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Comment Nestlé a dévoré la planète. Les astuces des industriels et distributeurs pour masquer les hausses de prix. Décidément, mieux vaut être attentif aux étiquettes quand on fait ses courses. Officiellement, la guerre des enseignes a en effet provoqué un recul inédit des prix dans la grande distribution depuis 2013. Selon l'IRI, un organisme qui épluche les tickets de caisse de l'Hexagone, ceux-ci ont diminué en moyenne de 1,2% en 2015, et même de 2% sur les produits de marque nationale. >> A lire aussi : Sans lactose et sans viande, pour les industriels de l'agroalimentaire, le moins rapporte plus.

L'ennui, c'est que, à volume de consommation inchangé, les ménages dépensent de plus en plus : + 0,8% en 2015 toujours selon l'IRI, soit une hausse similaire à celle de 2014. Cette montée en gamme n'explique pourtant pas tout, loin de là. >> En vidéo : Dix millions de tonnes de produits alimentaires, d'une valeur commerciale de 16 milliards d'euros, sont perdues ou gaspillées tous les ans en France, dans le monde 1,3 milliards de tonnes d'aliments sont jetés. Incroyable ! Belle affaire. Bizarre ! Richard Girardot, P-DG de Nestlé France. Michel-Edouard Leclerc : tout sucre, tout "MEL" Lsa-conso. Leclerc 3 fois moins cher ? Décryptages d'une leçon d'image prix. Il y a quelques jours j'avais parlé dans le blog de la dernière étude image prix et du comparateur de prix de Leclerc : Qui est perçu le moins cher ?

Et Qui est le moins cher, une question sans réponse ? La réponse est maintenant connue : pour ceux qui en doutaient. Leclerc à coups de films TV et de pleine page dans la presse annonce le retour de son comparateur. On retrouve le classement habituel qui porte sur près de 1500 produits de marque nationale. A noter : le nombre de magasins est plus restreint et en conséquence l'idée initiale de comparer par zone de chalandise est passée à la trappe. En revanche, une grande nouveauté en France. Pour la première fois, un distributeur annonce en communication à l'extérieur des magasins qu'il est le moins cher sur ses premiers prix et marques de distributeurs. L'accroche de l'annonce presse : "Pour nous, être moins cher, c'est être 3 fois moins cher.

" Que retenir de cette nouvelle prise de parole de l'enseigne ? 1/ Elle frappe fort et rapidement. RPT-Nestlé accélère sa restructuration avec une croissance en berne. Nestlé (SIX:NESN) a laissé entendre jeudi que sa croissance organique pourrait manquer de souffle au quatrième trimestre tandis qu’il accélère son programme de restructuration dans le cadre de ses efforts pour améliorer sa marge. Les géants de l’agroalimentaire sont confrontés à la nécessité de réfléchir à leurs activités et à leurs portefeuilles de marques en raison des nouvelles exigences des consommateurs, qui réclament davantage de produits frais, sains et fabriqués localement. Ils doivent parallèlement faire face aux pressions de plus en plus fortes d’investisseurs activistes exigeant une meilleure rémunération des actionnaires.

Nestlé a dit s’attendre à un recul de 0,4 à 0,6 point de pourcentage de sa marge d’exploitation en 2017 en raison de la hausse de ses coûts de restructuration, qui pourraient atteindre un milliard de francs, soit le double du montant initialement prévu. Bertrand Boucey reuters. Grande distribution : des prix bas, mais à quel prix ? En novembre 2016, l’Etat a assigné Carrefour pour "pratiques commerciales abusives". Mais quelles sont précisément ces méthodes dénoncées aujourd’hui par le gouvernement ? Ecouter l'émission ici : Des négociations musclées C’est en ce moment (novembre 2016), que commence le traditionnel cycle de négociations qui réunit les industriels et les grandes surfaces. A partir du 1er novembre et jusqu’au 28 février (c’est la loi qui détermine cette période), les deux parties discutent les prix qui seront en vigueur pendant un an. Selon Richard Panquiault, le délégué général de l’ILEC, l’association qui réunit une bonne partie des grandes marques qui remplissent les rayons des grandes surfaces, ces négociations s’annoncent particulièrement tendues cette année : Aujourd'hui, ce n'est plus de la négociation, c'est un diktat.

