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Sytrad-FR3. Je veux mon bac bio ! Réseau Compost Citoyen | Le réseau des acteurs du compostage citoyen de proximité. Je veux mon bac bio. Le bac option bio: une épreuve de force. Bien vue, cette campagne de sensibilisation lancée par le Centre National d'Information Indépendante sur les Déchets (Cniid) pendant les épreuves du bac 2013. Initiée le 4 juin, elle souhaite interpeller les politiques sur le sort des déchets alimentaires et de jardin qui remplissent en moyenne un tiers de nos poubelles et génèrent de multiples pollutions. En matière de bio-déchets donc, comment faire pour ne pas se prendre un zéro pointé ? Quelle orientation doivent choisir les collectivités pour éviter de redoubler de dépenses inutiles ? Il y a ordures et ordures Le réflexe est peut être plus répandu à la campagne: mettre ses déchets organiques de côté pour les mettre ensuite au fumier ou dans le compost.

Sauf si on s'en donne la peine, d'autant que le jeu en vaut la chandelle: laissés dans nos poubelles, les biodéchets ont des effets néfastes qu'ils n'auraient pas autrement. Que faire dans ces conditions pour limiter les pollutions ? 2,1 millions de français ont déjà un bac bio. Composterie CLER VERTS : vente de compost, recyclage de déchets organiques et bio-dechets, composterie, compostage, recyclage du bois, criblage et broyage à Belesta Lauragais, Toulouse, Villefranche de lauragais, 31, Haute-Garonne. Je veux mon bac bio, une campagne nationale pour le tri des biodéchets. Le Centre national d'information indépendante sur les déchets (Cniid) a lancé le 4 juin, avec le soutien de nombreuses associations environnementales*, une campagne nationale sous le slogan "Je veux mon bac bio", pour interpeller les décideurs politiques sur le sort des biodéchets en France.

Ces déchets alimentaires et de jardin, qui constituent un tiers de la poubelle des Français, sont composés de matière organique et donc facilement valorisables sous forme de compost et de biogaz. Mais en l'absence de tri à la source, ils sont aujourd'hui majoritairement enfouis ou incinérés et donc à l'origine de pollutions, souligne le Cniid qui s'adresse aussi aux collectivités à ce sujet. Seulement 3% de la population bénéficie en effet d'une collecte séparée des biodéchets, ce qui ouvre la voie au développement du tri mécano-biologique (TMB), un procédé jugé "inquiétant" par les promoteurs de la campagne. Anne Lenormand. Gestion des déchets : en finir avec les demi-mesures. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Gilles van Kote Est-ce vraiment un paradoxe ? Alors que la France compte parmi les fleurons de son économie deux groupes de dimension internationale présents dans le secteur des déchets, Veolia et Suez Environnement, ses performances en matière de gestion des déchets la placent au milieu du peloton européen.

Avec un taux de recyclage et de compostage de ses ordures ménagères de 37 % en 2011, selon les dernières statistiques disponibles, elle est légèrement au-dessous de la moyenne communautaire (40 %), et bien loin des pays d'Europe du Nord, qui frisent ou dépassent les 50 %. La faute, en premier lieu, à un taux de mise en décharge de 28 %, quand les pays les plus vertueux ont quasiment éradiqué ce mode de traitement, classé bon dernier dans la hiérarchie européenne définie par la directive sur les déchets de 2008. En résumé : plus ... Demandez votre bac bio pour le tri à la source des biodéchets ! Campagne du Cniid en faveur du tri à la source des biodéchets. Pour alerter les pouvoirs publics sur la nécessité de gérer les biodéchets autrement, le Centre national d'information indépendante sur les déchets (Cniid) lance une campagne "Je veux mon bac bio" à travers une pétition en ligne et invite les citoyens à participer au recensement des intiatives de compostage partagé.

" Si la France veut répondre aux objectifs de 45% de taux de recyclage en 2015 et de 23% de production d'énergie renouvelable d'ici 2020, les biodéchets ne doivent plus être les grands oubliés de la gestion des déchets ", pointe Laura Caniot, chargée de mission Prévention des déchets et alternatives. Le Cniid déplore que les biodéchets (déchets alimentaires et de jardin) soient aujourd'hui majoritairement enfouis ou incinérés. "Un tri doit être mis en place aujourd'hui par les collectivités locales pour capter la majorité du gisement , assure le Centre dans un communiqué, seuls 3% de la population française sont en effet concernés par une collecte séparée des biodéchets ". La campagne "Je veux mon bac bio" interpelle sur le sort des biodéchets en France.

Le Centre national d'information indépendante sur les déchets (Cniid) lance aujourd'hui [mardi 4 juin 2013] la campagne de mobilisation nationale "Je veux mon bac bio". Cette campagne, soutenue par de nombreuses associations [voir en bas de page], a pour objectif d'interpeller les décideurs politiques sur le sort des biodéchets en France. La poubelle d'un Français contient plus d'un tiers de biodéchets (déchets alimentaires et de jardin) composés de matière organique, facilement valorisables sous forme de compost et de biogaz. Mais faute de tri à la source, ils sont aujourd'hui majoritairement enfouis ou incinérés, générant ainsi de nombreuses pollutions. Complémentaire des actions locales de compostage partagé et individuel, qui suscitent à juste titre un fort engouement citoyen, un tri sélectif doit être mis en place aujourd'hui par les collectivités locales pour capter la majorité du gisement.

Source : www.cniid.org. Le CNIID, avec le soutien de plusieurs associations, interpelle sur la nécessité d’une gestion séparée des biodéchets. Biodéchets : des actions pour développer la collecte. Authentification. Mobilisation nationale pour la collecte sélective des biodéchets. 93 collectivités l'ont déjà mise en place dans l'Hexagone A l’initiative du Centre national d’information indépendante sur les déchets (Cniid), plusieurs associations lanceront un appel, demain 4 juin, auprès des responsables politiques pour qu’ils développent les collectes sélectives de biodéchets en France. 3% de la population: tel est le poids (plume) de la collecte sélective des biodéchets made in France.

Seulement 2,2 millions d’habitants ont le privilège de détenir une poubelle spécifique pour leurs déchets alimentaires (1). Une situation très marginale en France, due au seul bon vouloir de la collectivité responsable de la gestion des déchets (la municipalité, l’intercommunalité ou le syndicat). Il faut ajouter à ces collectes les milliers d’initiatives de compostage partagé qui ont fleuri dans les écoles, les cours d’immeubles, les associations, etc. «Parmi les freins au développement de la collecte séparée des biodéchets, on observe avant tout le désarroi des collectivités. « Je veux mon bac bio » - Environnement - Témoignages.RE - Nouvelle campagne du CNIID pour le tri des biodéchets. « La poubelle d’un Français contient plus d’un tiers de biodéchets (déchets alimentaires et de jardin) composés de matière organique, facilement valorisables sous forme de compost et de biogaz.

Mais faute de tri à la source, ils sont aujourd’hui majoritairement enfouis ou incinérés, générant ainsi de nombreuses pollutions. Complémentaire des actions locales de compostage partagé et individuel, qui suscitent à juste titre un fort engouement citoyen, un tri sélectif doit être mis en place aujourd’hui par les collectivités locales pour capter la majorité du gisement. Seuls 3% de la population française sont en effet concernés par une collecte séparée des biodéchets, ouvrant la voie à un développement inquiétant du tri mécano-biologique (TMB). La France est l’un des derniers pays d’Europe à utiliser cette technologie risquée, mal contrôlée et coûteuse pour produire un compost destiné à l’agriculture, à partir d’ordures ménagères en mélange.