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ARRIVEE DES TURCS RECOMPOSE L EST

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Istanbul, de l’Empire Ottoman à la République. L’EMPIRE OTTOMAN (1453-1923)La ville a retrouvé le calme trois jours après la conquête d’Istanbul par Mehmed II le conquérant. Des fêtes se sont organisées pour célébrer la conquête. Après les célébrations, Mehmed II a interdit aux soldats de circuler dans les rues de la ville. Istanbul fut très vite maintenue sous contrôle.

L'empire annonça aux grecs qu’ils pouvaient pratiquer leur religion et tradition en toute liberté. Mehmed II ordonna aux grecs orthodoxes, d’élire un patriarche à la tête du patriarcat. La communauté juive qui n’avait créée aucun problème lors de la conquête, avait également le droit de pratiquer sa religion et de préserver ses synagogues. Après avoir organisé la ville, Mehmed II commença a réalisé les activités de construction. Après la conquête, de nombreuses zones résidentielles furent fondées pour le développement de la ville. Les quartiers fondés à cause de ces migrations vont plus tard établir la base de la structure administrative de la ville. 16. Dictionnaire turc ottoman en ligne (alphabet arabe) Discover The Ottomans. L'Empire Ottoman. L'organisation de l'État L'Empire ottoman est une monarchie absolue et théocratique dans la forme, mais tempérée, dans la réalité, par les institutions mêmes de la souveraineté et par les coutumes du pays, qui là, plus qu'ailleurs, modifient et limitent l'action du pouvoir.

L'empereur prend le titre de padischah et de sultan; il prend également les titres religieux de calife et de commandeur des croyants (Emir el-Mouminin), ce qui lui assure, outre une certaine action sur des groupes musulmans sans chef. Ce pouvoir à la fois civil et religieux, il l'exerce soit par lui-même. En matière civile, il est assisté du grand vizir ou Sadr Azam, faisant fonction de premier ministre, et en matière religieuse par le Cheikh ul-Islam ou mufti. L'autorité de ce dernier dans les questions religieuses est autrement réelle que celle du grand vizir dans les affaires civiles. A côté de ces employés, on voyait un nombre prodigieux d'eunuques blancs, basanés ou noirs, les uns provenant de l'Inde.

L'Empire ottoman, terre d'asile des juifs persécutés. Histoire des relations entre juifs et musulmans des origines à nos jours, un ouvrage collectif sous la direction d’Abdelwahab Meddeb et de Benjamin Stora, vient de paraître aux éditions Albin Michel. L’ouvrage embrasse une vaste période, du VIIe au XXIe siècle.

Un des épisodes notables de cette histoire est sans doute celui de la communauté sépharade de l’Empire ottoman. On entend par sépharade, au sens strict, les juifs d’Espagne, de cette Espagne musulmane d’où ils ont été chassés une fois le processus de Reconquista achevé. En 1492, Grenade tombe et Isabelle la Catholique décrète l’expulsion des juifs du royaume. «La Turquie, un pays où rien ne manque» Le conseiller de Soliman le Magnifique Ensuite, sur le plan économique et social, le vaste Empire ottoman recélait des possibilités immenses.

Siège de Vienne. Soliman le Magnifique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Soliman Ier (turc ottoman : سلطان سليمان اول (Sultān Suleimān-i evvel) ; turc : I. Süleyman) est probablement né le à Trébizonde (Trabzon) dans l'actuelle Turquie et mort le à Szigetvár dans l'actuelle Hongrie. Fils unique de Selim Ier Yavuz, il fut le dixième sultan de la dynastie ottomane de 1520 à sa mort en 1566. On le nomme Soliman le Magnifique en Occident et le Législateur en Orient (turc : Kanuni ; arabe : القانونى, al‐Qānūnī) en raison de sa reconstruction complète du système juridique ottoman. En rupture avec les traditions ottomanes, Soliman épousa l'une des filles de son harem, Roxelane, qui devint Hürrem Sultan ; ses intrigues en tant que reine à la cour et son influence sur le sultan assurèrent sa renommée. Jeunesse[modifier | modifier le code] Soliman est né à Trabzon au bord de la mer Noire, probablement le 6 novembre 1494[1],[Note 1].

