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Les innovations vues par les autres

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« Les tendances clefs du retail en 2014″ – Brian Walker. 2013 est maintenant derrière nous, il est donc plus que temps de voir ce qui nous attend en 2014 ! Pour la traduction d’aujourd’hui, nous allons nous intéresser aux grandes tendances retail de 2014 via un billet publié sur le site Inside Retail. Nous retrouvons Brian Walker, consultant retail au sein de Retail Doctor Group (voir le billet « Comment comprendre le client ») qui nous présente ce que nous réserve le retail en 2014 dans ce billet intitulé « Key Retail Trends in 2014″.

Voilà la traduction que je vous propose de ce billet (source) : « Qui contrôle le passé contrôle le futur. Qui contrôle le présent contrôle le passé » – George OrwellJ’ose être en désaccord avec l’un de nos plus grands écrivains, car en ces temps de changements rapides et structurels, ce n’est pas une évolution lente des règles du jeu qui est à l’oeuvre. Le digital signage est-il suffisant pour proposer des expériences retail de qualité ? – Peter Rivera. « Analyser l’expérience client pour atteindre une croissance cross-canal » – Brian Anderson. « Les bornes interactives sont-elles vraiment efficaces ? » – Kisha Wilson. « Pourquoi les enseignes qui appréhendent le mieux la technologie vont séduire la génération millenium » – Jeff Fromm & Mark Logan.

Comme chaque début de semaine, on commence avec une nouvelle traduction : celle d’un billet publié sur le site PSFK. Dans cet article de Jeff Fromm (vice-président exécutif de Barkey) et de Mark Logan (directeur de Moonshot) intitulé « Why companies who embrace technology in useful ways will win over the millennial generation », les auteurs nous présentent en quoi la génération millénium force d’autant plus les retailers et les marques à envisager l’expérience d’achat comme un tout où la connexion de chaque point de contact est nécessaire.

Alors que nous voyons à quel point les tendances de consommation et les idées innovantes impactent les industries, nous sommes obligés de nous demander ce que le futur proche du retail nous réserve. Pour réussir en 2014 et après, les enseignes doivent adopter ces 4 croyances : Le combat Retail contre e-tail est un mytheCela ne fait si longtemps que les magasins brick and mortar étaient encore le centre névralgique où avait lieu les transactions. « Le magasin du futur devrait faire ce qu’Amazon ne fait pas » – Alen Puaca. Comme chaque début de semaine, on commence avec une nouvelle traduction : celle d’un billet publié sur le site de iQmetrix (société innovante de solutions technologiques pour le retail) . Le billet, intitulé « The Store of the Future Should Do What Amazon Can’t », a été rédigé par Alen Puaca, directeur artistique. Il nous présente en quoi les retailers d’aujourd’hui doivent faire évoluer leurs magasins pour mieux cadrer avec les attentes des shoppers actuels.

En ce sens, et avec l’aide d’un rapport de WD Partners, il démontre comment le retail doit dépasser l’étape de la praticité pour offrir une expérience plus globale pour les consommateurs. Il y a quelques semaines, un article de Clare O’Conner publié dans Forbes a attiré notre attention. Plus qu’un magasin : Le monde du retail doit maintenant apparaître comme un « troisième espace » comme l’explique WD Partners. Alen Puaca d’iQmetrix signe là un billet particulièrement bien senti sur les évolutions à venir du retail. Les nouvelles technologies amènent un retour au retail d'antan. Comme chaque début de semaine, on commence avec une nouvelle traduction : celle d’un billet publié sur le site PSFK. Le billet, intitulé « Why retail is returning to the brick-and-mortar », s’attarde sur les nouveaux concepts amenant un côté plus personnel à l’expérience d’achat dans le magasin physique.

En ce sens, les consommateurs auraient tendance à se détourner du e-commerce pour retrouver une expérience plus en phase avec leurs aspirations comme le commerce local par exemple. Voilà la traduction que je vous propose de ce billet (source) : Alors que le shopping en ligne est venu ajouter plus de praticité et d’efficacité, il a aussi ses désavantages. Le concept (en photo ci-dessus) de pRetail s’étend également à l’industrie alimentaire : la chaîne d’épicerie Waitrose a ouvert le premier magasin fermier britannique, qui propose le résultat de ce qui a poussé sur les 1600 hectares possédés par la chaîne dans une ferme du Hampshire. « Comment comprendre le client » – Brian Walker. Comme chaque début de semaine, on commence avec une nouvelle traduction : celle d’un billet publié sur le site Inside Retail. Le billet, intitulé « How to understand customers », a été rédigé par Brian Walker, consultant retail au sein de Retail Doctor Group.

Dans ce billet, Brian Walker nous explique en quoi le subconscient est très important dans le parcours d’achat des consommateurs. En effet, ce subconscient nous fait aimer ou détester quelque chose (et donc également un point de vente) avant même que la partie consciente de notre cerveau ne s’en rende compte. En ce sens, il est important pour un retailer de se donner les moyens de séduire cette partie du cerveau du consommateur. Mais, comment faire ? Voilà la traduction que je vous propose de ce billet (source) : L’auteur met clairement en avant la nécessité de créer des points de vente où l’expérience d’achat doit être très forte, et cela pour créer une réaction de la part des consommateurs.

