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Psycho

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What to do with a degree in psychology | Money. What do actor Katharine Hepburn (right), Playboy magazine founder Hugh Hefner and serial killer Ted Bundy all have in common? The answer is that they all read psychology at university – perhaps not in itself a compelling argument for studying the subject, but an indication at least that when it comes to different walks of life, psychology students form a broad church. The same, fortunately, goes for your job prospects. From research analysts to retail managers, a good grasp of human behavioural patterns and the science of the mind will put you in the thoughts of all sorts of employers.

What skills have I gained? Psychology graduates develop the transferable skills that all employers require, such as communication, numeracy, independent learning and the ability to work in teams. Courses accredited by the British Psychological Society (BPS) contain substantial teaching on statistics and research methodology, as well as scientific methods. What careers can I pursue? Postgraduate study? Les limites de la mesure de soi. Kevin Kelly, cofondateur du Quantified Self a prononcé la conférence de clôture de la première édition de la conférence sur la quantification de soi qui se tenait la semaine dernière à Mountain View en Californie, permettant, comme le dit Ethan Zuckerman qui en rapportait les propos, d’offrir un contexte pour comprendre les propos échangés pendant deux jours. Pour Kevin Kelly, auteur de What technology Wants (Ce que veut la technologie), la quantification de soi fait partie d’une tendance plus large vers laquelle nous allons.

Cette tendance plus large consiste à être à l’écoute de la technologie, parce que « la technologie nous dit où elle va ». La quantité d’information ne cesse d’augmenter, plus rapidement que tout ce que nous faisons. On estime d’ailleurs que le volume d’information croit de 66 % par an. Image : Gary Wolf et Kevin Kelly sur la scène de la première édition de la conférence Quantified Self, photographiés par Marc Smith. Nous n’échapperons pas au Lifestream. Où va la “quantification de soi” Ce week-end se tenait à Mountain View la première édition de la conférence Quantified Self (QS) (que l’on pourrait traduire littéralement par « la quantification de soi » pour parler « de la capture, de l’analyse et du partage de ses données personnelles », comme l’explique Emmanuel Gadenne). Nous avons parcouru les différents comptes rendus de cette conférence, organisée par Gary Wolf et Kevin Kelly qui avaient lancé ce mouvement (voir Nos vies gérées par les données et Finalement, documentez-moi !)

Pour tenter de vous en rendre compte. Quantification ou amélioration ? En observant certains ateliers, on pouvait se demander quel est l’objectif de « cette mesure de soi ».Matthew Trentacoste, est étudiant à l’université de la Colombie-Britannique et dirigeait une séance de discussion sur le « suivi de l’attention » aux rencontres du Quantified Self, rapporte Ethan Zuckerman. L’internet n’est pas une pièce calme, explique Matthew Trentacoste. What is Asthmapolis ? Et les données ? La théorie argumentative : le rôle social de l’argumentation. En juillet dernier, lors de l’ouverture du séminaire sur « la nouvelle science de la moralité » de la revue The Edge, Jonathan Haidt, professeur de psychologie sociale au département de psychologie de l’université de Virginie a évoqué un article publié récemment dans la revue Behavioral and Brain Sciences, qu’il a qualifié de « tellement important » que les « résumés devraient en être affichés dans les départements de psychologie de tout le pays ».

Cet article signé Hugo Mercier, doctorant en philosophie, politique et économie à l’université de Pennsylvanie, et Dan Sperber, directeur de le l’Institut international de la cognition et de la culture et membre de l’Institut Jean Nicod à Paris, s’intitule « Pourquoi les humains raisonnent ? Arguments pour une théorie argumentative ». Image : Hugo Mercier. Selon les deux chercheurs, notre capacité à raisonner n’a pas été conçue pour nous aider à rechercher la vérité, mais pour nous aider à argumenter. L’intelligence : un fait social.

Carl Rogers

Vers un modèle anthropologique de la pratique psychothérapeutique. Afin de cerner le contexte relationnel qui préside à la consultation de thérapie systémique, je vais prendre comme point de départ ce qui me semble constituer l’interaction élémentaire caractéristique de la relation thérapeutique qui s’instaure entre le thérapeute et son client. Il s’agit, bien évidemment, d’une caricature, d’ins~piration rogerienne (Rogers, 1951), mais qui aurait le mérite de faire ressortir cer~taines des propriétés distinctives de cette situation que tout le monde reconnaît comme autrement plus complexe et subtile. Pour des raisons qui ne sont pas évidentes, la réponse du thérapeute, qui pourtant ne fait que répéter ce que lui communique le client sous une forme légèrement diffé~rente, a des effets bien au-delà de ce à quoi on pourrait normalement s’attendre.

Poursuivons l’analogie avec le théâtre. Un bon comédien se doit de ne pas confondre ses propres affects et motivations avec les états émotionnels et intention~nels associés au personnage qu’il incarne. Les jeunes sur Internet. Se construire un autre chez-soi. 1Les liens entre la Toile et les adolescents analysés depuis plus d’une décennie semblent être un terrain d’étude particulièrement fécond pour penser la société des jeunes. Constatant qu’une très grande majorité d’entre eux s’approprie relativement rapidement cette technologie, nous nous sommes interrogées sur les raisons de ce succès.

Les particularités de l’adolescence, telles que la recherche d’autonomie et dans le même temps d’appartenance à un groupe, semblent particulièrement bien s’accorder avec les applications relationnelles et « individualisantes » d’Internet. Outil de sociabilité et d’autonomisation, la Toile est une ressource pratique et personnalisable pour les jeunes d’aujourd’hui. Cependant, rares sont les recherches qui replacent ces appropriations dans une perspective plus globale de récit de vie exploitant le contexte familial et domestique du jeune. 6D’abord, nous situerons notre démarche dans le panorama des recherches sur les jeunes et Internet.

Systémique

Maslow.