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Syriza gère mieux la Grèce que la droite... Alexis Tsipras : « S'il n'y a pas encore d'accord, ce n’est pas à cause de notre intransigeance » LE MONDE | • Mis à jour le | Par Alexis Tsipras (Premier ministre de la Grèce) Le 25 janvier, le peuple grec a pris une décision courageuse. Il a osé contester la voie à sens unique de l’austérité rigoureuse du Mémorandum, afin de revendiquer un nouvel accord. Un nouvel accord qui permette à la Grèce de retrouver le chemin de la croissance dans l’euro avec un programme économique viable et sans renouveler les erreurs du passé. Ces erreurs ont été payées cher par le peuple grec.

Pis encore, malgré les coups durs qui ont été portés au tissu social, ce programme n’a pas réussi à redonner à l’économie grecque sa compétitivité. Mettre fin au cercle vicieux Le principal but du gouvernement grec au cours des quatre derniers mois est de mettre fin à ce cercle vicieux et à cette incertitude. Aujourd’hui, l’Europe est en mesure de prendre des décisions qui déclencheront une forte reprise de l’économie grecque et européenne en mettant fin aux scénarios d’un « Grexit » (Grèce exit). Privatisations. Alexis Tsipras signe l'échec du "noeud coulant" européen. Depuis son élection à la tête du pays, voici plus de quatre mois, Alexis Tsipras s'était montré discret dans les médias. Il laissait plus volontiers parler ses ministres, en particulier son ministre des Finances, Yanis Varoufakis, qu'il était toujours possible, ensuite, de démentir. Cette fois, dans une tribune publiée sur le site Internet du Monde, le premier ministre hellénique s'engage directement.

Et il ne le fait pas au hasard. Dénouement imminent La partie d'échec qui s'est engagée avec les élections du 25 janvier arrive en effet avec ce mois de juin à son terme. Pendant quatre mois, les créanciers de la Grèce ont joué la montre en espérant que, devant les difficultés financières, le nouveau pouvoir grec cèderait à leurs injonctions. La mise à jour de la stratégie européenne C'est précisément l'inverse qui s'est produit.

Qui doit « revenir sur terre » ? La situation est alors entièrement inversée. Le refus de la zone euro « à deux classes » Le défi lancé par Athènes. "L'échec des négociations avec la Grèce serait l'échec de l'Union européenne" La Tribune - Croyez-vous aujourd'hui qu'un accord avec les créanciers sur la base des conditions du gouvernement grec est possible ? Zoe Kostantopoulou - C'est une question de démocratie. Le gouvernement grec a été récemment élu sur un mandat clair : protéger la société contre la crise humanitaire provoquée par les politiques d'austérité imposées par les memoranda ; renforcer l'Etat de droit et l'Etat social ; restaurer les procédures démocratiques qui ont été violées à de nombreuses reprises pour imposer ces mesures et, enfin, créer des bases pour permettre ce qui est un des buts principaux de l'Union européenne : la prospérité de ses peuples et de ses sociétés.

Parallèlement, les négociations se déroulent alors même que ce gouvernement a commencé à mettre en place son programme. Il va de soi que tous les partenaires européens et toutes les institutions qui prennent part à ces négociations doivent respecter ce processus. Et si cela n'est pas possible ? Greek bailout monitors hold emergency summit. Pourquoi Angela Merkel n'est pas prête au Grexit. Alors que les négociations semblent plus que jamais bloquées entre la Grèce et ses créanciers et que l'on cherche désormais des moyens de repousser des échéances (la Grèce pourrait payer l'ensemble des dettes dues au FMI fin juin), l'issue de la crise repose sans doute dans le choix que fera Angela Merkel.

