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Le Radeau de la Méduse // Revue de presse

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"Le radeau de la méduse" : ça vous prend aux tripes. De Georges Kaiser Mise en scène: Thomas Jolly Avec les membres du Groupe 42 du Théâtre National de Strasbourg : Youssouf Abi-Ayad, Éléonore Auzou-Connes, Clément Barthelet, Romain Darrieu, Rémi Fortin, Johanna Hess, Emma Liégeois, Thalia Otmanetelba, Romain Pageard, Maud Pougeoise, Blanche Ripoche, Adrien Serre Odéon – Théâtre de l’Europe / Ateliers Berthier 17e 1 Rue André Suares 75017 Paris.

"Le radeau de la méduse" : ça vous prend aux tripes

Le Radeau de la méduse de Geog Kaiser. Critiques / Théâtre par Corinne Denailles un précipité de tragédie humaine Partager l'article : Georges Kaiser s’est inspiré d’un événement historique, le torpillage d’un navire qui emmenait au Canada des enfants anglais fuyant le Blitz en 1940.

Le Radeau de la méduse de Geog Kaiser

Club Mediapart / Le Radeau de la Méduse, le naufrage de l’innocente humanité. Un bruit sourd de tempête gronde au loin.

Club Mediapart / Le Radeau de la Méduse, le naufrage de l’innocente humanité

Un vent gonfle la sombre voile, noire, soyeuse qui cache la scène au regard des spectateurs. Il porte dans un souffle, une voix d’enfant, une voix d’outre-tombe qui se décide à rompre le silence, à raconter sa sombre histoire. Le rideau se lève sur une scène apocalyptique. La Seconde Guerre mondiale bat son plein. Alors que l’Angleterre vit aux rythmes de bombes qui pilonnent Londres, un navire, transportant des enfants loin de ce chaos, est pris en chasse par l’ennemi. Le Monde / Avignon : Thomas Jolly embarque de jeunes acteurs sur « Le radeau de la méduse »

LE MONDE | • Mis à jour le | Par Fabienne Darge (Avignon, envoyée spéciale) A Avignon comme ailleurs, Thomas Jolly est une star, notamment auprès des jeunes.

Le Monde / Avignon : Thomas Jolly embarque de jeunes acteurs sur « Le radeau de la méduse »

En 2014, à 32 ans, il est ­entré dans la légende du Festival, en mettant en scène Henry VI, de Shakespeare, en un feuilleton théâtral de dix-huit heures plein d’allégresse. Cette année, il est doublement présent, avec deux belles propositions. Sa compagnie, la Piccola Familia, se taille un joli succès en proposant, tous les jours (ou presque), à midi, son feuilleton sur l’histoire du Festival. Sous les grands platanes du Jardin Ceccano, ce sont des acteurs joyeusement déchaînés qui, à chaque épisode, éclairent cette histoire née en 1947 sous un angle ou l’autre, qu’il s’agisse de souligner l’absence criante d’« autrices » dans la programmation ou d’examiner – diplomatiquement of course – le rôle de la critique.

Le Figaro / Avignon 2016 : l'enfance de l'art. LE FEUILLETON D'ARMELLE HÉLIOT - 9 - La jeunesse est partout chez elle au festival.

Le Figaro / Avignon 2016 : l'enfance de l'art

Thomas Jolly dirige la promotion sortante de l'école du Théâtre national de Strasbourg et des talent éclosent In et Off. Midi. Les cloches de la ville tintent comme en un grave glas. À Avignon, comme partout en France, le silence s'est fait dans les cœurs après l'attentat perpétré à Nice. Libération / Avignon : les critiques de théâtre selon la Piccola Familia et des enfants sur le «Radeau de la méduse» Vers la fin du spectacle, ils nous font coucou de la main et nous interpellent en nommant les journalistes par leur nom.

