 76 mm de large et 60 mm d'épaisseur. il a une forme grossièrement ovale.

Sa surface est principalement plate mais, sur son côté gauche, il possède trois protubérances sculptées représentant la vésicule biliaire, le lobe caudé (en) et la veine cave inférieure. Noms[modifier | modifier le code] Transcription des inscriptions gravées dans le bronze Les théonymes figurant sur l'objet sont écrites en étrusque et sont abrégés. Côté droit : Côté inférieur : tivs (ou tivr, « Lune » ?)

Historique[modifier | modifier le code] L'objet est daté de la fin du IIe siècle av. Des maquettes de foie divinatoires en argile ont été découverts dans les fouilles du Proche-Orient ancien, suggérant au moins un contact entre les Étrusques et la sphère culturelle anatolienne. Les Etrusques. Les Etrusques étaient un peuple dont le noyau principal habitait une contrée de l'ancienne Italie appelée Etrurie , et située entre la Macra, qui la séparait des Ligures au Nord, la mer Tyrrhénienne ou Inférieure à l'Ouest, et Ie Tibre, qui la séparait, du Latium au Sud, et de l'Ombrie et de la Sabine à l'Est.

Hérodote, Strabon, Plutarque et Tacite font venir les Etrusque de Lydie. . , et appelés Rasènes (Rasena), se fondirent avec eux, et formèrent le peuple nommé par les Romains Etruscii ou Tusci, et par les Grecs Tyrrhéniens. . , le point central de l'établissement des Etrusques. . , Tarquinies, Veiés, Vulsinies, Cortone, Vétulonies, Clusium, Perusia, Ruselles, Arretium, Volaterres. . , Lucques. Centrale s'était déjà établie sur les bords du Pô (Padus) au Nord (avec les cités de Brixia, Vérone , Mantoue , Felsine ou Bononia, Melpum, Hadria, etc.), et en Campanie au Sud. ), Nola, Nuceria, et, au témoignage de Strabon, Pompéi et Herculanum. Aire du territoire étrusque. et en Corse . . . . ). Religion étrusque. La religion étrusque. "Les Étrusques sont en effet très attachés au culte des dieux ; on le voit surtout au faste avec lequel ils les honorent.

" (1) Tous les auteurs antiques considéraient que les Étrusques détenaient une compétence particulière en matière de choses sacrées. Les découvertes archéologiques confirment cette impression et il est bien difficile de séparer chez les Étrusques ce qui relevait de la religion, de ce qui relevait de la civilisation tout court. C’est une religion qui présente quelques traits originaux. Tête de l’Hermès de Veiès (VIe siècle) L’Etrusca Disciplina Il s’agit d’un ensemble de textes sacrés étrusques, auxquels les Romains donnèrent ce nom, où étaient consignées les révélations divines. Ces textes décrivent les rapports que l’on doit entretenir avec le monde des dieux. Les textes n’étaient pas uniquement religieux, ils devaient inclure aussi des archives gentilices des grandes familles étrusques (Tuscae historiae).

Le panthéon étrusque La divination La mort et l’au-delà. Etrusques. Les Étrusques (Latin:Tuscii) sont un peuple qui vivait en Étrurie, territoire correspondant à peu près à l’actuelle Toscane et au nord du Latium, soit le centre de la péninsule italienne, avant la période de la royauté romaine. Leurs voisins Grecs les appelaient Thyrrhenoi, c’est-à-dire Tyrrhéniens, mais ils s’appelaient eux-mêmes Rasna.

Leur alphabet d’origine grecque, légèrement modifié, a donné naissance à l’alphabet latin que vous êtes en train de lire. Origine Selon la tradition, rien n’est certain quant à leur origine et leur provenance. D’aucuns ont voulu voir dans ce statut féminin particulier inexistant dans le monde gréco-romain une émancipation avant la lettre, mais on s’accorde à dire aujourd’hui qu’il s’agit bien plutôt d’une survivance du matriarcat pré-existant dans les cultures néolithiques anatoliennes, le patriarcat se formant durant cette même période pour se cristalliser dans la civilisation de la Grèce antique.

Langue Religion Art Expansion et déclin Héritage. La Famille et la Femme étrusque. Elle est constituée du père et de la mère qui cohabitent avec les fils et les neveux, se distinguant de la famille romaine ou grecque. Les Étrusques semblent avoir toujours eu des familles solidaires; aucun des membres de la famille ne contestait le "pater familias", l'autorité guide. Grace à des inscriptions, nous connaissons aujourd'hui les principaux noms de parenté en langue étrusque : clan signifie fils, sec fille, puia épouse, tusurthi les époux ; grand-père se disait papa, grand-mère atinacna, frère thuva, neveu papacs.

Les images des étrusques sur une tombe sont typiques, elles présentent le mari et la femme couchés l'un près de l'autre, sur le lit funèbre, en attitude digne et affectueuse, dans un geste de protection du mari et de confiance de la femme. Il s’y exprime l'importance de la famille chez les Étrusques. Le couple était solide. À noter que dans les tombes apparaît toujours en évidence auprès du nom les prénoms du père et de la mère des deux conjoints.