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5 modules de formation en ligne complets informatique et Internet, Web 2 et réseaux sociaux (PMTIC) Mis en place dès 2002 en Région Wallonne (Belgique), le PMTIC (Plan Mobilisateur TIC) propose des modules de formation et d’initiation à l’informatique, à l’Internet, au Web 2. et aux réseaux sociaux avec un accompagnement par des opérateurs locaux (dont des EPN – espaces publics numériques). L’objectif premier est de sensibiliser, d’initier et de former aux TIC (informatique et Internet), le public des demandeurs d’emploi. Ce programme est coordonné par le Laboratoire de Soutien à l’Enseignement Télématique de l’Université de Liège (LabSET). En 10 ans, ce sont plus de 2.000.000 d’heures/stagiaire qui ont été dispensées par plus de 150 formateurs. 5 modules de formation (auto-formation) sont aujourd’hui librement disponibles en ligne aussi bien pour les particuliers mais également pour les EPN avec une mise à jour régulière du contenu pédagogique d’apprentissage.

Les modules de formation sont librement accessibles en complément aux formations ou pour entretenir ses compétences. Contenu :

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Tablettes. Les bibliothèques et l’océan du web : trois exemples concrets et une mise au défi. Au mois de septembre dernier, Silvère Mercier a écrit sur son blog Bibliobsession un de ces billets importants dont il a le secret, intitulé "Les bibliothécaires, médiateurs dans l’océan du web". A Lonely Walk To The Ocean. Par Stuck In Customs. CC-BY-NC-SA. Source : Flickr. Ecrit en réaction à une thèse défendue par Bertrand Calenge, il y soutenait l’idée que les bibliothèques ne devaient plus se cantonner à privilégier l’offre commerciale, "filtrée" par le travail des éditeurs, mais devaient s’engager dans la promotion auprès de leurs publics de ressources remarquables, pêchées dans la profusion de l’océan du web : [...] les bibliothécaires sont-il les médiateurs exclusifs du monde marchand ?

Je voudrais aujourd’hui prolonger cette réflexion avec des exemples concrets, issus cette fois du domaine du livre numérique. 1) Oral Literature in Africa, par Ruth H. 2) Le crime contre nature, par Gwenn Seemel : 3) #Smartarded, par Pouhiou Alors qui le fera ? Like this: J'aime chargement… Architecte de l'information. Du tag et du fouillis : les dangers du cloud computing… et tant pis, si je passe pour un ringard… Ce matin, j’ai réagi à un billet de l’écrivain Nicolas Ancion sur son blog où il posait la question suivante : Le lecteur est-il propriétaire du texte qu’il lit ? "En cinéma, le modèle de commercialisation numérique qui semble avoir le vent en poupe aujourd’hui, c’est Netflix, un service où pour 7$ par mois, vous pouvez regarder autant de films que vous le souhaitez, en streaming, sur votre ordinateur, en toute légalité " Il élargissait son questionnement aux livres et à la musique.

Je n’ai pas épuisé dans mon commentaire sur son blog ce que cela provoque chez moi. Personnellement, le système de location ou d’abonnement ne me pose pas de problème. Je suis un adepte du cloud computing jusqu’à un certain point. Pour simplifier, vous n’avez plus de logiciels ni de contenus sauvés sur votre ordinateur, mais votre ordinateur est une simple porte d’accès aux ressources numériques sur Internet. Le principe du cloud computing est séduisant. Aujourd’hui, ils ont des discours apaisants mais demain ? Dujol Lionel Presentations. Ressources numériques : des trésors derrière des forteresses. Les contenus numériques payants accessibles en bibliothèque passent à côté des usages du web. Du coup, ils ne sont pas adaptés au public, qui les délaisse. Je suis frappé par l’énergie considérable requise pour la gestion des “ressources numériques” dans les bibliothèques publiques. Attention je ne parle pas ici des bibliothèques universitaires où la problématique est différente.

À l’attention des non-bibliothécaires qui lisent ce blog, il s’agit de contenus payants, payés par les bibliothécaires pour leurs usagers qui sont a minima identifiés comme adhérents de la bibliothèque. Nous pensons avec des mots : là où les bibliothécaires ont des “ressources numériques” le reste du monde a le web et des contenus… C’est bien pour ça, soit dit en passant, qu’il ne s’agit pas de “valoriser des ressources numériques” (via des brochures imprimées “attractives”) mais plutôt de répondre à tel ou tel besoin documentaire (par ex. que recommandez vous pour apprendre l’anglais ?) Vous en doutez ? Images. SavoirsCom1. A solved maze puzzle modelled with Blender 3d , flickr : FutUndBeidl [Ce texte a été publié sur le site de Vecam, il est signé Valérie Peugeot et fait notamment suite à l'article de Silvère Mercier intitulé Biens communs et données personnelles : il nous faut inventer !] En matière de données numériques, trois vagues médiatiques se sont succédé sous nos yeux en l’espace de moins de 3 ans.

La première nous a fait scintiller les merveilles associées aux big data, source inépuisable de nouveaux gisements de richesse de l’économie numérique – déluge de données, nouvel or noir, fin de la science… – l’escalade métaphorique semblait sans fin. La seconde a été liée au coup de tonnerre déclenché par la suite des révélations d’Edward Snowden : en quelques heures, les cris d’alarme négligés des associations de défense des libertés devenaient réalité, en pire. Nul n’avait anticipé l’ampleur et la diversité des données collectées par la NSA.