Libération / Avignon : les critiques de théâtre selon la Piccola Familia et des enfants sur le «Radeau de la méduse»

Trop sympa. Et en plus ils n’oublient pas les absents, «Jean-Pierre Thibaudat, coucou, coucou». C’est évidemment pour dénoncer la connivence entre gens de théâtre et journalistes que le collectif de la Piccola Familia, fondé par Thomas Jolly, nous alpague ainsi. Et on les comprend : nous aussi, on aime les deux, la connivence et sa dénonciation. On se sent moins seul dans la salle quand on nous fait coucou de la main. France TV Info / Festival d'Avignon : l'épreuve du feu des débutants. C'est leur toute première expérience d'acteur professionnel et ils la vivent au Festival d'Avignon.

France TV Info / Festival d'Avignon : l'épreuve du feu des débutants

Thomas Jolly fait coup double. Il y a deux ans, il avait marqué les esprits en montant Henry VI, épopée théâtrale de 18 heures unanimement saluée par les spectateurs et la critique.

Thomas Jolly fait coup double

Thomas Jolly, 34 ans, metteur en scène de la Piccola Familia, est présent à double titre dans cette 70e édition. Sa compagnie joue un feuilleton quotidien au jardin Ceccano, qui relate l'histoire du festival, de 1946 à 2086 : ce rendez-vous gratuit de midi est devenu l'un des "place to be" des festivaliers (voir ci-dessous). Il monte par ailleurs Le radeau dela méduse de Georg Kaiser. Vos chroniques du festival suivent une trame, mais l'idée était de monter un spectacle participatif avec des Avignonnais et des spectateurs.

Que vous ont-ils apporté ? Il ne s'agit donc pas du tout d'une histoire institutionnelle ? Vous avez aussi animé des ateliers d'écriture avec des enfants pour écrire l'épisode de 2086. Et vous, comment l'imaginez-vous ? Les Échos / Avignon : la belle traversée de Thomas Jolly. La Figaro / Jolly et Lupa, le temps des maîtres. Carnet d'Art / Le Radeau de la Méduse. Alors d’accord.

Carnet d'Art / Le Radeau de la Méduse

On pouvait craindre un Thomas Jolly enfermé dans une esthétique qu’il a su fortement affirmer face à la fureur corrosive du grand William Shakespeare. On pouvait sentir un amer goût d’enfant gâté du théâtre français. Encore un pur produit du système, capable de broyer tout élan créatif honnête. Il n’en est rien. Thomas Jolly déjoue tous les pièges qui peuvent lui être tendus en se plaçant non pas comme metteur en scène monochrome démiurge de l’espace vide mais bien comme serviteur d’un texte, des comédiens, des idées et du théâtre. L’espace est simple. Nous sommes embarqués par les douze comédiens du groupe 42 du TNS.

Seul bémol, parce qu’il faut bien qu’il y en ait un, un élément dramaturgique manquant dans le jeu des comédiens, l’évolution du sentiment d’oppression, d’enfermement, au fil des jours qui passent, ce qui justifie les événements à suivre. La Croix / Le feuilleton avignonnais de Thomas Jolly. Révélé au festival avec Henry VI en 2014 Thomas Jolly est, aujourd’hui, doublement à l’affiche, avec Le Radeau de la Méduse et Chroniques du Festival d’Avignon.

La Croix / Le feuilleton avignonnais de Thomas Jolly

Culturebox / A Avignon "Le radeau de la méduse" selon Thomas Jolly. En 1940, pour mettre des enfants à l'abri des bombardements, les Anglais organisent leur transport par bâteau vers les autres états du Commonwealth, le Canada et l'Australie. Un paquebot qui transportait mille enfants est torpillé par les allemands. Trois ans après les faits, Georg Kaiser exilé en Suisse, raconte les sept jours passés par un petit groupe de rescapés sur un canot de sauvetage. 13 enfants dérivent sur un canot Sur la scène un grand canot sur lequel dérive des enfants, secoués au gré du vent et des vagues (le bateau qui tourne sur lui-même donne l'impression qu'il tangue). Un beau décor de ciel et des éclairages superbes reproduisent les éclairs, le brouillard et les éclaircies. . © Christophe Raynaud de Lage/Festival d'Avignon Solidaires, ces jeunes (chrétiens) organisent leur survie : rationnent les vivres, se répartissent les tâches.

