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Vers le commencement de la fin ?

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Europe is Falling Apart. By Delusional Economics, who is horrified at the state of economic commentary in Australia and is determined to cleanse the daily flow of vested interests propaganda to produce a balanced counterpoint. Cross posted from It feels as if Europe has rolled the clocks back to 2011 as the effects of the ECB’s LTRO have now well and truly warn off and the markets appear to have reconnected with idea that the fundamental issues of the Eurozone have never been addressed.

Spain is 55% through its debt schedule for the year but, as the shadow of emergency operations passes over, yields are rising quickly: But that wasn’t Spain’s only problem overnight: The Spanish government moved Thursday to quell fears of massive deposit withdrawals in Bankia SA (BKIA.MC) as its shares were pummeled by an unconfirmed local media report that depositors were withdrawing savings after the government rescued the ailing lender last week.

L’Europe se dégrade elle-même. La dégradation de 9 pays de la zone euro, parmi lesquels la France, montre clairement que la politique européenne de fonds de sauvetage doublée de l'austérité fiscale a mis à plat le continent. Il est temps qu'Angela Merkel et ses partenaires trouvent une solution crédible à la crise, écrit Wolfgang Münchau. La semaine dernière avait été le théâtre d’une brève euphorie, mais la réalité nous a rattrapés. La nouvelle tombée le 13 janvier n’est pas vraiment une surprise. La dégradation de la note de la France était un choc annoncé. Tout comme l’échec des négociations entre les investisseurs et le gouvernement grec au sujet d’une participation volontaire à la restructuration de la dette publique hellène. Une proposition fondamentalement irréaliste a été rejetée.

Ne feignons pas d’en être étonnés. Pourtant, ces deux événements sont importants parce qu’ils nous dévoilent le mécanisme à l’œuvre derrière ce qui nous attend probablement cette année. Une géographie économique remodelée. Zone euro: Quels impacts de la sortie de la Grèce? Points: Investissements, monnaie unique, construction de l’Europe… les enjeux Des questions-clés pour comprendre la crise Existe-t-il une issue pour la Grèce qui entre dans une nouvelle zone de turbulences politique et économique? Le débat se concentre surtout sur l’impact de la sortie d'Athènes de la zone euro sur les investisseurs, la monnaie unique et surtout sur la construction de l'Europe. Déjà, vendredi 11 mai, la Grèce avait bien du mal à mettre sur pied un gouvernement de coalition pour éviter de retourner aux urnes en juin. Les enjeux sont de taille pour ce pays qui fait partie de l’Europe. Voici des questions clefs pour comprendre la crise grecque.

Quel avenir? Les aides sont là… mais Un geste vient toutefois d'être fait. N Economie: Des signes d'amélioration? Légende Image: La Grèce avait bien du mal vendredi 11 mai à mettre sur pied un gouvernement de coalition pour éviter de retourner aux urnes en juin. Conjoncture : Le monde vu par les agences de notation. INFOGRAPHIE - La menace d'une dégradation pèse sur nombre de pays développés. Seuls les notes des pays émergents grimpent toujours plus haut. L'agence de notation Standard & Poor's a mis sa menace à exécution en dégradant, vendredi soir, neuf pays membres de la zone euro. Le coup est particulièrement rude pour la France, qui perd son triple A pour la première fois de 1975, et voit comme tous les autres pays dégradés, sauf la Slovaquie, cette note assortie d'une perspective négative.

L'Autriche accompagne la France dans sa chute, contrairement à l'Allemagne, la Finlande, le Luxembourg et les Pays-Bas, qui conservent leur triple A. La France, l'Autriche, Malte, la Slovaquie et la Slovénie ne sont dégradés que d'un cran. . • La France et l'Autriche sont dégradées d'un cran, et passent de AAA à AA+ • L'Italie est dégradée de deux crans, de A à BBB+ • L'Espagne est dégradée de deux crans, de AA- à A • Le Portugal est dégradé de deux crans, de BBB- à BB • Malte est dégradée d'un cran, de A à A- Les policiers et les manifestants s'affrontent en Roumanie | Europe. Il s'agissait de la troisième journée consécutive de protestations anti-gouvernement, alors que les Roumains sont descendus dans les rues pour exprimer leur ras-le-bol face aux mesures d'austérité et à la dégradation de leurs conditions de vie. Ces manifestations sont les plus importantes à survenir depuis l'arrivée au pouvoir du président Traian Basescu, en 2004.

Le soulèvement populaire découle d'une frustration contre les compressions salariales dans le secteur public, la réduction des avantages, la hausse des impôts et la corruption endémique. Le gouvernement de la Roumanie a contracté un prêt de 27,5 milliards $ sur deux ans, en 2009, auprès du Fonds monétaire international, de l'Union européenne et de la Banque mondiale, alors que son économie reculait de 7,1 pour cent.

