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Écoles japonaises

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Le modèle japonais de gestion - Annick BOURGUIGNON.

Toyotisme

L'école japonaise d'organisation. Il est intéressant de recenser les publications les plus significatives et de remarquer qu’elles sont éditées autour des années 1980. Le schéma 1 permet de mettre en évidence une période de forte intensité de publications relativement courte et des contributeurs en nombre limité. À ce titre, l’année 1980 peut apparaître comme référence du lancement de l’internationalisation du mouvement de l’« école japonaise » d’organisation.

Cela correspond également à plusieurs mouvements adjacents, tels que les voyages d’étude vers le Japon et les missions de certains gourous japonais en Europe [3][3] On situe les premières missions de consultance de Shiego.... La première vague de livres est pour l’essentiel constituée d’essais d’explication des progrès de la nation japonaise à partir de deux axes : celui des modes de management et des stratégies d’entreprise et celui de la théorisation de typologies d’entreprises et de la description d’un nouveau paradigme organisationnel. P. Lavelle [13][13] P. 9782124652143. Ouchihtml 1263552741670. L'analyse d'Erik Izraelewicz : fordisme, toyotisme, what's next ? Le pèlerinage à Détroit était, dans les années 1950 encore, un must pour tout industriel européen qui avait quelque prétention. Cela ne s'appelait pas encore le « benchmarking » (la comparaison des meilleures pratiques). Cela y ressemblait. Il fallait aller voir comment Ford ?

Et les autres constructeurs automobiles américains ? Avaient réussi à rationaliser la production. À l'origine du modèle, il y avait un génie, Henry Ford, le premier à avoir introduit, en 1908, une organisation hyperefficace de la production. Qu'est-ce que le Lean Management ? Définition du Lean Management Le Lean management, introduit au sein des usines Toyota (Toyota Production System) au cours des années 70, est un système d'organisation assez complexe. L'objectif étant d'améliorer au mieux la performance des processus en exploitant les méthodes, techniques et pratiques déjà à disposition. Le Juste à temps, la qualité à tous les niveaux des processus et la réduction des coûts sont au programme. Vue sous un angle plus pratique, la démarche repose sur la résolution active des problèmes de production et donc : ›› la diminution des stocks, ›› la lutte contre les gaspillages et la réduction des défauts, ›› le juste à temps, ›› la production à flux tirés (Kanban...) et la maîtrise des délais, ›› la flexibilité et la gestion efficace des compétences, ›› tout comme la réduction des coûts, sont parties intégrantes de la démarche.

Une démarche d'amélioration continue Les 7 sources de gaspillage selon Taiichi Ohno Un peu de qualitatif dans vos indicateurs... . En complément. 13954380. Le "lean management", un danger pour les salariés ? Accueil Les techniques du "lean management," mode d'amélioration continue de l'organisation du travail, sont loin de faire l'unanimité. Efficace pour réduire les coûts, il serait, contrairement à sa promesse initiale, un danger pour les salariés.(...) Cet article est réservé aux abonnés, pour en profiter abonnez-vous. Et aussi sur les Echos Les articles à la une Conso - Distribution Le mariage entre la Fnac et Darty aura bien lieu Les deux groupes se sont finalement entendus sur l’échange de 1 action Fnac contre 37 actions Darty.

Darty : trois questions sur l’offensive de la Fnac La Fnac a fait une offre de reprise sur 100 % du capital de Darty. FNAC : 60 ans de commerce culturel DOSSIER Fnac : 60 ans de commerce culturel En 1954, deux anciens militants d’extrême gauche, André Essel et Max Théret, créaient la Fédération nationale d’achat (future FNAC), dans l’idée de... à lire également sur les echos Recommandé par Les articles les plus lus Popularité : l’ascension de Marion Maréchal-Le Pen. 10. Ce qu'il faut savoir sur le lean management.

Les entreprises ont trouvé leur nouveau partenaire minceur: le lean management. Mince ou dégraissé, voire "au plus juste", selon les traductions, le lean fait la guerre aux gaspillages. Le concept, qui a vu le jour à la fin des années quatre-vingts, est tout droit sorti des cerveaux de chercheurs américains du MIT (Massachussets Institute of Technology) qui se sont penchés sur la succes story du Toyota production System (TPS). Ils en ont tiré un livre devenu depuis la "bible" du lean management: Le Système qui va changer le monde (The machine that changed the world) de James P. Womack, Daniel T. Jones et Daniel Roos. Philosophie et principes du lean Le lean management, "c'est la participation de l'ensemble des employés d'une entreprise à la lutte contre le gaspillage en chassant tout ce qui produit de la "non-valeur ajoutée"".

