[Harcèlement et stress au travail] Danone: Qu'est-ce qui vous plaît le PLUS dans votre entreprise ? DANONE. Compte-rendu de la conférence « Les nouveaux paradigmes de la motivation » : 13 mai 2014. Après avoir interrogé « l’Education du dirigeant » lors de notre conférence du mois d’Avril, nous avons poursuivi notre cycle de travail sur la « fin du management » en explorant cette fois-ci « les nouveaux leviers de la motivation ».
Le groupe de travail qui -lors de notre séance inaugurale du 12 février dernier- a préparé cette thématique a clairement identifié ce qui constitue pour les salariés d’aujourd’hui le facteur clé de sa motivation : la mise en œuvre et la reconnaissance de sa « juste place » dans la culture et le projet singuliers de l’entreprise. Notre invité d’honneur Neel Doshi est totalement en phase avec cette affirmation. Il a livré au Cercle du leadership, et pour la première fois à un public français, le fruit de 15 ans de ses recherches démontrant que les leviers de la motivation sont internes à l’individu et que tout l’art du management consiste à les faire émerger.
Les leviers de la motivation : une approche disruptive Pourquoi ce constat ? Grant Thornton. Le ras-le-bol des "Danone" Cela fait quatre ans que ça n’était pas arrivé.
Depuis lundi, quatre usines de la branche produits frais du groupe Danone sur cinq et la plateforme logistique sont bloqués. Avec 1,2% d’augmentation générale dont 0,2% pour la hausse des cotisations retraite complémentaire, au lieu des 1,7% demandés par les syndicats, la proposition de la direction est restée en travers de la gorge des salariés. D’autant que le groupe a versé aux actionnaires 25,8 millions d’euros et touché un chèque de 1,6 millions d’euros au titre du crédit d’impôt compétitivité emploi (CICE). « C'est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase», résume Denis Enfert, secrétaire du comité central d’entreprise et délégué syndical CGT de l’usine de Ferrières en Normandie. « Quand les salariés l’ont appris, ceux du site de Molay-Littry en Normandie ont décidé de se mettre en grève, notre syndicat (la CGT-NDLR) a fait tourner l’information et les autres usines ont rejoint le mouvement », raconte le syndicaliste.
Salaire, condition de travail : le ras-le-bol des Danone. Cela fait quatre ans que ça n’était pas arrivé.
Depuis lundi, quatre usines de la branche produits frais du groupe Danone sur cinq et la plateforme logistique sont bloqués. Avec 1,2% d’augmentation générale dont 0,2% pour la hausse des cotisations retraite complémentaire, au lieu des 1,7% demandés par les syndicats, la proposition de la direction est restée en travers de la gorge des salariés. D’autant que le groupe a versé aux actionnaires 25,8 millions d’euros et touché un chèque de 1,6 millions d’euros au titre du crédit d’impôt compétitivité emploi (CICE). « La goutte d’eau », résume Denis Enfert, secrétaire du comité central d’entreprise et délégué syndical CGT de l’usine de Ferrières en Normandie. « Quand les salariés l’ont appris, ceux du site de Molay-Littry en Normandie ont décidé de se mettre en grève, notre syndicat (la CGT-NDLR) a fait tourner l’information et les autres usines ont rejoint le mouvement », raconte le syndicaliste. « Ici, il y a un vrai malaise.
Salariés : Il est où le « beau travail » ? (CGT) Quelle malchance !
Au moment même où, unis comme toujours, le gouvernement et le MEDEF se lancent dans une campagne télévisée de promotion du « beau travail », deux études publiées, ce jeudi 22 mai, par la CGT des Ingénieurs Cadres et Technicien-ne-s (CGT-UGICT) viennent déconstruire le message enchanteur déjà mis à mal par le 9e Baromètre Edenred-Ipsos sur le bien-être et la motivation des salariés européens, rendu public en début de semaine. « Les travailleurs de France sont plus mécontents au travail que leurs homologues européens », révélait, mardi 20 mai, cette étude, soulignant que « non seulement ils sont plus nombreux à se déclarer démotivés, mais ils se disent aussi plus souvent insatisfaits de la reconnaissance de leur travail, de la considération qu’on leur montre, ou encore de la rémunération fixe qu’ils perçoivent. »