En contrepartie, le pays a imposé de sévères mesures d'austérité, réduisant les salaires des fonctionnaires de 25 pour cent et augmentant les impôts. S&P envoie une lettre de menace à Sarkozy. S&P s'impose dans le débat politique sur l'euro. Quel contraste dans les réactions au lendemain de la décision de l'agence de notation Standard & Poors (S&P) de mettre sous surveillance avec implication négative les quinze pays membres de la zone euro, dont l'Allemagne et la France. « Quand on regarde la façon dont S&P argumente, on voit que la méthodologie a évolué et est maintenant plus liée à des facteurs politiques qu'aux fondamentaux économiques », a critiqué Christian Noyer, gouverneur de la Banque de France.

Pour Jean-Claude Juncker, le président de l'Eurogroupe, qui réunit les ministres des Finances de la zone, la menace de S&P est « exagérée et aussi injuste ». En revanche, pour Wolfgang Schäuble, le ministre allemand des Finances, « il s'agit de la meilleure incitation possible pour le sommet de cette semaine ». « Je ne peux rien imaginer de plus efficace », s'est-il réjoui.

Et pour les deux responsables politiques, la réponse à cette annonce dramatisant la situation de crise est en effet claire. DE L’ÉLARGISSEMENT A LA GLOBALISATION. Billet invité Telle une litanie lancinante, les nouvelles se succèdent et concourent toutes au même sentiment d’effondrement inéluctable. Aujourd’hui, ce furent une émission obligataire calamiteuse – cette fois-ci italienne – la dégradation de la note de la Belgique, ainsi que celle de banques portugaises et hongroises, succédant à celle de la Hongrie elle-même.

Rien ne semble résister à cet effondrement auquel rien ne fait obstacle, surtout pas les discours des dirigeants européens, dépassés et divisés entre eux, qui multiplient à un rythme effréné et en pure perte les conciliabules en tentant de donner le change. « Un écroulement de l’Italie amènerait inévitablement la fin de l’euro » auraient déclaré, selon un communiqué de la présidence du Conseil italien, Nicolas Sarkozy et Angela Merkel au cours du mini-sommet de Strasbourg auquel participait Mario Monti. Pendant des semaines, le jeu a consisté à prévoir quel serait le prochain pays qui rejoindrait la zone des tempêtes.

Europe’s crisis worsens due to economic mismanagement, especially by ECB. From Mark Weisbrot Some of us have been warning for months about the crisis scenario that is accelerating today in Europe. In particular I have noted that the European authorities were pushing Italy down a dangerous path, similarly to what they did to Greece. The formula is deadly: force budget tightening on an economy that is already shrinking or on the edge of recession. This shrinks the economy further, causing government revenue to fall and making further tightening necessary to meet the target budget deficit. The government’s borrowing costs rise because markets see where this is going. This makes it even more difficult to meet the targets, and the whole mess can spiral out of control. Today financial markets reacted violently to this process in Italy, with yields on both 10-year and 2-year Italian government bonds soaring past 7 percent.

One year ago, Italy could borrow at 4 percent for 10-year bonds. In fact, the bond traders can be more imaginative than that. This Is The Way The Euro Ends. Eurodämmerung.

Et pendant ce temps, en France...

Europe2020. Comme anticipé par LEAP/E2020, le second semestre 2011 voit le monde continuer sa descente infernale dans la dislocation géopolitique globale caractérisée par la convergence des crises monétaire, financière, économique, sociale, politique et stratégique. Après une année 2010 et un début 2011 qui aura vu le mythe d’une reprise et d’une sortie de crise voler en éclat, c’est désormais l’incertitude qui domine les processus de décision des Etats comme des entreprises et des individus, générant inévitablement une inquiétude croissante pour les années à venir. Le contexte s’y prête particulièrement : explosions sociales, paralysie et/ou instabilité politique, retour de la récession mondiale, peur sur les banques, guerre monétaire, disparition de plus d’une dizaine de milliers de milliards USD d’actifs-fantômes en trois mois, chômage durable et en hausse généralisé, … Premier semestre 2012 : Décimation des banques occidentales La décimation des effectifs des banques [ 15 ] Source : L’Internaute.

Pourquoi Jacques Sapir ne doit jamais être invité au JT de France 2. Real-World Economics Review Blog. From David Ruccio For some time, I’ve been calling the current crisis in capitalism the Second Great Depression.* Now, it seems, fears of a repeat of the First Great Depression are becoming more widespread. Will Hutton [ht: db] is one example: Eighty years ago, faced with today’s economic events, nobody would have been in any doubt: we would obviously be living through a crisis in capitalism. John B. TODAY’S RECESSION does not merely resemble the Great Depression; it is, to a real extent, a recurrence of it. Right now, we’re witnessing a crisis in capitalism and not a crisis of capitalism. . * Although, in all honesty, I don’t know if I coined the term or borrowed it from someone else.

