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Armes

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Armement médiéval. La bataille d'Azincourt (1415) entre les Anglais et les Français pendant la guerre de Cent Ans. Miniature du XVe siècle. Armement mérovingien[modifier | modifier le code] L'armement franc a longtemps été vu comme l'une des principales causes des succès militaires de ce peuple au haut Moyen Âge. Parallèlement, l'historiographie moderne a prêté de grandes qualités militaires à Clovis et à certains de ses successeurs qui surent plus particulièrement agrandir le royaume au détriment de leurs voisins. En réalité, Grégoire de Tours n'a que cette phrase pour qualifier les premiers succès francs dus à ce roi : « Il fit beaucoup de guerres et remporta certaines victoires », ce qui tendrait à montrer que Clovis ne fut ni plus doué, ni plus chanceux que ses prédécesseurs moins connus. Aujourd'hui, l'hypothèse qui tend à triompher explique plus leurs succès retentissants par l'influence romaine qu'ils subirent précocement, que par une quelconque supériorité technique.

Schéma descriptif d'une catapulte. Moyen-âge : l'épée médiévale. L'pe est un incontournable de l'armement mdival. Nous allons ici prsenter les principaux fondamentaux de l'pe mdivale. Gnralits de l'pe mdivale Lpe mdivale est fondamentalement une lame de mtal conue pour 3 fonctions : couper (ou trancher), parfois trouer (estoquer), et parer. Les pes mdivales ont pour la grande majorit des lames larges et droites double tranchant, avec une extrmit pince ou effile, et une hampe cruciforme et droite.

La longueur de la lame varie, mais seulement de quelques centimtres. Epe mdival : caractristiques de la Lame La lame d'une pe mdivale possde certains caractristiques propres. Longueur de l'pe mdivale La longueur dpend en fait de la taille du porteur de nombreux facteurs. Poids d'une pe mdivale Une pe mdivale une main pse moins de 1,5kg. Le tranchant d'une pe mdivale Le tranchant dune pe mdivale ressemble plus celui dun burin qu' celui dun couteau de boucher. Une pe mdivale d'estoc a vidememnt une pointe plus fine. Epe mdivale : proprits mcaniques. Armement du chevalier. « Armement du chevalier » expliqué aux enfants par Vikidia, l’encyclopédie junior L'armement défensif[modifier] La broigne[modifier] C'est une tunique de tissu ou de peau.

Un quadrillage de bandes de cuir, ou des plaques métalliques, des clous, des anneaux cousus la renforçaient. Elle est fendue par devant ou sur les côtés afin de ne pas gêner les mouvements des jambes. Elle couvre le torse, les bras, les cuisses , la tête grâce à un capuchon. Le haubert[modifier] Pour protéger son corps le chevalier revêtait une cotte de mailles ou haubert. L'armure de plaques[modifier] Au cours du XIVe siècle avec l'introduction de nouvelles armes puissantes comme l'arbalète, le haubert va être remplacé par une armure faite de plaques de métal articulées. Toutefois, en France, pendant la Guerre de Cent Ans, on a cru qu'en rendant les armures plus épaisse, on arriverais à arrêter les redoutables flèches des archers anglais.

Le Heaume (casque)[modifier] Le Gorgerin et la Bavière[modifier] L'Art de la Guerre au Moyen Âge. Faire la guerre au Moyen Âge Stratégie militaire Au Moyen Âge, à l’exception de Crécy, Bouvines ou Azincourt, il n’existe pas vraiment de grandes batailles. La majorité des opérations militaires consistent à éviter la bataille rangée et l’affrontement en rase campagne. La majorité des conflits ne sont que des escarmouches ou des embuscades (cependant meurtrières), des raids et des opérations relativement courtes mais avec des déplacements relativement longs en raison de la progression lente des armées.

Souvent, dans les conflits locaux, il s’agissait de mettre en difficulté son adversaire en l’affaiblissant militairement (perte d’hommes, de matériel…) et économiquement (demande de rançons, destruction des ressources). La bataille de Crécy (1346) (Bibliothèque Nationale de France) Tactique militaire La bataille rangée Refusée la plupart du temps, la bataille rangée était cependant le point le plus culminant de toute campagne. Sièges et places fortes Les Sièges Le château fort Les corps d’armées. Épée. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme d’« épée » est polysémique : Le présent article s’intéresse au sens numéro 1. Il aborde également le second sens, mais de manière mineure. La forme de l'épée détermine son utilisation, bien que la très grande majorité des épées combinent les deux types d'utilisations possibles de taille et d'estoc : de taille : coup portée avec le fil de l'épée (l'arête tranchante) ;d'estoc : coup porté dans l'axe de l'épée pour transpercer son adversaire.

Histoire[modifier | modifier le code] Antiquité[modifier | modifier le code] Les épées, c'est-à-dire des armes ayant une lame d'au moins trente centimètres, sont connues dès l'âge du bronze. Difficile à manier, l'épée s'affirme au départ comme une arme de prestige et devient durant l'antiquité l'arme par excellence qu'utilise le cavalier pour frapper « de taille » le fantassin.

Sans doute à cause des traits évoqués, l'épée est une arme dont la fabrication est confiée à des spécialistes. L'épée. C'est l'arme par excellence du chevalier et de l'homme d'arme du Moyen Age. L'origine de l'épée remonte à la plus haute l'antiquité et même sans doute à l'âge du bronze. Les Grecs et les Romains utilisaient des épées plutôt courtes (60 centimètres environ) d'abord en bronze puis en fer. Toutefois, leur qualité n'était pas excellente. L'usage de l'épée longue semble débuter à l'époque Franque et plus spécialement Carolingienne.

A partir de cette période, l'épée devint l'arme la plus noble et portait même souvent un nom (la plus célèbre est Durandal, l'épée de Roland) et son pommeau renfermait parfois des reliques. Elle mesurait environ 90 centimètres. Différent types de poignées: De gauche à droite 1- Epée du XIIe 2- Epée à 2 mains du XIVe à quillon recourbé 3- Epée du XVe 4- Epée du XVe à quillon chevauché.