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Comment le mythe de la « bonne réponse » tue la créativité – Formation 3.0. L’école est de plus en plus soupçonnée de « tuer la créativité ». Parmi les mythes qui traversent les institutions académiques, il en est un particulièrement tenace et toxique : celui de la « bonne réponse« . L’école tue la créativité, affirme Sir Ken Robinson, dans un célèbre entretien TED que j’ai d’ailleurs relayé dans ce blog. Sir Ken Robinson chez TED Je ne peux que le constater au fil de mes expériences de formateur, que ce soit avec des étudiants ou avec des enseignants.

Cette action délétère de l’école ne relève pas d’une volonté consciente de tuer la créativité tant des étudiants que des enseignants. Mais c’est la structure même des institutions académiques et certains mythes qui les traversent qui finissent par étouffer dans l’œuf toute velléité de créativité. Le mythe de la « bonne réponse » toxique pour la créativité Un de ces mythes qui tuent la créativité des enfants comme celle des maitres, est celui de la « bonne réponse ». La pensée divergente et la pensée convergente. La politique éducative face au défi de penser le numérique | Fondation Jean-Jaurès. Fred Turner : «Trump utilise un outil individuel, Twitter, pour promouvoir un monde essentiellement fasciste» Quel rapport entre les expositions des années 40 au MoMA, les happenings des années 60 et… Twitter ? Une même impulsion originelle, théorisée par un groupe d’intellectuels américains au début de la Seconde Guerre mondiale : l’idée de dispositifs multimédias comme antidotes à la propagande fasciste.

Dans Aux sources de l’utopie numérique (C & F Editions, 2012), Fred Turner, professeur à l’université Stanford (Californie), racontait, à travers le parcours de l’éditeur Stewart Brand, comment le rêve d’émancipation des communautés hippies s’était réinventé dans l’utopie d’un «Nouveau Monde» numérique. Son nouvel ouvrage, le Cercle démocratique, poursuit cette entreprise généalogique en remontant le parcours des modes de communication dédiés à produire une «personnalité démocratique» - soit «un état d’esprit fortement individué, empathique et rationnel, favorable à la diversité raciale et religieuse».

Comment définissez-vous le concept d’«encerclement démocratique», au cœur de votre livre ? Les absents (3/5) : L’impossible déconnexion ? Avec Cindy Felio, psychologue du travail et maître de conférences en Sciences de I’ Information et de la Communication à l'université de Bordeaux, auteure d’une thèse sur les risques psychosociaux des nouvelles technologies ; (duplex de Nantes) Marie Le Douaran, journaliste, elle travaille depuis un an à sa déconnexion de nombreux sites web ; (par tel) Sylvie et Pierre Massot, membres du Château de La Gravière en Aquitaine, un lieu qui propose des cures de déconnexion à leurs hôtes.

Nous parlons du difficile chantier de la déconnexion notamment au travail, à l’heure où le droit à la déconnexion est en passe d’être voté. Programmation musicale : Macklemore and Ryan Lewis, Starting OverClement Janequin, Le Chant des Oyseaulx Intervenants Cindy Félio : psychologue du travail, doctorante en sciences de l'information et de la communication (laboratoire MICA, Bordeaux 3) Marie Le Douaran : journaliste indépendante Sylvie & Pierre Massot : hôtes du Château La Gravière (Vertheuil, Aquitaine) Forme scolaire numérique JFC. Théorie de l'information - Wikipédia. La théorie de l'information, sans précision, est le nom usuel désignant la théorie de l'information de Shannon, qui est une théorie utilisant les probabilités pour quantifier le contenu moyen en information d'un ensemble de messages, dont le codage informatique satisfait une distribution statistique que l'on pense connaître.

Ce domaine trouve son origine scientifique avec Claude Shannon qui en est le fondateur avec son article A Mathematical Theory of Communication publié en 1948. Parmi les branches importantes de la théorie de l'information de Shannon, on peut citer : Dans un sens plus général, une théorie de l'information vise à quantifier et qualifier la notion de contenu en information présent dans un ensemble de données dans un certain contexte.

