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USA downgraded

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Les conséquences mondiales du déclin américain. Il y a une dizaine d’années, lorsqu’avec quelques autres personnes je parlais de déclin des Etats-Unis dans le système-monde, nous étions accueillis, au mieux, par des sourires condescendants face à ce qui passait pour de la naïveté de notre part. L’Amérique n’était-elle pas la superpuissance unique, ce pays présent jusque dans les endroits les plus reculés de la planète, celui qui arrivait à ses fins la plupart du temps ? C’était une opinion partagée dans tout le spectre politique. Aujourd’hui, l’idée que les Etats-Unis ont décliné - et même sérieusement décliné - est devenue banale.

Tout le monde le dit, sauf quelques responsables politiques américains qui redoutent de se faire reprocher cette mauvaise nouvelle si jamais ils ouvraient réellement le débat. Le fait est que presque tout le monde aujourd’hui est convaincu de cette réalité . Ce qui fait cependant beaucoup moins l’objet de discussions, ce sont les conséquences mondiales, présentes et à venir, de ce déclin. The Fatal Distraction. MOODY'S ANALYST BREAKS SILENCE: Says Ratings Agency Rotten To Core With Conflicts, Corruption, And Greed. STOCKS DESTROYED AMID GLOBAL DEBT FREAKOUT: Here's What You Need To Know. Standard & Poor’s annoys Americans A Vingança do Mundo sobre os opinion makers e os spin doctors. By Jorge Nascimento Rodrigues [Contributor for Expresso weekly newspaper, Lisbon. Editor of Janelanaweb.com. Co-author of Business Minds and Pioneers of Globalization] Reactions on the Standard & Poor’s Research Update: “United States of America Long-Term Rating Lowered To ‘AA+’ On Political Risks And Rising Debt Burden; Outlook Negative” and Treasury’s official response to the S&P downgrade The Nobel Laureate Paul Krugman called it “outrage” and the tone in U.S. is criticism of the “nerve” of the agency.

Expresso heard four analysts from three continents. Strong different opinions. The most striking reaction to the downgrade of the debt of the United States emerged from academia. Krugman pointed the fact that Standard & Poor’s made an assessment on the political dynamic in Washington DC. S&P went too far There is some consensus among U.S. analysts in reaction to S&P (owned by McGraw-Hill and seen by many outside the United States as a “transmission belt” of American power).

Bank of America: S&P May Downgrade US Again in November. "We do expect further downgrades," said Ethan Harris, North American economist, on the call. "We doubt the newly appointed bipartisan commission will come up with a credible long-term deficit reduction plan. Hence by November or December we would not be surprised to see S&P downgrade the debt again from AA-plus to AA. " Harris said that the U.S. should have avoided the downgrade in the first place by meeting S&P's demands of a $4 trillion deficit cut and a "demonstrating a sensible budget process.

" What they got instead was a "deficit cut of $2.1 trillion and a budget process that's been extremely chaotic," said Harris. The 45-minute call was moderated by Michael Hartnett, chief equity strategist for the firm. Along with Hartnett and Harris, six other top strategists from various fields were on the call. The Federal Reserve meets on Tuesday and investors speculate that the central bank will acknowledge the recent stall in the economy. Conjoncture : Les critiques fusent sur la décision de S&P. L'investisseur américain Warren Buffett, le prix Nobel Paul Krugman, un membre de la BCE...

Les voix s'élèvent contre l'agence de notation qui a dégradé le «AAA» des États-Unis. Tour d'horizon. «De la folie à l'état pur», «une descente aux enfers», «une deuxième récession»... La décision de S&P de sacrifier le «AAA» américain est vivement critiquée de la communauté financière, jugée déraisonnable et injustifiée, et qui tombe au «pire moment», alors que les marchés financiers viennent d'essuyer la pire semaine depuis la crise de 2008. . • John Bellows, secrétaire adjoint au Trésor Dans une note publiée sur son blog, John Bellows a détaillé cette erreur de 2000 milliards de dollars et déplore que S&P n'ait pas rééxaminé son jugement ou ne se soit pas «donné un jour supplémentaire pour réévaluer soigneusement l'analyse. . ( . . . ) . • Warren Buffett, un des gourous de la finance mondiale • Paul Krugman, prix Nobel d'économie • José Manuel Gonzalez-Paramo, membre du Conseil exécutif de la BCE.

