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Laiv_fane

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La maltraitance dans le cerveau. La maltraitance dans le cerveau L'hippocampe cérébral de jeunes adultes maltraités durant leur enfance est plus petit que celui d'adultes non maltraités. Cette réduction du volume serait un facteur de risque d'apparition de maladies mentales. Les personnes ayant été maltraitées ont plus de risques de développer des troubles de l'humeur, de l'anxiété et de la personnalité, de consommer des drogues, de souffrir de maladies psychiatriques et de se suicider. Et souvent, leur hippocampe – une région cérébrale impliquée dans la mémoire et les émotions – est plus petit que celui des personnes n'ayant pas souffert. Cette particularité cérébrale est-elle la conséquence de la maltraitance ou résulte-t-elle du trouble mental qui en découle ?

On sait depuis de nombreuses années que le stress provoque des ravages dans le cerveau. Quelques études se sont intéressées à la maltraitance pendant l'enfance. Pourquoi une telle asymétrie ? Pour La Science Noter cet article : Recommander cet article : Developpement de la capacite de theorie de l'esprit chez les jeunes enfants - Severine Papin. Introduction p.1 Partie théorique p.2 a. Les précurseurs. 2 b. La période 3- 4 ans. 3 a. Les quatre composantes 4 b. A. B. A. B. A. B. C. Méthodologie p.18 a. B. A. B. C. A. B. A. B. C. A. B. C. Discussion p.29 Réflexions critiques p. 35 Bibliographie p. 37 Annexes p.40 Entre trois et quatre ans, âge de la scolarisation, l'enfant fait de nombreuses découvertes, notamment celle de l'autre. En effet, un déficit de cette capacité a de grandes répercussions sur le devenir des enfants.

Ainsi le but de cette recherche est de spécifier le développement de la théorie de l'esprit chez l'enfant atteint d'autisme, suite à un précédent travail (Papin, 2006). La Théorie de l'esprit est définie comme la capacité d'un individu à attribuer des états mentaux (comme la pensée, les croyances, les sentiments et les désirs...) aux autres et à soi-même. Quand l'enfant acquiert « la théorie de l'esprit » La « théorie de l'esprit », soit la capacité à comprendre les intentions d'autrui, apparaît bien plus tôt chez l'enfant qu'on le pensait jusqu'alors. Une expérience récente semble le prouver et relance un débat vieux de trente ans. Face à un petit garçon, âgé de 15 mois, assis sur un tapis, une jeune femme manipule un jouet : une tranche de pastèque en plastique. Elle enferme le jouet dans l'une des deux boîtes, verte ou jaune, posées devant elle, puis s'absente.

Quelques minutes plus tard, la voilà qui revient prendre le jouet dans la boîte verte, là où elle l'a placé. Rien de plus normal dans tout cela. Mais changeons un peu le scénario. Tout se passe donc comme si le petit garçon de 15 mois pouvait déjà se mettre à la place de l'autre. Voilà justement ce que semble démontrer cette expérience, qui a fait l'objet d'une publication remarquée dans la revue Science, le 8 avril 2005. Qu'est-ce que la théorie de l'esprit ? Une façon nette de trancher cette question, selon D.

Où en est-on ? Qu'est-ce que l'empathie ? Le blog des Rapports Humains. C’est un comble chers lecteurs du blog des rapports humains ! Je prétends traiter de sujets liés aux relations humaines et à la communication depuis plus de deux ans et je me rends compte aujourd’hui que je n’ai jamais parlé d’un des fondamentaux de ce domaine, l’empathie. Je compte bien rétablir la cohérence de la ligne éditoriale de ce blog en partageant cette semaine avec vous mes dernières lectures sur le sujet. Étymologiquement, « empathie » provient du terme Einfuhlung, qui fait référence à la projection d’une personne dans la situation de l’autre. Depuis lors, cette définition a évolué grâce aux travaux effectués dans différents champs de recherche tels que la philosophie, la psychologie et les neurosciences. D’après Jean Decety, neurobiologiste, professeur à l’université de Washington, et directeur du laboratoire Social Cognitive Neuroscience à Seattle, l’empathie ne peut s’envisager que lorsque la personne fait l’expérience d’une réponse émotionnelle face à l’émotion d’autrui.

Psychologie Positive. L’empathie désigne la capacité de se mettre à la place d’autrui, de se représenter ce qu’il ressent et/ou pense. Ressentir – Penser : ce sont là les deux facettes essentielles de l’empathie, l’une émotionnelle, l’autre cognitive. Certains auteurs en rajoutent une autre, la dimension comportementale. C’est une réaction généralement automatique et non intentionnelle. Lorsque nous voyons quelqu’un souffrir, nous sommes nous-mêmes affectés, nous éprouvons généralement un ressenti désagréable. Ce peut être le cas par exemple, lorsque l’on observe à la télévision un sportif qui exprime sa douleur après s’être tordu la cheville. L’empathie émotionnelle se manifeste très précocement puisque, dès les premières heures suivant leur naissance, les bébés réagissent à la détresse de congénères, en pleurant.

Il s’agit de la capacité de se représenter les états mentaux d’autrui. les psychanalystes parlent de « mentalisation » et les cognitivistes de « théorie de l’esprit ». Par Jacques Lecomte. L'empathie, une qualité essentielle à votre réussite. Que vous soyez vendeur, dirigeant ou même parent, plus vous êtes capable d’influencer les autres, que ce soit une personne ou un groupe, à prendre une décision ou à accomplir une action en fonction de ce que vous voulez, plus vous obtenez ce que vous désirez.

Pour avoir de l’influence sur les autres, c’est-à-dire pour les amener à agir en fonction de vos idées, de vos méthodes ou de votre façon de faire, vous avez deux options : Soit que vous faites appel à la force ou même à la peur (cette alternative peut donner, à court terme, de bons résultats mais rarement à long terme);Soit que vous utilisez beaucoup d’empathie (ce qui vous procurera d’excellents résultats autant à court qu’à long terme). Mais qu’est-ce que l’empathie? La définition du grand dictionnaire terminologique se lit comme suit : « Habileté à percevoir, à identifier et à comprendre les sentiments ou émotions d'une autre personne tout en maintenant une distance affective par rapport à cette dernière ».

Bonne empathie. Empathie : le danger des mystifications. L’empathie semble bien placée pour devenir le dernier concept à la mode. Mais pourquoi tant d’engouements ? Parce que nous avons tous envie d’y croire ! Et pour rendre l’empathie encore plus désirable, certains auteurs, comme Jeremy Rifkin, n’hésitent pas à la caricaturer et à la présenter comme une formidable force altruiste. Pourtant, les diverses recherches menées actuellement en neuro physiologie sont formelles : si l’empathie est bien la capacité de percevoir les états mentaux de l’autre, elle n’est pas la tendance à s’en préoccuper. Telle est la première mystification qu’entretient l’ouvrage de Jeremy Rifkin. 1. Tout d’abord, l’empathie n’est ni la sympathie, ni la compassion ni l’identification.

L’empathie peut en effet être représentée sous la forme d’une pyramide constituée de trois étages superposés, correspondant à des relations de plus en plus riches, partagées avec un nombre de plus en plus réduit de gens (Tisseron S., 2010). 2. 2.1. 2.2. 2.3. 3. 3.1. 3.2. 3.3. 3.4. 4.