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eArchiving

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Des enjeux énormes. La valeur probante d’un document dématérialisé: l’excellence luxembourgeoise a tout intérêt à sortir le premier référent européen en la matière.La gestion électronique des documents (GED) est souvent devenue une évidence dans les entreprises, encore que le contexte et les besoins soient toujours à apprécier en amont, avant de se lancer.

Des enjeux énormes

Cela étant, n’en déplaise aux «faux amis» franco-anglais, une évidence n’est pas une preuve. Pour l’instant. C’est, entre autres, sur ce terrain du legal digital archiving (archivage électronique à valeur probante) que se meut FedISA Luxembourg, association qui vient de se lancer officiellement. Un auditoire plus que rempli, pour leur première sortie, démontre l’intérêt que suscite la branche luxembourgeoise de la Fédération de l’ILM, du Stockage et de l’Archivage. » Blog Sollan - Ne pas confondre GED et Archivage. Des archives dématérialisées. Une archive légale ne peut pas être conservée sur un support modifiable comme la disquette en son temps. L'électronique, c'est fantastique. Plus besoin de garder chez soi des centaines de négatifs, on peut désormais conserver toutes ses photos de vacances sur son PC. 430 LE CHIFFRELa capacité de stockage d'archives de la société Learch est aujourd'hui de 430 terabytes.

Six terabytes lui ont déjà été réservés par la société des P&T pour notamment stocker les preuves de virements de ses clients. La société a de la place pour un grand nombre d'entreprises puisque comme elle l'expliquait hier, la totalité des archives juridiques d'une entreprise ne nécessite qu'entre 100 ou 150 megabytes. De notre journaliste Delphine Dard Mais en même temps, personne n'est à l'abri d'une fausse manipulation pouvant effacer ces souvenirs à jamais.

Sommes-nous vraiment prêts à la dématérialisation des archives? Un coffre-fort électronique La sécurité avant tout Les conseils du pro. «On quitte le monde du papier» Un projet de loi sur l’archivage électronique est en préparation au Luxembourg. Benoit Poletti, senior manager Advisory & Consulting chez Deloitte, et Damien Ghielmini, directeur au sein du même cabinet, en expliquent le contenu et les retombées économiques possibles. Messieurs Poletti et Ghielmini, quels sont le contexte et le calendrier du projet de loi sur l’archivage électronique?

«Le projet de loi fait l’objet de discussions depuis plusieurs mois maintenant. Il répond aux attentes du marché en matière de dématérialisation et d’archivage électronique de documents figés, c’est-à-dire tous les documents qu’on aurait pu stocker sur papier (factures, contrats…). C’est le ministère de l’Economie qui gère le calendrier. En quoi consiste le texte? «Le cadre législatif actuellement en vigueur au Luxembourg (qui date de 1986, ndlr.) ou, par exemple, en France, couvre les aspects liés à la signature électronique, donc à l’authenticité du document. Plusieurs secteurs sont en tout cas concernés. Apsi Day : « L’archivage légal » Ce jeudi 15 décembre dans les locaux du célèbre pâtissier Namur, l’Association des Professionnels de la Société de l’Information a donné une conférence sur l’archivage légal visant à informer la communauté IT des nouvelles dispositions légales en la matière. La soirée s’est articulée autour de différentes thématiques à savoir : Contexte réglementaire et normatif – Xavier Lisoir, PWC Pour ses 25 ans, le cadre juridique en matière d’archivage électronique va prochainement bénéficier d’un toilettage en profondeur.

Conscientes des limites et des incertitudes liées aux textes actuels, les autorités vont offrir au pays une base légale qui lui ouvrira les portes des transactions intégralement dématérialisées. En effet, plus que le « simple » archivage électronique, les textes à venir vont permettre de dématérialiser et de repenser l’ensemble de la chaine de valeur. Avantages et désavantages de la dématérialisation, les dix erreurs à éviter – Vincent Kolaczynski, CK. Learch – Luxembourg e-Archiving. L’archivage prend son envol. Luxair, LBBW Luxemburg, la Banque des P&T, elles sont de plus en plus nombreuses les sociétés luxembourgeoises comme étrangères qui s’orientent vers le modèle «Archive as a Service» proposé par la société d’archivage électronique Luxembourg e-Archiving qui vise des marchés sectoriels et géographiques européens et diversifiés.

Interview de Serge Raucq, administrateur délégué, Bernard Hermant, directeur agréé, et Xavier Laignel, responsable marketing. L’archivage numérique, service informatique à part entière, se décline aussi en mode «As a Service», un service que vous proposez. Comment cela fonctionne-t-il? Xavier Laignel: L’ «Archive as a Service» est le premier pilier de notre activité qui reprend le concept désormais bien connu du mode SaaS, le «Software as a Service». Notre objectif avec ce concept est de proposer un service complet externalisé d’archivage numérique à valeur légale et pérenne.

Ce qui signifie pas d’achat de licence… Vous évoquiez un «premier pilier».