Avis de tempête sur les marchés financiers internationaux. Peut-être cette fois ne s'agit-il pas d’une fiction mais du possible scenario apocalyptique souvent redouté par les financiers et les économistes du monde entier : une incertitude économique et financière internationale généralisée et durable. Une volatilité extrême. On croyait en avoir fini avec la crise des subprimes, l’effondrement de Lehman Brothers et celui d’AIG. On pensait les attaques structurelles contre l’Euro devoir appartenir au passé d’une année 2010 tourmentée. On imaginait bien que le Congrès et le Président des Etats-Unis allaient finir par remonter le plafond de la dette US comme ils l’avaient fait 60 ou 70 fois depuis cinquante ans, sans pourtant croire à l’inévitabilité du psychodrame qui s’est déroulé pendant de longues semaines sous nos yeux pour culminer dans un accord de dernière minute au soir du 31 juillet dernier.

L’accélération dans l’enchainement des causes et des conséquences a stupéfait les places financières. Qu’en sera-t-il cette semaine ? Olivier Chazoule. Note américaine dégradée : Pékin demande des comptes - Economie. NOUS Y SOMMES ! par François Leclerc. Billet invité. Ils ne savent plus où donner de la tête. Tandis que les dirigeants européens tentent de convoquer un G7 finances pour faire face, les Américains récoltent la monnaie de leur pièce, tendue comme prévu par Standard & Poor’s. Se réunir a-t-il d’ailleurs un sens, si aucune parade n’est en vue ? Les Européens sont arrivés au bout de leurs contradictions et ne vont pas pouvoir s’en sortir en accélérant le sauvetage de la Grèce, élargissant les missions du Fonds de stabilité et renforçant symboliquement la gouvernance économique.

C’est pourquoi ils font un appel du pied hors de leurs frontières, c’est à dire au FMI. Pour gagner du temps en attendant son hypothétique intervention, il ne leur reste dans les mains que la BCE et les entrechats de son président, c’est mince s’ils ne sont pas accompagnés d’achats de titres italiens sur le marché, l’annonce d’hier soir d’Umberto Bossi étant à prendre avec des pincettes. Une autre grande histoire est en train de se jouer aux Etats-Unis. US credit rating downgraded for the first time in history | World | Deutsche Welle | 06.08.2011. For the first time in history, the rating agency Standard and Poor's (S&P) has downgraded the United States' credit worthiness, expressing a lack of confidence in Washington's ability to implement policies aimed at reforming the world's largest economy.

The US credit rating now sits at AA+, one notch down from the AAA rating that it originally received from the agency Moody's in 1917. S&P first gave the United States a triple-A rating in 1941. The credit-rating downgrade came less than a week after a last minute resolution concluded a bitter partisan political fight over raising the nation's $14.3 trillion (10 trillion euros) debt ceiling.

Republicans and Democrats cobbled together an agreement to cut $2.5 trillion in spending in exchange for raising the ceiling by an equal amount. S&P, however, said Washington needed to cut $4 trillion in order to puts its finances on the right track and that the polarized political system in the US had reduced its ability to resolve its economic woes. Www.standardandpoors.com/servlet/BlobServer?blobheadername3=MDT-Type&blobcol=urldata&blobtable=MungoBlobs&blobheadervalue2=inline;+filename%3DUS_Downgraded_AA%2B.pdf&blobheadername2=Content-Disposition&blobheadervalue1=application/pdf&blobkey=id&blobheade.

Standard and Poor's dégrade la note de la dette américaine. L'agence d'évaluation financière Standard and Poor's a abaissé vendredi la note attribuée à la dette publique des Etats-Unis, privés de leur "AAA" pour la première fois de leur histoire, citant les "risques politiques" face aux enjeux du déficit budgétaire. S & P a annoncé dans un communiqué avoir abaissé d'un cran cette note, la meilleure possible, pour la porter à "AA+". Elle a par ailleurs abaissé la perspective à "négative", ce qui signifie que Standard and Poor's pense que la prochaine fois que cette note changera, ce sera pour être abaissée de nouveau. L'agence a justifié sa décision par "des risques politiques" de voir le pays prendre des mesures insuffisantes contre son déficit budgétaire.