Mardi 26 mai, le quotidien allemand Die Welt, indiquait, comme le suggérait La Tribune depuis quelques semaines, que la chancelière et son ministre des Finances Wolfgang Schäuble sont en désaccord sur la question de la sortie de la Grèce de la zone euro. Le fond de l'opposition Schäuble-Merkel Cette opposition n'est pas une nouveauté. Les deux responsables allemands veulent conserver l'union monétaire, non seulement pour des raisons politiques, mais aussi pour des raisons d'intérêts économiques. L'euro est essentiel pour l'industrie exportatrice allemande en lui accordant une monnaie faible et en la protégeant des dévaluations compétitives de ses fournisseurs. Le risque géopolitique. Sapir : «Le défaut de paiement de la Grèce risque d'entraîner sa sortie de la zone euro»

FIGAROVOX/ENTRETIEN - Le ministre de l'Intérieur grec a annoncé ce dimanche que son pays ne pourrait rembourser sa dette envers le FMI en juin. L'économiste Jacques Sapir décrypte les conséquences que pourrait entraîner ce défaut de paiement. Jacques Sapir dirige le groupe de recherche Irses à la FMSH, et coorganise avec l'Institut de prévision de l'économie nationale (IPEN-ASR) le séminaire franco-russe sur les problèmes financiers et monétaires du développement de la Russie. Vous pouvez lire ses chroniques sur son blog RussEurope. La Grèce «ne paiera pas la prochaine tranche au FMI de 1,6 milliard d'euros, entre le 5 et le 19 juin», a déclaré dimanche à la télévision Nikos Voutsis, le ministre de l'Intérieur. Qu'est-ce que cela signifie-t-il concrètement? Que peut-il se passer si Athènes met sa menace à exécution? Il faut commencer par préciser que la menace concerne l'un des prêts accordés par le FMI à la suite des plans de sauvetage mis en place de 2010 à 2012.

Europe : l'échec de la stratégie du "containment" Les élections locales espagnoles du dimanche 24 mai signent, au-delà du contexte local, l'échec de la stratégie des Européens depuis le coup de tonnerre de la victoire de Syriza le 25 janvier dernier. Le refus du compromis avec le gouvernement grec a été caractérisé par le rejet complet des « listes de réformes » présenté par Athènes, par la mise en place d'un processus d'asphyxie financière de la Grèce et l'insistance sur des mesures d'austérité que l'on hésitait à imposer au gouvernement conservateur d'Antonis Samaras.

Les buts des créanciers de la Grèce Quel était le but de cette stratégie ? Certainement pas, comme on essaie de le faire croire, assurer le remboursement des dettes contractées par la Grèce auprès de ses « partenaires. » Assure-t-on un tel remboursement en menant un pays au bord du défaut, en réduisant les moyens d'action de son gouvernement et en faisant peser sur sa croissance la menace d'un défaut et d'une sortie de la zone euro ? La stratégie du « containment » Aloïs Navarro sur Twitter : "44% des grecs (61% parmi les électeurs Syriza) veulent sortir de l'€.

Grèce : M. Tsipras pris en tenaille entre ses créanciers et sa majorité. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Adéa Guillot (Athènes, correspondance) Le gouvernement grec l’affirme : les négociations avec les créanciers du pays (Fonds monétaire international, Commission européenne, Banque centrale européenne) seraient dans la dernière ligne droite. Un accord entraînant le déblocage de tout ou partie des 7,2 milliards d’euros de prêts encore disponibles dans le cadre du plan d’aide en cours pourrait être annoncé d’ici à la fin du mois.

Trouver un compromis devient plus urgent que jamais car, si l’on en croit le ministre de l’intérieur, Nikos Voutsis la Grèce ne pourrait pas honorer ses échéances au Fonds Monétaire International (FMI), en juin. « Nous devons rembourser, entre le 5 et le 19 juin, 1,6 milliard d’euros au FMI. Nous ne donnerons pas cet argent car nous ne l’avons pas », a déclaré M. Voutsis, dimanche 24 mai lors d’un entretien sur la chaîne privée Mega. Quel est l’état des finances grecques ? Le gouvernement grec peut-il faire face à ses échéances ? Crise grecque : Athènes n’entend pas plier face à des demandes « irrationnelles » de l’Europe. Le gouvernement grec espère arriver prochainement à un compromis avec ses créanciers mais n’a pas l’intention de plier face à ce qui pourrait être « demandes irrationnelles » de l’Europe. « Nous avons fait ce que nous avions à faire, c’est maintenant au tour de l’Europe », a lancé le premier ministre grec Alexis Tsipras devant le comité central du parti de la gauche radicale Syriza, samedi 23 mai.