L’euro court à sa perte. Dans leurs négociations avec le FMI, les gouvernements européens se sont engagés à prendre “toutes les mesures nécessaires” pour empêcher un effondrement de la zone euro. Mais comme le souligne le prix Nobel d'économie Paul Krugman, jusqu’à présent, ils n’ont fait que fragiliser la monnaie unique. Est-il possible d’avoir peur et de s’ennuyer en même temps ? C’est ce que m’inspirent les négociations en cours sur les moyens de réagir à la crise économique en Europe, un sentiment dont je me dis qu’il doit être partagé par d’autres observateurs. D’un côté, l’Europe est dans une situation vraiment, vraiment effrayante : un tiers des pays de la zone euro étant désormais visés par des attaques spéculatives, c’est l’existence même de la monnaie unique qui se trouve menacée – et un effondrement de l’euro pourrait infliger de terribles dégâts dans le monde entier.

De l’autre, les décideurs européens semblent disposés à s’enferrer dans la voie qu’ils se sont tracée. Alors, que faire ? EU given six weeks to protect itself against 'inevitable Greek default' | Business | The Observer. European Union governments will spend the next six weeks building a financial firewall to protect their fragile banking systems against what is now seen as an inevitable Greek default. G20 sources said that up to 50% was likely to be wiped from the face value of Greece's €350bn debt – but not until Europe had put into place a war chest to prevent the contagion spreading. More money will be disbursed by the International Monetary Fund and the EU next month to keep the Greek government afloat, but this is seen as a short-term fix while Europe's leaders beef up the eurozone bailout fund, the European Financial Stability Facility. Europe came under ferocious pressure at this weekend's IMF meeting in Washington to contain the spiralling crisis, which is blamed for dragging the global economy to the brink of a double-dip recession.

The IMF is reportedly willing to continue bailing out Greece in the short-term, provided that Europe uses the time to tackle the issue of debt once and for all. DYNAMIQUE DE L’IMPLOSION. Billet invité. Et si nous devions faire face à un rendez-vous manqué se demandent certains ? Si, en dépit de l’implosion en cours, l’avènement d’une alternative au système, nécessairement en rupture avec celui-ci au point où nous en sommes, tardait à venir pour de multiples raisons ? Cette déplaisante hypothèse ne mérite-t-elle pas d’être envisagée, l’Histoire n’étant pas à un lapin près ? En collationnant dans les développements en cours ce qui pourrait préfigurer une nouvelle période, destinée à être longue. Tout en se demandant si cette nouvelle configuration par défaut du capitalisme serait finalement viable.

Avec la persistance d’une croissance économique anémique dans le monde occidental, créant de fortes tendances récessives, le décor est planté. La machinerie financière reste largement intouchée, la régulation devenue une histoire à dormir debout. Quand la machine ne fabrique plus assez de dette pour s’alimenter, elle fabrique du risque en remplacement. GEAB N°57 is available! Global systemic crisis - Fourth quarter 2011: Implosive fusion of global financial assets. Conjoncture : Si la Grèce sortait de l'euro... VIDÉO - La possibilité d'une faillite de la Grèce serait désormais envisagée par la zone euro. Athènes pourrait alors abandonner la monnaie européenne pour revenir à la drachme, misant sur sa dévaluation pour sortir de la crise. Le sujet n'est plus tabou. D'après des informations de l'hebdomadaire allemand Spiegel dévoilées ce dimanche, le ministre des Finances allemand Wolfgang Schäuble envisagerait sérieusement une faillite d'Athènes, laquelle pourrait se solder par une sortie du pays de l'euro et un retour à la drachme.

Même si cette information a ensuite été «démentie par l'Allemagne», selon le ministre grec des Finances Evangélos Vénizélos, elle intervient alors que les marchés sont de plus en plus sceptiques concernant un sauvetage de la Grèce, dont la situation économique ne cesse de s'aggraver. A cela, il faut ajouter les publications récentes d'économistes, qui émettent maintenant des «fictions» concernant l'abandon de l'euro par Athènes. Player Figaro BFM. An Impeccable Disaster. Few options left to save the euro zone. Cross-posted from Credit Writedowns How should I begin this post? Let me start out with my former default position: I have always seen a sovereign default and restructuring within the euro zone as more likely than a break-up of the euro zone. I would say I considered the dissolution of the euro zone as an outlier.

See my thoughts from "Anticipating Eurozone Collapse" in March. Increasingly, this possibility is being raised. Granted, the chances are increasing but it still cannot be the baseline case. This is no longer my view. The German Constitutional Court decision is critical In June, I wrote that the chances of a euro zone breakup are now increasing, giving background for the current political turmoil surrounding Greece. "The Bundestag’s budget responsibilities may not be transferred through open-ended appropriations to other actors.

This ruling by the German Constitutional Court does allow the EFSF to operate as planned. The European Harmonisation Fund is the only option. Roubini: Slowdown Brings Forward New Crisis. Les scénarios noirs de la crise grecque. Sociétés : Goldman Sachs, en difficulté, s'attaque aux tasses de café.