Pour elle, le débat politique sur ces questions n'est pas à la hauteur des problèmes causés par une dette publique de plus de 14 500 milliards de dollars. Les Etats-Unis étaient notés "AAA" par Standard and Poor's depuis la création de cette agence en 1941. S.& P. Cuts U.S. Debt Rating for First Time. Les 29 établissements qui ont plus de cash... que les Etats-Unis ! Avec 39 milliards de trésorerie, la réserve fédérale n'est plus si riche que cela. La preuve, Capital IQ (Standard & Poor's), repris par le blog zerohedge.com a listé les sociétés disposant à mi-juillet de plus de cash que les Etats-Unis.

Ce n'est pas une suprise, on retrouve en tête de ce classement des banques chinoises, mais également... la Bank of America ainsi que les banques d'affaires JP Morgan et Morgan Stanley. Parmi les européens, citons le Crédit Suisse, Barclays, la Royal Bank of Scotland, la Deutsche Bank, ou encore Santander. Le plus étonnant ? Retrouver Freddie Mac, à l'agonie au moment de la crise financière et sauvé par le gouvernement américain, qui dispose désormais d'un trésor de guerre de 72 milliards de dollars ! Presque toutes les sociétés sont des établissements financiers, à l'exception de General Electric dont la finance n'est pas le seul métier (énergie, imagerie, médicale, réacteurs, etc.). A noter qu'aucune société française ne figure dans ce classement. S&P warns on U.S. debt, 50% chance of downgrade. L'agence de notation chinoise Dagong abaisse la note des Etats-Unis.

BEIJING, 14 juillet (Xinhua) -- L'agence de notation chinoise Dagong Global Credit Rating Co. a déclaré jeudi avoir abaissé la note de crédit des Etats-Unis à A+, sous surveillance négative pour une possible dégradation. Dagong a expliqué qu'elle prévoyait une récession économique à long terme de la plus grande économie mondiale, en raison de sa gouvernance et de ses politiques économiques en défaveur du système de crédit.

L'agence de notation chinoise prévoit que la croissance économique américaine ralentirait à 2,5% pour 2011 et 2012. Les politiques monétaires et fiscales du pays seront resserrées et les moteurs de la croissance domestique resteront faibles. Les taux d'intérêt bas du pays et l'assouplissement quantitatif de la politique monétaire ont encouragé les investissements en capital-risque, ramenant l'économie sur la voie d'un développement dépendant d'une économie fictive, a estimé Dagong. Risk of U.S. credit rating downgrade increased-S&P. S&P: Risk Of Downgrade Increases As U.S. Nears Debt Ceiling.

(William James and Emelia Sithole-Matarise) - The risks of the U.S. losing its prized triple-A rating over the medium term have increased as the country faces a political impasse and nears its debt ceiling, Standard and Poor's said on Tuesday. While the ability to adapt both fiscal and monetary policy was a positive for the United States, the risk of a credit rating downgrade had increased due to a lack of political consensus on how to employ that flexibility, Moritz Kraemer, head of sovereign credit ratings for Europe at Standard & Poor's, said on Tuesday. "The problem is this flexibility needs to be employed and for that you need political consensus. That's not very visible right now," he said. The United States is expected to exhaust its ability to meet financial obligations by August 2, but the Treasury department has said that date could shift. IMF economist Paul Mills also took a negative line on the politics surrounding the U.S. debt situation, speaking at the conference.

Treasury Secretary Downplays Report On Ratings Cut. 'AAA/A-1+' Rating On United States of America Affirmed; Outlook Revised To Negative. Standard & Poor's menace de dégrader la note des Etats-Unis. Standard & Poor's a annoncé lundi qu'elle abaissait la perspective des Etats-Unis de stable à négative, jugeant qu'il existe un risque que les responsables politiques ne parviennent pas à s'entendre à temps sur les méthodes à adopter pour réduire un déficit budgétaire béant.

L'agence de notation, qui maintient sa note souveraine à long terme à AAA, ajoute que cette décision sur la perspective implique qu'il existe au moins une probabilité d'un tiers qu'elle abaisse sa note à long terme sur les Etats-Unis dans les deux ans. S&P estime que les autorités n'ont pas clairement montré comment elles entendaient s'attaquer aux difficultés budgétaires sur le long terme. Sa concurrente Moody's Investors Service s'est contenté de dire que le débat en cours sur le budget était positif, même si son issue reste incertaine.

Elle est aussi susceptible de renchérir le coût du service de la dette, pesant d'autant sur le dollar et ne facilitant pas la tâche de réduction du déficit. S&P envisage de dégrader la note des Etats-Unis - POLITIQUE MONETAIRE. Un abaissement de la note de la dette des USA apporterait des changements radicaux.