Le chef du gouvernement, qui assure que son pays est dans « la dernière ligne droite d’une période douloureuse et difficile », a insisté sur le fait que « la majorité des Grecs demande une solution viable, et pas seulement un accord ». Alexis Tsipras a accusé « certains représentants de créanciers » de profiter de l’asphyxie de liquidités dont souffre la Grèce pour renverser l’accord du 20 février, qui avait permis à Athènes d’obtenir une extension de quatre mois de son programme d’assistance financière.

Lire aussi : Athènes face à ses créanciers : l’amorce d’un compromis ou la crise. Grèce : à quoi joue Wolfgang Schäuble ? Mais que cherche donc Wolfgang Schäuble ? Ce vendredi 22 mai, le ministre fédéral allemand des Finances a « évoqué », selon l'agence Bloomberg, dans « une réunion privée » la mise en place d'une « monnaie parallèle » en Grèce « en cas d'échec des discussions avec les créanciers. » Certes, les « deux personnes » qui ont donné cette information à Bloomberg affirme que Wolfgang Schäuble n'avait pas « soutenu » cette option.

Ce dernier a, du reste, nié la véracité de cette information peu après. Pourquoi une monnaie parallèle De quoi parle le ministre allemand ? Si l'Etat grec n'a plus accès à aucun financement extérieur, il lui sera fort difficile de faire face à ses engagements, y compris s'il fait défaut sur le FMI et sur la BCE. S'il ne veut pas quitter la zone euro, la possibilité d'émettre des créances de l'Etat libellées en euros et ayant valeur monétaire (ce que l'on appelle des « IOU ») deviendra une option pour le gouvernement afin de faire face à ses besoins les plus urgents.

Grèce : les créanciers deviennent nerveux. Certains créanciers de la Grèce commenceraient-ils à paniquer ? En tout cas, ils semblent chercher clairement à trouver une porte de sortie au blocage dans lequel leur propre intransigeance a conduit les discussions actuelles. Selon le quotidien munichois Süddeutsche Zeitung (SZ) de ce jeudi 21 mai, les créanciers européens envisageraient de renouveler « jusqu'à l'automne » le programme d'aide à la Grèce qui, rappelons-le, devait venir à échéance le 31 décembre 2014 et a déjà été prolongé deux fois, de deux, puis de quatre mois, jusqu'au 30 juin. 4 milliards d'euros pour cet été Une victoire pour Syriza ?

En revanche, selon la SZ, les réformes du marché du travail et des pensions seraient remises à plus tard, officiellement à l'automne. Les créanciers seraient donc alors prêts à reconnaître leur impossibilité à franchir les « lignes rouges » tracées par le gouvernement grec et sur lequel ce dernier a clairement fait savoir qu'il ne bougerait pas. Division au sein du camp des créanciers. Défaut de paiement: le gouvernement grec bluffe-t-il? - L'Express L'Expansion. Echéance après échéance, la Grèce rembourse sa dette, malgré l'inexorable épuisement de ses liquidités. Lundi 11 mai, alors que l'état de ses finances publiques reste difficile à évaluer, elle a ainsi versé 750 millions d'euros dus au FMI. Mais selon le quotidien grec Kathimerini, le Premier ministre Alexis Tsipras a écrit le 8 mai aux dirigeants de la Commission européenne, du FMI, et de la BCE pour leur dire que la Grèce ne serait pas en mesure de payer l'institution de Washington. Selon Kathimerini, citant des sources européennes, Alexis Tsipras aurait également appelé le secrétaire américain au Trésor Jack Lew pour l'avertir.

Bluff ou réel coup de stress? Des créanciers inflexibles Alexis Tsipras souhaitait également que la BCE débloque le plafond des émissions de bons du Trésor à court terme qui sont pour l'instant la source de financement principale du gouvernement. Le FMI remboursé... >> Lire: Grèce: "On va vers un défaut de paiement dans les quinze jours" Tsipras aurait menacé de ne pas honorer l'échéance de mai-presse. ATHENES, 16 mai (Reuters) - Le Premier ministre grec Alexis Tsipras aurait affirmé aux créanciers de la Grèce que son pays ne serait pas en mesure de rembourser les 750 millions d'euros dus au Fonds monétaire international en mai sans l'octroi immédiat de liquidités, rapporte le journal Kathimerini, samedi.

