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Politique et société

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Politique ou révolution, il faut choisir. Julien Brygo PHOTOGRAPHIES - Reportages. La vie augmente (Adrexo), février 2011 Casino, une démarche nourrie par le dialogue, mars 2011 Annecy, la neige, la glace et vous (1), février 2011 Annecy, la neige, la glace et vous (2), février 2011 Le premier voyage de presse (Bolloré), février 2011 Le chant du sang du coq, 2011 Au secours, nos amis les riches vont s'en aller, 2010 Quand le peuple pêtera dans la soie (guide des toilettes des hôtels de luxe à Paris), 2010 La réquisition des ouvriers de Grandpuits, octobre 2010 La guerre des nouilles encore contre les couilles en or (réforme des retraites 2010), octobre 2010 Les dieux ne sont pas immortels (chasseurs de clandestins), septembre 2010 REPORTAGES PRESSE Asie Russie Afrique(s)Amerique(s) Grande-BretagneVivre riche dans une ville de pauvres, août 2010 (Le Monde diplomatique) France.

Was war links? (1/4) - Protest und Theorie. Sternstunde Philosophie - Herfried Münkler: Wie sieht die Zukunft der Demokratie aus? Se défendre, Michel Foucault. Voici deux textes qui clarifient ce qu’il peut en être du rapport au droit de ceux qui refusent de se laisser gouverner [1]. La logique qu’ils proposent est applicable aux litiges en matière de droit social, partout où des « ayant-droits » et des collectifs engagent des batailles sur ce terrain (voir quelques matériaux en ce sens en fin d’article). « Se défendre » est un texte inédit de Michel Foucault qui présente une saisissante synthèse de ce que peut être un rapport offensif à la légalité et aux institutions chargées de la mettre en oeuvre.

Il vient d’être publié par Courant Alternatif avec un article (voir plus bas) qui montre ce que l’activité de défense doit aux luttes, rappelant que le droit et les procédures judiciaires sont aussi des espaces de lutte qu’il est possible et souvent nécessaire d’investir. Se défendre 1- Evitons d’abord le problème ressassé du réformisme et de l’anti-réformisme. 3- Dans l’expression « Se défendre », le pronom réfléchi est capital. Dette objective et dette subjective, des droits sociaux à la dette. Cette recherche [1] s’est déroulée en temps de crise : la crise financière des subprimes de 2007- 2008, la crise économique qui l’a suivie, puis la crise fiscale des États grec, irlandais, portugais...

La crise économique a signifié ralentissement - voire baisse dans certains secteurs - de l’investissement et hausse du chômage et, à ce titre, a touché immédiatement notre champ d’investigation : la condition des chômeurs et des précaires. Mais nous avons également pris la mesure des dimensions financières de la crise en ce qu’elles affectent, par certains aspects de manière encore plus importante, les chômeurs et les précaires. En effet, d’une part, la crise financière a lourdement pesé sur les budgets de l’État, en laissant apparaître comme nécessité, sans alternative possible, la réduction des dépenses publiques ; d’autre part, les modes de financement des déficits orientent les politiques sociales.

La dette objective comme machine sociale de capture La dette et les formes du pouvoir. Petits conseils aux enseignants-chercheurs qui voudront réussir leur évaluation. Nietzsche l’avait prédit : nous sommes entrés dans l’ère des marchands. Leur culture a triomphé. C’est essentiellement une culture de l’évaluation. Le triomphe d’un nouveau regard évaluateur, et avec lui d’une nouvelle question directrice, la « question des questions », posée plus haut que toutes les autres : « quels gens et combien de gens consomment cela ? ». Muni de cette question, le marchand, poursuivait Nietzsche, « l’applique dès lors instinctivement et constamment à tout, et donc aussi aux productions des arts et des sciences, des penseurs, savants, artistes […] à propos de tout ce qui se crée, il s’informe de l’offre et de la demande, afin de fixer pour lui-même la valeur d’une chose »[1].La chose aujourd’hui, c’est vous.

Quelle est votre valeur sur le marché académique ? Augmentez votre productivité académique. Comme tel, votre « productivité académique » sera régulièrement évaluée selon un ratio input/output, à l’instar de toute autre activité économique. Devenez un killer. E. Barot, « Sauver » l’université ? Quelques leçons théoriques et lignes tactiques tirées de l’échec de la grève du printemps 2009. Depuis le tournant du millénaire, l’université française a été le lieu, dans sa spécificité républicaine ouverte aux classes populaires, d’un compromis temporaire entre des logiques croissantes de réorganisation et de gestion comptables, et la préservation relative, dans le double champ de la pédagogie et de la recherche, de l’autonomie caractéristique de l’université post-1968. Ce compromis, ici ou là, s’est traduit par une variété de tiraillements qui bon an mal an, cependant, n’avaient pas encore produit de crise majeure[1].

L’abcès a été crevé au printemps, avec en son cœur la dissociation programmée de l’enseignement et de la recherche dont l’intrication statutaire est un principe traditionnel de l’identité universitaire. I. La « marchandisation » de l’université : ambiguïté de sa critique, analyse de sa nature 1. 2. D’où la nécessité de relativiser l’opposition public/privé. 3. 4. 5.