La méthode lean cherche à identifier les "temps valeur ajoutée" dans un processus de fabrication ou de production. Faire toujours plus, plus vite et mieux. 2 Le Knowledge Management, un outil de l'Intelligence économique - gestion des connaissances au japon (knowledge management in japan) La notion de Knowledge Management(Définition de la Gestion des connaissances, Définition du Knowledge management) Bref historique C’est une notion qui n’est pas récente. En effet dès 1970, le concept de gestion de la connaissance (Knowledge management) commençait à s’épanouir dans les certains groupes industriels. Ce concept a été particulièrement développé aux USA, notamment avec l’appui de certaines universités (Stanford, Berkeley), où certains chercheurs se sont attachés à comprendre comment la connaissance est produite, utilisée et diffusée au sein d’une organisation (voir les travaux de Everett Rogers & Thomas Allen).

Dans le milieu des années 1980, l’importance de la connaissance est reconnue comme un « competitive asset ». L’aspect concurrentiel et stratégique de la connaissance est entrain d’être pris en compte dans certaines organisations. But du Knowledge Management Les objectifs de la gestion des connaissances sont donc de : Concrètement, la gestion des connaissances consiste : Le modèle SECI de Nonaka et Takeuchi.

Le modèle SECI de Nonaka et Takeuchi Texte de Ivain Alexandre Le modèle SECI de Nonaka et Takeuchi a pour but d'expliciter le phénomène de production, d'utilisation et de diffusion de connaissances au sein d'une organisation, notamment, dans le milieu industriel. On cherche à comprendre le processus de transformation d’informations tacites en informations explicites. Mais tout d'abord, deux définitions Le savoir tacite : il est enraciné dans l'action, dans les routines, dans un contexte spécifique.

Les connaissances tacites regroupent les compétences innées ou acquises, le savoir-faire et l'expérience. Elles peuvent s'assimiler au capital intellectuel d’une entreprise. Le savoir explicite : Il renferme les connaissances codifiées et transmissibles en un langage formel et systématique. De quoi s'agit-il ? Dans quelles circonstances l'utiliser ? Le modèle crée par Nonaka et Takeuchi semble correspondre totalement au milieu entrepreneurial japonais. Forces et faiblesses Supports logiciels. Management stratégique et compétitivité. Organisation et TMS. La fin du modèle japonais ? LE MONDE ECONOMIE | | Jean-Marc Le Gall (conseil en stratégies sociales, professeur associé au Celsa) Avant même le drame de Fukushima, le Japon était en proie au doute.

Tel est le constat qui est ressorti des échanges entre économistes, géographes et chercheurs en gestion, lors de conférences organisées du 5 au 8 mars à l'Osaka City University. Confronté à une longue période de déflation, puis à la crise actuelle, le capitalisme nippon apparaît aujourd'hui profondément remis en question. Le management de ses entreprises a pourtant longtemps représenté un modèle, du fait de leur réussite et de la grande cohérence de leur fonctionnement. Marqué par les traditions (un fort conformisme social en particulier) et par des pratiques patronales paternalistes, ce modèle reposait également sur des modalités originales d'organisation, de coopération et de régulation, théorisées par l'économiste Masahiko Aoki sous le nom de "modèle J" (Economie japonaise.

Ouchihtml 1263552741670. Theories des organisations. L'école japonaise d'organisation - Jean Tyberghein, Yvon Pesqueux, Alain Flourens. Penser. THEO ORGANISATION. L'école japonaise d'organisation. Aims1996 1167.

Management connaissances

Le "lean management" pour économiser des coûts de production. Travail collaboratif : le succès de l'intelligence collectve. Entreprendre.fr Publié le 14 sep 2015 Ces dernières années, de nombreux travaux de recherche portent sur le thème de l’intelligence collective ou du moins se réfèrent à cette notion. La plupart des auteurs soulignent le fait qu’elle représente un enjeu important pour le bon fonctionnement des organisations. à lire aussi De plus, certains travaux (Lévy, 1997) indiquent qu’elle serait déjà présente de façon opérationnelle au sein des organisations.

Cependant, la définition de l’intelligence collective ne semble pas encore stabilisée notamment en Sciences de Gestion. L'intelligence collective, c’est quoi en fait ? L'intelligence collective désigne les capacités cognitives d'une communauté résultant des interactions multiples entre ses membres. Collective ou collaborative ? Différentes formes d'intelligence collective Les formes d'intelligence collective sont très diverses selon les types de communauté et les membres qu'elles réunissent. Les fondements de l’intelligence collective Penser plus loin.