Citant des sources européennes, le journal précise que Tsipras a adressé le 8 mai un courrier en ce sens au président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker, à la directrice générale du FMI Christine Lagarde et au président de la BCEMario Draghi. La Grèce a finalement puisé dans sa position de réserve auFMI pour rembourser lundi 750 millions d'euros qu'elle devait au Fonds monétaire international lui-même.

Dans son courrier, Alexis Tsipras explique que son pays est à court de liquidités domestiques ayant rempli les obligations de sa dette sans recevoir aucune aide dans le cadre du plan de refinancement de 240 milliards d'euros depuis le mois d'août. Photos du journal - Guillaume Duval Perso. Grèce: Varoufakis réclame un report du remboursement de la dette détenue par la BCE. Pour Yanis Varoufakis, "c'est clair": le remboursement des quelque 27 milliards d'euros de dette grecque détenus par la Banque centrale européenne (BCE), qui vient à échéance dans les mois ou les années à venir,"doit être repoussé à un délai plus lointain", a affirmé jeudi 14 mai le ministre grec des Finances au cours d'une conférence à Athènes.

"Sur juillet-août, le ministère des Finances devra emprunter 6,7 milliards d'euros à nos partenaires d'une manière ou d'une autre pour rembourser des obligations du programme SMP", a-t-il notamment souligné, en référence aux obligations achetées sur les marchés par la BCE dans le cadre de son "programme pour les marchés de titres" (Securities Markets Programme, SMP) sur la période 2010-2011.

En janvier Benoît Coeuré, l'un des directeurs de l'institution de Francfort, avait prévenu que la dette grecque détenue par la BCE ne pouvait pas être restructurée. Au fur et à mesure que les obligations arrivent à échéance, Athènes doit les rembourser. Grèce : un Eurogroupe optimiste pour la forme, mais le blocage persiste. Le ton était volontairement à l'optimisme ce lundi 11 mai au soir à l'issue de l'Eurogroupe, la réunion des ministres des Finances de la zone euro, concernant les négociations de la Grèce avec ses créanciers. Le court communiqué qui a suivi la réunion des Dix-Neuf « salue les progrès qui ont été réalisés jusqu'ici » dans les négociations.

Certes, le communiqué « reconnaît que davantage de temps et d'efforts sont nécessaires pour combler les fossés demeurant sur les problèmes ouverts. » Mais il « salue l'intention des autorités grecques à accélérer leur travail avec les institutions afin d'atteindre une conclusion réussie de la revue en temps et en heure. » Et Yanis Varoufakis, le ministre grec des Finances, s'est, dans la conférence de presse qui a suivi la réunion, livré à un bel exercice d'optimisme affiché. Pourquoi cet optimisme ? Voici donc pour la mise en scène. Il s'agissait clairement de convaincre que des progrès ont eu lieu et qu'un accord est possible.

Blocages persistants. Grèce : pourquoi Yanis Varoufakis est-il insupportable aux Européens ? Il semble que l'exercice soit devenu le passage obligé de tout journaliste travaillant sur les questions européennes. Depuis quelques semaines, les colonnes des journaux s'emplissent d'articles à charge contre le ministre hellénique des Finances, Yanis Varoufakis. Le dernier en date est celui publié par le journal français de référence, Le Monde, qui titre, avec appel de une, sur « l'exaspérant Monsieur Varoufakis. » L'agacement européen Le schéma de ces articles est souvent le même : l'homme est jugé évidemment compétent (il est difficile de lui contester cette qualité, sauf à contester celle des habituels « clients » des journaux économiques), mais insupportable et absolument nul en négociations.