Chacun joue un rôle, dans les discours, les postures. On est dans un jeu de négociation poussé à l'extrême. "Il n'y a pas forcément d'interdit. Une charte de bonne conduite. Nestle Marseille. Nestlé veut vendre son usine de Quimperlé. Nestlé poursuit sa politique de restructurations. Après le site de Saint-Menet, à Marseille, le groupe suisse a décidé de céder son usine de Quimperlé, dans le Finistère. Il veut trouver un repreneur pour le site breton qui emploie 216 salariés et produit des aliments pour animaux de compagnie, commercialisés sous les marques Friskies, Fido ou Felix. La direction veut convoquer le comité central d'entreprise (CCE) le 13 décembre et refuse, pour l'instant, de communiquer sur les raisons de cette nouvelle cession. Les syndicats parlent, eux, de « délocalisation ». Force ouvrière affirme ainsi que le groupe a prévu de répartir la production du site de Quimperlé sur ses autres usines en Europe, et « dans une moindre proportion » sur les quatre autres sites de ce type en France. « Les salariés sont très surpris par cette décision », dit Didier Perennec, secrétaire FO du CCE, même si certains signes avant-coureurs avaient déjà alerté les syndicats.

Lénaïg Bredoux. La valeur partagée : innover en sortant des territoires habituels. Nestlé France : une référence logistique pour le groupe. Le récent basculement, sans heurt ni désordre, du système d'information de la supply chain partie Épicerie sèche de Nestlé France, vers la suite de solutions ERP de SAP, SAP/R3, a toutes les chances de constituer prochainement le modèle à suivre pour les marchés développés dans le cadre de Globe, nom donné voici quelques années par Nestlé à sa démarche d'optimisation mondiale.

D'ailleurs, ce n'est sans doute pas tout à fait un hasard si Jean-Luc Jarrin, qui a pris l'an dernier les rênes de la Supply Chain pour toute la partie épicerie sèche de la filiale, activité qui représente la moitié de son poids économique (en chiffre d'affaires non consolidé), fait aujourd'hui partie des équipes de consultation de Globe pour la logistique. Trois années de mise au point Les trois années de mise au point nécessaire qui ont précédé le basculement ont mobilisé en ressources humaines pas moins d'une centaine d'années hommes ! Un nombre de livraison divisé par trois 25 typologies de flux mis en équation.

Le dossier noir des grandes surfaces. Incroyable chasse aux croix chez Lidl, Danone, Nestlé, Carrefour, etc. ! Quand il s’agit de fêtes ou de symboles d’autres religions – le ramadan par exemple -, nos publicitaires adeptes de la “diversité” sont, curieusement, beaucoup moins regardants… OD « Les deux coupoles de l’Anastasis (Résurrection), l’église grecque orthodoxe du village d’Oïa dans l’île de Santorin en Grèce, offrent un paysage très souvent utilisé dans la publicité.

Seulement voilà, il y a un détail qui pose maintenant problème aux publicitaires : il y a des croix sur la coupole des églises ! C’est ballot ça ! Ainsi, la chaîne LIDL, en Belgique, n’hésite pas à retoucher la photo ! Et ce n’est pas la seule comme on peut le voir ci-après. « Nous évitons l’utilisation de symboles religieux car nous ne souhaitons exclure aucune croyance religieuse », a répondu le représentant du géant allemand de la grande distribution, après qu’un client se soit étonné. « Nous sommes une entreprise qui respecte la diversité et c’est ce qui explique la conception de cet emballage », a-t-il encore ajouté.