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Dossier 7. Comment se construisent et évoluent les liens sociaux ?

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- Comprendre et pouvoir illustrer la diversité des liens qui relient les individus au sein de différents groupes sociaux (familles, groupes de pairs, univers professionnel, associations, réseaux).


- Connaître les critères de construction des Professions et Catégories Socioprofessionnelles (PCS)
- Comprendre et savoir illustrer le processus d’individualisation ainsi que l’évolution des formes de solidarité en connaissant la distinction classique entre solidarité « mécanique » et solidarité « organique ».
- Comprendre comment les nouvelles sociabilités numériques contribuent au lien social.
- Comprendre comment différents facteurs (précarités, isolements, ségrégations, ruptures familiales) exposent les individus à l’affaiblissement ou à la rupture de liens sociaux.

Transgenre

Comment la concentration géographique des immigrés affecte leur intégration. A six mois de l’élection présidentielle, la problématique de l’intégration des immigrés a émergé chez plusieurs candidats.

Comment la concentration géographique des immigrés affecte leur intégration

En ce début de campagne électorale, Valérie Pécresse, candidate à l’investiture du parti Les Républicains (LR) pour la présidentielle, a, par exemple, estimé que « nous avons une immigration incontrôlée et une intégration ratée », tandis que Michel Barnier, également candidat LR, voudrait instituer un « pacte d’intégration » qui inclurait un parcours linguistique, éducatif et civique « à points » et « lié à l’exercice d’un emploi ». A Verdun, la bataille contre l’héroïne. Cette page a besoin de <a href=" target="_blank">l'activation de Javascript</a> pour fonctionner correctement.

A Verdun, la bataille contre l’héroïne

Les Etats-Unis délivrent leur premier passeport avec un genre « X », ni masculin ni féminin. La mesure fait suite aux promesses de Joe Biden de mieux prendre en compte les droits des minorités sexuelles.

Les Etats-Unis délivrent leur premier passeport avec un genre « X », ni masculin ni féminin

Les Etats-Unis ont annoncé, mercredi 27 octobre, avoir délivré le premier passeport avec le genre « X » à une personne qui ne se reconnaît pas dans les choix traditionnels « masculin » ou « féminin ». Le département d’Etat américain a « ajouté une case X pour les personnes non binaires, intersexes » et plus largement celles qui ne se reconnaissent pas dans les critères de genre proposés jusque-là, a annoncé son porte-parole, Ned Price. Cette option sera proposée à tous les demandeurs de passeport dès le début de 2022, a-t-il précisé, réaffirmant l’engagement de la diplomatie américaine à « promouvoir la liberté, la dignité et l’égalité de toutes les personnes ».

Lire aussi La Cour suprême des Etats-Unis interdit les discriminations fondées sur l’orientation sexuelle ou l’identité de genre M. Le Monde avec AFP. « Bise ou pas bise ? La crise du Covid a brisé le rituel. Et nous en sommes au point précis où nous devons le retrouver, ou le reformuler » Le procès de Valérie Bacot pour l’assassinat de son mari violent s’ouvre devant les assises de Saône-et-Loire.

Son histoire fait écho à celle de Jacqueline Sauvage, sexagénaire condamnée à dix ans de prison pour avoir abattu de trois coups de fusil dans le dos son mari en 2012, après plus de quarante-cinq années de violences conjugales.

Le procès de Valérie Bacot pour l’assassinat de son mari violent s’ouvre devant les assises de Saône-et-Loire

Valérie Bacot, 40 ans, a tué d’une balle dans la nuque son époux en mars 2016 avant d’enterrer son corps dans les bois de La Clayette, en Saône-et-Loire, à quelques kilomètres de son lieu de résidence. Deux fils du couple se sont relayés pour creuser la tombe de fortune de leur père et se sont tus pendant un an et demi. Jusqu’à ce que la mère du petit ami de la fille – qui avait lui aussi aidé à transporter et à enterrer le cadavre – les dénonce. Le 3 octobre 2018, Valérie Bacot a été mise en examen du chef d’assassinat. Son procès s’ouvre lundi 21 juin devant la cour d’assises de Saône-et-Loire, à Chalon-sur-Saône. Mourir pour son quartier : la guerre des bandes à Evry. Ousmane veut bien parler, mais il faut y aller tout doux.

Mourir pour son quartier : la guerre des bandes à Evry

D’abord, il faut le rejoindre au bout de son quartier, sur un terrain de foot désert, pas trop entretenu. Et il veut être accompagné d’un éducateur qu’il connaît bien. Et il ne vous regarde pas beaucoup dans les yeux, et il ne veut pas donner son prénom (qui a été modifié ainsi que ceux des autres adolescents), et il ne veut pas préciser où il est scolarisé, « parce qu’ils peuvent venir me chercher, même si mon lycée est loin ». Ousmane a 17 ans, il est Français d’origine malienne, il vit à Evry-Courcouronnes (Essonne, 29 ans de moyenne d’âge et 18 % de taux de chômage), mais ce qui le caractérise tout entier, c’est qu’il est un habitant du quartier du Canal.

En Hongrie, des milliers de manifestants contre une loi interdisant la représentation de l’homosexualité. Plus de 5 000 Hongrois ont manifesté lundi 14 juin à Budapest contre une loi qui devrait être approuvée par le Parlement mardi et qui interdira la « représentation » de l’homosexualité et de la transsexualité dans l’espace public. « Demain, lorsque les députés voteront, ils devront se souvenir qu’ils jouent avec la vie des gens dans le cadre de leurs cruelles campagnes politiques », a déclaré Amnesty International, qui avait appelé à manifester, dans un communiqué.

En Hongrie, des milliers de manifestants contre une loi interdisant la représentation de l’homosexualité

Si la législation est adoptée, la liberté d’expression et les droits seront « sévèrement limités », ont déclaré des ONG, accusant la Hongrie de copier des modèles dictatoriaux qui vont à l’encontre des valeurs européennes. Mourir pour son quartier : la guerre des bandes à Evry.

Laicise

Alain Policar : « La fixation sur les origines tend à les transformer en destin » Entretien.

Alain Policar : « La fixation sur les origines tend à les transformer en destin »

Comment l’épidémie de Covid-19 chamboule nos relations amicales. Avec le deuxième confinement, voir ses amis a, une nouvelle fois, viré au casse-tête.

Comment l’épidémie de Covid-19 chamboule nos relations amicales

Nos amitiés sont pourtant essentielles à notre équilibre personnel. Ces relations privilégiées permettent de se confier, se soutenir et s’entraider – bien avant le fait de s’amuser ensemble, qui relèverait plutôt du simple copinage. Le vrai ami, c’est notre « valeur refuge », la personne avec qui on peut partager les joies et les coups durs de l’existence. « Nous sommes des êtres sociaux et nos amitiés tiennent une place majeure dans notre sociabilité.

Elles permettent de tisser des liens particulièrement denses, tournés vers l’extérieur et sans lesquels nous serions enfermés dans notre sphère privée, résume l’historienne Anne Vincent-Buffault, autrice de L’Exercice de l’amitié.