De nombreuses citations issues de Bruxelles suivent pour montrer combien, en effet, cet économiste grec est « agaçant » aux yeux des fonctionnaires et officiels européens, avec ses chemises bariolées, son ton docte et son « fort ego. » Le storytelling européen contre Yanis Varoufakis. François Momboisse sur Twitter : "#Grece @yanisvaroufakis regrette la drachme, et n'hésite pas à le dire.:) via @CoralieDelaume. Nouveau sondage en Grèce sur l'euro, et... - Olivier Delorme Romancier. Grèce : les concessions du gouvernement sont-elles le signe d'une capitulation à venir ? Le nouveau gouvernement finlandais : un obstacle de plus pour la Grèce ? La Grèce rembourse le FMI en puisant dans un « fonds d'urgence »

La Tribune - Edition Quotidienne du 07-05-2015 - Grèce: divergences entre Bruxelles et le FMI, un accord définitif compromis. La Tribune - Edition Quotidienne du 07-05-2015 - Mon plan d'action pour le redressement de la Grèce. Les 100 jours de Syriza. Net progrès dans la négociation sur la Grèce.

Grèce : le président allemand favorable à des réparations de guerre. La BCE relève encore le plafond de son financement d'urgence des banques grecques. Grèce : Comment Alexis Tsipras tente de contourner les blocages des créanciers. Grèce : le dilemme de la BCE. Grèce : le message très ferme du nouveau "conciliateur" Grèce : après trois mois, quel bilan budgétaire pour le gouvernement Tsipras ?

Grèce: première privatisation du gouvernement d'Alexis Tsipras - Economie. Grèce : débats à l'Eurogroupe autour d'un "plan B" L'Eurogroupe incapable de sortir de l’impasse grecque. Grèce : le scénario du défaut de paiement. Gazprom : Russie visée, Grèce touchée. Cinquième anniversaire de l’aide financière à la Grèce | euronews, économie. Quelles sont les prochaines dates critiques pour la Grèce et pour l’euro ? Grèce : la popularité d'Alexis Tsipras recule, mais reste élevée.

La BCE renonce à durcir les conditions d'accès à la liquidité des banques grecques. La FIFA menace la Grèce d'un Grexit... footballistique ! Grèce : à quoi joue la BCE ? Grèce: la BCE prête à durcir l'accès au financement d'urgence ? Grèce : faute d'accord sur un deuxième plan d'aide, l'UE en envisage un troisième. «Un défaut partiel de la Grèce est possible» - entretien avec Thanos Contargyris. Changer l'Europe ! - Propositions pour sortir la Grèce du piège de la dette - Libération.fr. La Grèce réquisitionne les réserves de cash des entités publiques. Grèce : les Européens sous pression. La Russie pourrait verser de 3 à 5 milliards d'euro à la Grèce... - OD.

Filikí Etería n°5 : La Grèce vue de Grèce – revue de presse. La Grèce en route vers la « double monnaie » ? La BCE contre le projet grec sur les saisies immobilières. Tsipras-Poutine: ce qu'il faut retenir de la rencontre. Facebook. Alexis Tsipras à Moscou ou l'échec de la stratégie du "noeud coulant" Pourquoi la Grèce provoque-t-elle l'Allemagne sur les réparations de guerre ? La Grèce va réintégrer ses fonctionnaires licenciés - Economie. Grèce : pourquoi Manuel Valls a choisi la passivité. La Grèce a remboursé le FMI, malgré les doutes suscités ces derniers jours. « La Grèce doit sortir de l'euro », pour l'économiste Frédéric Lordon. La Grèce paiera les 460 millions d'euros dus au FMI le 9 avril.

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Jean Quatremer on Twitter: "Au lendemain de la pâque grecque, le 14/04, contrôle des capitaux puis Grexit? Sauf retour à la raison, le calendrier se resserre. #Grèce" Et si les Grecs préparaient leur sortie de l'Euro avec l'aide de... Poutine ? Grèce : derrière les sourires, le noeud coulant se resserre encore. La BCE demande aux banques grecques de ne plus acheter de dette d'Athènes. Grèce: pourquoi Alexis Tsipras pourrait dire "non" Merkel et Tsipras se rencontrent pour « dépasser les stéréotypes » Grèce : la dangereuse ambiguïté des "réformes" Grèce : l'apprenti-sorcier Jeroen Dijsselbloem. Grèce : ce que révèle le refus de Bruxelles de traiter l'urgence humanitaire. La Grèce adopte la première loi du gouvernement Syriza contre la pauvreté. Un présentateur TV allemand confesse avoir truqué une vidéo de Varoufakis.

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