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Chap 4

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L'économie Globale vu par South Park. L'inflation pour les nuls par la BCE. Comprendre La crise en 5 Minutes. Crise financiere expliquée aux nuls. Revenus-Salaires - Part des prestations sociales dans le revenu disponible brut des ménages en 2010. Aller au contenu Aller au menu principal Aller à la recherche Liens transversaux haut Menu principal Passer le menu Thèmes Graphique associé Retour au tableau Part des prestations sociales dans le revenu disponible brut des ménages en 2012 Liens transversaux bas. Revenus-Salaires - Revenus des ménages. Sommaire Présentation En 2009, la progression du revenu disponible des ménages ralentit à + 1,0 %, après + 3,2 % en 2008.

Dans le même temps, le prix de la dépense de consommation des ménages ralentit davantage (– 0,6 % après + 2,9 %). En conséquence, le pouvoir d'achat des ménages accélère : il progresse de 1,6 % contre + 0,4 % l'an passé. Cette évolution porte sur la masse globale des revenus perçus par les ménages. La masse salariale nette recule en valeur de 0,2 % après + 3,3 % en 2008. Le solde net des intérêts reçus par les ménages se détériore fortement après s'être légèrement amélioré en 2008. En 2009, les impôts sur le revenu et sur le patrimoine payés par les ménages diminuent de 4,4 % après + 5,0 % en 2008. Tableaux et graphiques Haut de page Pour en savoir plus « Les revenus d'activité des indépendants du commerce, de l'industrie, du BTP et des services en 2007 », Insee Première n° 1306, juillet 2010. « L'économie française », Insee Références, édition 2010.

Distribution des richesses et pauvreté. Partout dans le monde, les richesses sont distribuées inégalement dans la population. Par exemple, en France, l’écart des revenus d’activité va de 1 à 500, et les 10 % de ménages aux revenus disponibles les plus élevés concentrent plus de 35 % du revenu total. Mais la dispersion des patrimoines privés est encore bien supérieure, allant facilement de 1 à dix millions ; sans doute, 55 à 60 % du patrimoine total des Français est concentré dans les 10 % de ménages les plus riches. Cette concentration de la propriété dans la France actuelle est tout à fait semblable à celle qui prévalait dans la France d’Ancien Régime, à la veille de la Révolution (Braudel, Labrousse, 1970).

Mais la riche classe dirigeante ne tend-elle pas naturellement à lutter contre l’entropie, en s’efforçant constamment d’accentuer plus encore en sa faveur la concentration des richesses, au-delà de l’équilibre, avec la redistribution publique en guise de compensation ? Références - Piketty Thomas (2001) . - CERC (2004). Le patrimoine des Français. Les difficultés statistiques pour évaluer le patrimoine sont plus importantes que pour estimer le revenu. Mais même avec leurs imperfections, les évaluations fournies par l’Institut national de la statistique (INSEE) donnent des indications intéressantes, notamment en ce qui concerne la composition et la répartition du patrimoine des ménages français. Globalement, les ménages détiennent un patrimoine brut estimé, fin 2010, à environ 11400 milliards d’euros soit un patrimoine net de 10200 milliards d’€, déduction faite d’environ 1200 milliards de dettes contractées par les ménages.

Cela représente 78 % du patrimoine national et inclut le patrimoine professionnel des entrepreneurs individuels . L’immobilier, poids lourd du patrimoine des ménage Fin 2010, la valeur des propriétés immobilières représentait 65 % du patrimoine brut des ménages, réparti à peu près à égalité entre la valeur des logements et celle des terrains. 12 % en 1995, 10 % en 2005 et 11 % en 2010 du patrimoine des ménages. RevenusPatrimoines2010. Les ménages épargnent comme au plus fort de la récession. Ce n'est pas une bonne nouvelle pour la croissance : les ménages consomment moins et épargnent davantage.

C'est ce qui ressort des résultats détaillés des comptes nationaux trimestriels publiés mercredi 28 septembre par l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). Au deuxième trimestre 2011, révèlent-ils, pendant que la croissance marquait le pas, le taux d'épargne des ménages a bondi de 1,1 point à 17%, soit son niveau le plus élevé depuis le troisième trimestre 2009. Pendant cette même période, les ménages ont vu leur pouvoir d'achat accélérer, passant d'une hausse de 0,2% au premier trimestre à +0,6% au deuxième, à la faveur d'une moindre pression fiscale et du dynamisme de la masse salariale et des prestations sociales.

Malgré cela, ils ont consommé moins – leurs dépenses en valeur ont reculé de 0,2%, après avoir augmenté de 1,1% – et épargné beaucoup plus comme ils le faisaient au cœur de la récession. Patrimoine - Qui ? possède Combien ? Conomie - Taux d'épargne des ménages. Définitions et méthodes - Épargne des ménages.