« Persuadez votre patron de dire « oui » au digital signage interactif » – Jessica Webster. Comme chaque début de semaine, on commence avec une nouvelle traduction : celle d’un billet publié sur le site KioskMarketPlace. Le billet, intitulé « Get your boss to say ‘yes’ to interactive digital signage », a été rédigé par Jessica Webster, directrice artistique chez Horizon Display (société américaine spécialisée dans les solutions interactives multi-touch). Dans ce billet, Jessica Webster (que vous pouvez retrouver dans le billet Trois leçons que la science-fiction peut nous apprendre au sujet des expériences interactives) explique en quoi vouloir intégrer de la technologie interactive, que ce soit en retail ou autre, juste parce que c’est « cool » n’a aucun sens.

Son potentiel est très grand et c’est pourquoi il est nécessaire de réfléchir à des concepts précis qui répondent à des objectifs clairs et permettront d’obtenir des résultats concrets. Voilà la traduction que je vous propose de ce billet (source) : Dans un premier temps, laissez-moi contextualiser un peu la situation. Les bornes interactives de self-service peuvent grandement aider à améliorer l'expérience client en magasin. Une société devrait proposer un bon produit, un service client de qualité, un service après-vente exceptionnel et des offres pour attirer les clients.

Mais, même avec tout cela, est-ce que le facteur déterminant lors de l’achat d’un produit est seulement lié au confort et à la praticité ? Nous pouvons savoir quel produit nous voulons, et dans le cas contraire, nous faisons des recherches et nous analysons différentes options. C’est également formidable quand le vendeur avec qui nous discutons connaît son sujet et peut nous aider. Une garantie produit et l’assurance de pouvoir faire réparer le produit, si besoin, est aussi un plus. Supposons : vous obtenez tout cela en magasin et vous avez le produit tant convoité entre les mains.

Pensez simplement à l’énervement que vous vivez à Noël quand vous faites face à une longue file d’attente. Me concernant, je pense que cela aurait un effet. « 5 étapes pour personnaliser l’expérience en magasin » – David Anzia. Le cas où le shopper tombe sur un produit dans un commerce est parfois appelé le « moment of truth ». Mais l’action que fait le shopper à ce moment peut mener à de nombreuses directions différentes. Mc Kinsey & Company ainsi que le Harvard Business Review ont tenté de décrire le nouveau parcours d’achat des clients.

McKinsey & Company utilise un modèle en boucle pour illustrer un parcours circulaire en quatre phases : la considération initiale, l’évaluation active, le moment d’achat, et l’expérience post-achat. Un expert en marketing de marques a même comparé le parcours à un bretzel plutôt qu’à une boucle. Le blog du Harvard Business Review décrit le process d’achat à la fois comme continu et intermittent. Six étapes clef y sont identifiées dans lesquelles un consommateur doté de capacité mobile peut exister. Une étude de Compete a identifié de multiples parcours d’achat supposant de 3 à 35 étapes. Evaluer l’efficacité des dispositifs installés actuellement en magasin. « Top 4 des manières de contrer le e-commerce avec de la technologie en magasin » – Gene Ornstead. « En quoi les bornes interactives sont une aubaine pour les commerçants » – Frank Olea. « Transformer l’expérience client grâce aux bornes d’achat » – Lucy Bateman.

Je vous propose une nouvelle traduction aujourd’hui : un article de Lucy Bateman, business manager chez Cammax Limited (fournisseur de solutions tactiles), publié sur le site Retail Customer Experience intitulé Transforming the customer experience with retail kiosks. Cet article revient sur le fait que les dispositifs d’aide à l’achat tels que les bornes tactiles participent grandement à améliorer l’expérience des clients amenés à les utiliser. L’auteur revient sur l’usage des écrans tactiles dans le retail Voici la traduction que je vous propose (source) : Le client est en première ligne de n’importe quelle entreprise évoluant dans le commerce.

Il est clair que ce type de dispositifs a le potentiel pour créer un impact vraiment positif en magasin avec la possibilité de générer des ventes supplémentaires grâce à la présence de l’ensemble du catalogue d’une enseigne au travers d’un écran tactile d’aide à l’achat par exemple. « L’impact de la technologie spéculative sur le monde réel » – Kinetic Futures. Aujourd’hui, je vous propose la traduction d’un billet publié sur le site Kinetic Futures (un think tank qui explore le futur du commerce et de la communication à travers le monde comme l’explique la description) intitulé « Speculative Technology’s Real World Impact » (l’impact de la technologie spéculative dans le monde réel). Nous pouvons d’ailleurs dresser un parallèle entre ce billet et celui de Jessica Webster dont je vous avais proposé la traduction il y a quelques jours. En effet, ces deux billets tendent à expliquer en quoi les nouvelles technologies décrites dans les films de science-fiction ne sont en fait pas vraiment utilisables dans le monde réel et encore moins dans le monde du retail.

Les nouvelles technologies, véritablement au service du retail ? Voici la traduction de ce billet publié sur Kinetic Futures (source) : « Trois leçons que la science-fiction peut nous apprendre au sujet des expériences interactives » – Jessica Webster.