Inferno / « LE RADEAU DE LA MEDUSE , NAUFRAGE DE L’HUMANITE. « Le Radeau de la Méduse » – Mise en scène de Thomas Jolly d’après un texte de Georg Kaiser avec les élèves du TNS – Festival d’Avignon 2016. C’est cette fois avec plus de sobriété que revient Thomas Jolly à Avignon et après l’épopée tonitruante qu’avait été Henry VI et le très rock’n’roll Richard III, le metteur en scène propose le Radeau de la Méduse d’après le texte de l’auteur allemand Georg Kaiser. Thomas Jolly souhaitait monter cette pièce dès 2004 alors qu’il était élève au TNB. Il en a saisi l’occasion lorsque Stanislas Nordey lui a proposé de monter un spectacle de fin de cycle avec les élèves de l’Ecole du Théâtre National de Strasbourg. Le goût des défis et son envie de s’inscrire en tant que passeur a sûrement poussé Thomas Jolly à proposer aux élèves de ne pas monter un spectacle de fin de cycle mais plutôt un spectacle d’entrée dans leur future vie d’artiste.

Festi TV / Rencontre Avec Thomas Jolly / "Le Ciel, la Nuit et la Pierre glorieuse" et "Le Radeau de la Méduse" RFI / Festival d'Avignon : «Radeau de la Méduse» et «Le quatrième Mur» Les mises en scène du langage. Le français sur Internet, l’évolution de l’orthographe, le Camfranglais qu’on parle au Cameroun, et même ailleurs, l’explosion de la littérature francophone tout autour du monde.

S’interroger sur la langue n’est pas seulement une curiosité aiguë : c’est un révélateur du monde où nous vivons. Une émission présentée par Yvan Amar. Les mots de Minuit / Mot à mot. Thomas Jolly: un geste à la Vilar quitte à sauver la princesse Zelda! La Grande Parade / Le Radeau de la Méduse : la superbe fantasmagorie des "méchants diables" de Thomas Jolly. Écrit par Julie Cadilhac Catégorie : Théâtre Mis à jour : dimanche 24 juillet 2016 13:47 Affichages : 323 Par Julie Cadilhac - Lagrandeparade.fr/ 1940. De jeunes anglais, âgés de neuf à douze ans, qui avaient pris le bateau pour fuir Blitz, se retrouvent en pleine mer, isolés, suite au bombardement de leur navire.

Tous issus de familles chrétiennes et de bonne éducation, ils tentent de s'organiser pour se se rationner et répartir les taches. C'est alors qu'ils découvrent un passager de dernière minute, frêle et silencieux, qu'il surnomme "Petit Renard". Mais soudain c'est leur nombre qui sape l'harmonie qui s'était instaurée au sein du groupe : ils sont treize . Rick & Pick / Le Radeau de la méduse de Thomas Jolly. Inferno / ENTRETIEN AVEC THOMAS JOLLY. Tout la Culture / Thomas Jolly embarque d’excellents comédiens dans un radeau fort laid.

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Si Le Radeau de la méduse fait d’abord appel à la toile de Théodore Géricault dans la mémoire collective, l’histoire de Kaiser se déroule en 1940 dans un canot de sauvetage où sont réfugiés des enfants rescapés du torpillage de leur navire.Dans cet espace clos, les treize attendent que les secours les trouvent. Sept jours durant, la tension va monter à cause de la superstition d’une des plus catholiques des enfants qui affirme qu’il faut sacrifier l’un d’entre eux car s’ils restent treize à manger ensemble, treize à table, le salut ne viendra jamais. Thomas Jolly fait coup double. Marianne / La violence n’attend pas le nombre des années. Avignon, journal d’un festivalier (5). « Le radeau de la méduse » n’est pas seulement un tableau de Géricault, ce peintre qui a inspiré « La semaine sainte », l’un des plus beaux romans d’Aragon. C’est aussi un texte de l’auteur allemand Georg Kaiser, classé dans la catégorie des écrivains « dégénérés » par les nazis en 1933, obligé de fuir son pays et de se réfugier en Suisse où il est mort en 1945 avoir écrit cette œuvre, qui date de 1942.