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Luxbox - Groupe Figaro // LuxShocking 15 janvier 2013. Cure d'austérité au « Figaro » Le groupe Figaro annonce un plan de départs en prévision d'une année 2013 "extrêmement difficile" "Le Figaro" lance une nouvelle formule et veut faire payer plus d'articles sur le Net. Le quotidien Le Figaro sort une nouvelle formule, jeudi 28 mars, axée sur "la valeur ajoutée, le reportage, l'approfondissement, le commentaire" .

"Nous souhaitons monter en gamme sur le papier, avec davantage de sobriété, des articles plus longs, de manière à laisser parler l'information" , explique Alexis Brézet, directeur des rédactions. Le groupe de presse, propriété de l'avionneur Serge Dassault, veut accentuer la spécificité de chaque support : "Le site raconte l'actualité, le journal papier décrypte, tandis que Le Figaro Magazine crée sa propre actualité, résume M. Brézet. Nous renonçons à l'idée d'un quotidien exhaustif. " Chaque cahier du journal s'ouvre désormais sur un ensemble "Evénement", qui comptera entre une et trois pages selon l'actualité. Nouvelles formules des Figaro. Début d’année en fanfare pour le groupe Figaro qui entame une refonte pour l’ensemble de ses supports, à découvrir aujourd’hui, 29 mars.

Nouvelles formules des Figaro

Le Figaro quotidien, le Figaro magazine, Lefigaro.fr ou encore Madame Figaro, aucun n’a été oublié. « Il s’agit d’un plan ambitieux, assure Marc Feuillée, directeur général du groupe Figaro. Nous avons la ferme intention de faire la différence. » Pourtant, le groupe se porte plutôt bien avec un chiffre d’affaires de 530 millions d’euros en 2012, pour un résultat net positif de 25 millions d’euros. « Pour se développer et résister dans notre secteur, il faut à la fois investir et faire des économies », poursuit-il. En prévision d’une année 2013 difficile, le groupe a d’ailleurs annoncé, en décembre dernier, un plan de départs volontaires qui pourrait concerner environ 80 salariés. « Nous suivons notre plan de marche », commente Marc Feuillée.

Un projet global Singulariser chaque support Accélération sur la vidéo Un nouvel accompagnement publicitaire. Y a-t-il vraiment eu grève au Figaro? Le Figaro a-t-il vraiment connu, jeudi, sa première grève depuis 1969?

Y a-t-il vraiment eu grève au Figaro?

Après l'annonce, dans la matinée, d'un plan de départs volontaires concernant 70 à 90 d'entre eux, environ 250 salariés, réunis en assemblée générale vers 16h30, ont majoritairement voté la grève à main levée. Le directeur général du Figaro, Marc Feuillée, reconnaît qu'il y a eu "de l'émotion" au sein de la rédaction. Mais pas plus: "Je pense que certains ont réagi, c'est compréhensible, mais il n'y a pas eu de grève, assure-t-il. Le mouvement n'a pas été suivi et personne ne s'est déclaré gréviste auprès de son chef de service". La presse veut faire payer les moteurs de recherche. INTERVIEW - Les éditeurs ont adressé au gouvernement un projet de loi.

La presse veut faire payer les moteurs de recherche

Ils plaident pour un rééquilibrage des relations entre la presse et la technologie. Nathalie Collin, présidente de l'Association de la presse d'information politique et générale, Francis Morel, le vice-président, et Marc Feuillée, le président du Syndicat de la presse quotidienne nationale, plaident pour un rééquilibrage des relations entre la presse et la technologie. LE FIGARO. - Les éditeurs de presse présentent un projet de loi visant à faire payer les moteurs de recherche pour l'utilisation de leurs contenus. Le Figaro modernise l'ensemble de son offre éditoriale.

De nouvelles formules du quotidien, du Figaro Magazine et du site lefigaro.fr sont simultanément lancées. Chaque support renforce sa spécificité. L'explosion des nouveaux usages numériques impose de changer. Le Figaro rénove simultanément l'ensemble de son offre éditoriale. Les lecteurs du quotidien ont ainsi découvert, jeudi matin, un journal plus clair, à la une épurée. Les internautes ont aussi déjà pu surfer sur un site profondément rénové, avec plus de services, un nouveau portail vidéo baptisé «Le Figaro TV» et une dimension communautaire renforcée.

Toutes les équipes du Figaro se sont mobilisées autour de ce projet depuis six mois. «Nous sommes partis d'une conviction forte: chaque support doit affirmer sa spécificité en s'inscrivant dans une temporalité qui lui est propre», détaille Alexis Brézet. Marc Feuillée, directeur général du Figaro et président du SPQN - 8 février - BFM : Le 20h30.