Campagnes militaires[modifier | modifier le code] En Europe[modifier | modifier le code] Turquie | culture - Soliman le Magnifique (1520-1566) Soliman, le plus célèbre des sultans ottomans, fit de son empire une puissance dominant l'Europe et le Proche-Orient. C'est aussi le plus connu en France par son alliance avec François Ier. SOLIMAN Ier (1), [Süleyman, né en 1494] le plus célèbre des empereurs ottomans, surnommé le Grand, le Magnifique, le Conquérant et le Législateur, succéda sans trouble et sans opposition à son père Selim Ier. Informé secrètement de la mort de ce prince, il accourut de Magnésie à Constantinople, où il fit son entrée à la fin de chawal 926 (septembre 1520), la même année où Charles-Quint fut couronné empereur à Aix-la-Chapelle. (1) C'est ce prince que Marmontel, dans ses "Contes moraux", Favart, dans sa comédie des "Trois sultanes", et la plupart des compilateurs, ont improprement nommé Soliman II.

Les meilleurs historiens turcs ne comptent pas au nombre de leurs sultans le Soliman, fils de Bajazet Ier, auquel nos auteurs donnent le nom de Soliman Ier. L'empire ottoman au XVIe siècle : le siècle de Soliman. Sélim Ier Selim Ier, surnommé Yavouz (= le Cruel), né à Amassia en 1467, était le fils de Bayézid IIIl. Il fut un hmme de guerre sans pitié pour ses proches parents et pour ses ministres; il aimait les exercices violents, passait les journées à chasser, donnait peu d'heures au sommeil, mais aussi, suivant un paradoxe que cultivèrent volontiers les sultans ottomans, il aimait et protégeait arts.

Il lisait la nuit des ouvrages d'histoire ou des poésies persanes et il a même laissé un recueil d'odes composées par lui dans cette dernière langue. Avant cela, Sélim fut, du vivant de son père, chargé du gouvernement de la province de Trébizonde, et profita de la désignation de son frère Ahmed comme héritier présomptif pour se rendre à Andrinople avec une suite nombreuse solliciter un gouvernement en Europe (1511). Son règne débuta par le massacre de cinq de ses neveux (en particulier d'Ala-ed-din qui s'était emparé de Brousse) et par la défaite de ses deux frères, Korkoud et Ahmed (1513). . . Url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=14&ved=0CEMQFjADOAo&url=http%3A%2F%2Frbedrosian.com%2FByz%2FLaurent_Byzance_Turcs.pdf&ei=w2XWUv3jKMb40gXw_IGYCQ&usg=AFQjCNECnriVn3TXhqes6FmwnG9awKExSg&bvm=bv.59378465,d.

Persée. Guerres turco-byzantines. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les guerres entre les peuples turcs[N 1] et l’Empire byzantin s’étalent sur une période de près de quatre siècles, du milieu du XIe siècle à la chute de Constantinople en 1453. Ces guerres n’ont pas seulement influé sur les deux belligérants : elles ont aussi compté parmi les éléments déclencheurs des croisades, entraîné la destruction de l’Empire byzantin, le successeur de l’Empire romain de l’Antiquité, et permis à l’Empire ottoman de devenir une des plus grandes puissances de l’époque. Les premières escarmouches remontent au milieu du XIe siècle lorsque des bandes turques composées de Turcomans et de Seldjoukides s'installent à la frontière orientale de l'Empire byzantin.

L'installation durable des Turcs sur le territoire de l'ancien califat abbasside après 1055 permet aux Seldjoukides de se renforcer et de s'étendre aux dépens de l'Empire byzantin. Causes de la confrontation entre Seldjoukides et Byzantins[modifier | modifier le code]