Elle est à distinguer de la théorie algorithmique de l'information, créée par Kolmogorov, Solomonoff et Chaitin au début des années 1960. Information selon Shannon, concept de la physique mathématique[modifier | modifier le code] . . Exemple. FICHE EXPERTS : MEMOIRE DIGITALE. Education aux médias à l'heure des réseaux - Alain Kiyindou, Laurence Corroy-Labardens, Francis Barbey - Education. La télévision oeil de demain. Un film chinois se moque des gens rivés sur leurs smartphones. Cycle du hype. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le « cycle du hype » ou « cycle de la hype » est une traduction littérale de l'anglais hype cycle. Il s'agit essentiellement d'une courbe décrivant l'évolution de l'intérêt pour une nouvelle technologie.

Le terme hype cycle désigne une représentation des technologies « à la mode » ou en développement à un instant donné : le nom anglais hype signifie publicité racoleuse, battage publicitaire ou hyper médiatisation. On peut soit mettre en œuvre ce concept pour une technologie donnée (chaque technologie innovante passant par les étapes du cycle), soit établir régulièrement un schéma représentant l'ensemble des technologies émergentes et leur position sur ce cycle (c'est ce que fait le groupe Gartner dont ce schéma est une marque déposée). Cinq phases[modifier | modifier le code] general Hype Cycle for technology Chaque cycle se décompose en cinq phases-clés : Critiques[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code]

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Les démystificateurs du numérique. Les classiques connectés | Olivier Ertzscheid. Et si Baudelaire avait écrit un hymne aux algorithmes au lieu de son hymne à la beauté ? Et si Jean de La Fontaine avait connu Google, Facebook et Amazon, quelle fable aurait-il choisie pour raconter notre rapport à ces acteurs ? Et quelle morale en aurait-il tiré ? Et si Aragon avait été davantage fasciné par les « données » plutôt que par les Yeux d'Elsa ? Si, plutôt qu'un renard, c'est Google qui avait appris au Petit Prince le sens du mot apprivoiser ?

Anthologie critique réalisée en l'an 4097 pour nous aider à appréhender dès aujourd'hui l'évolution de notre rapport au monde... connecté. Articles similaires La Révolution dans la poche I Véronique Pittolo Et voilà le versant sérieux des questions que se pose l'auteur, Véronique Pittolo, avant cette descente au milieu de Robespierre, Marat et les autres. Article similaire Journées de lecture I Marcel Proust Saphir Antalgos, travaux de terrassement du rêve | Cécile Portier Le rêve et la vie quotidienne. Note%20travail%20renaissance%20numerique.

M. Tournier

Quelques bases humanistes. Loi de Moore. P.Plantard. Corps et numérique. Michel Tardy. Pierre Levy. Gerard Berry. Stéphane Vial. Milad Doueihi. S.Tisseron. Seymour Papert. Revues des sciences de l'information. « Nous mesurons en temps réel le niveau d’attention des élèves » RSLN | François Taddéi : « Avec le numérique, les élèves deviennent co-auteurs des solutions de demain » Les technologies représentent-elles une opportunité pour l’éducation du plus grand nombre ? François Taddéi : Aucun doute ! Le numérique permet d’accéder à beaucoup plus d’informations qu’auparavant et à échanger avec beaucoup plus de personnes. Concernant plus spécifiquement l’éducation, les technologies nous font passer de la posture de « récepteur » à celle d’« auteur » ou de « co-constructeur ». Concrètement, qu’est-ce que le numérique apporte à l’éducation ? Prenons l’exemple de l’imprimerie : c’est quelque chose de complètement centralisé.

Sur Internet, il est possible de faire autant de variantes du programme d’histoire, ou de n’importe quelle autre matière, qu’il peut y avoir de contributeurs. L’exemple probant est celui des jeunes qui quittent le système scolaire (school dropout). L’outil numérique renforce donc l’autonomie des élèves ? S’autonomiser dans l’apprentissage nécessite donc de nouvelles méthodes plus adaptées à la société numérique…