background preloader

Sommet européen dit de la dernière chance

Facebook Twitter

A quand le prochain « Sommet de la dernière chance » ? Le Conseil européen tenu à Bruxelles les 8 et 9 décembre 2011 était annoncé comme le « Sommet de la dernière chance » pour la survie de l’euro, voire de l’Union européenne (UE). Comme tous ceux qui l’ont précédé, ce Sommet a mobilisé des centaines de personnes - premiers ministres, président (pour la France), ministres, conseillers, etc. -, et il a fait l’objet d’une dramatisation médiatique et politique exceptionnelle. A qui était destinée cette spectaculaire mise en scène ? Aux citoyens d’Europe ? Pas du tout. A la différence des responsables politiques et des gouvernements qui ne veulent pas se déjuger publiquement sur le bien fondé de la monnaie unique européenne - ils ont voté ou soutenu les traités de Maastricht et de Lisbonne -, les opérateurs financiers regardent froidement les choses en face : ils savent que l’euro ne peut pas être à la fois la monnaie de l’Allemagne et, entre autres, celle de la Grèce, tant sont divergentes leurs économies.

Sommet européen : Merkel 1 - Sarkozy 0. THE END OF THEORY By Chris Anderson. "All models are wrong, but some are useful. " So proclaimed statistician George Box 30 years ago, and he was right. But what choice did we have? Only models, from cosmological equations to theories of human behavior, seemed to be able to consistently, if imperfectly, explain the world around us.

Until now. Today companies like Google, which have grown up in an era of massively abundant data, don't have to settle for wrong models. Indeed, they don't have to settle for models at all. Sixty years ago, digital computers made information readable. The Petabyte Age is different because more is different. At the petabyte scale, information is not a matter of simple three- and four-dimensional taxonomy and order but of dimensionally agnostic statistics. Google's founding philosophy is that we don't know why this page is better than that one: If the statistics of incoming links say it is, that's good enough. The big target here isn't advertising, though. There is now a better way. OUF, LES BANQUES SONT SAUVÉES ! par François Leclerc. Billet invité. Les places boursières ont fait connaître leur verdict, les valeurs financières ont rebondi avant même que le sommet de Bruxelles ne soit terminé. Les banques en sont les premières bénéficiaires, BCE compris, tandis que les Etats ont pris sur le dos une charge supplémentaire, si l’on regarde de plus près les mesures adoptées.

Certes, ne fonctionnant pas, la stratégie initiale a été assouplie : les conditions dans lesquelles le nouveau prêt va être accordé à la Grèce vont être plus favorables en termes d’échéancier et de taux. Le montant de la dette du pays, de 350 milliards de dollars, devrait être un peu diminué, si les banques choisissent l’option qui leur est proposée d’une vente de leurs titres au Fonds de stabilité financière. Enfin, l’accès de la Grèce aux fonds structurels européens va être facilité, afin de donner un petit peu de mou dans la laisse.

La pente est moins raide, mais la stratégie reste la même. Sommet européen : "Les intérêts des Etats membres dominent la plupart du temps les intérêts européens" Bourse de Paris : Le CAC 40 repart de l'avant dans l'attente des conclusions du sommet européen. Très nerveux toute la matinée dans l'optique du sommet européen à Bruxelles, la Bourse de Paris a été rassurée par la fuite d'un projet d'accord de la zone euro sur la Grèce. Le CAC 40 a gagné 1,66% à 3.816,75 points. Grand rendez-vous de la journée, le sommet des dirigeants européens à Bruxelles était très attendu par les marchés. Selon un projet d? Accord du sommet non encore officiel, le fonds européen de stabilité financière (FESF) fournira à la Grèce, à l'Irlande et au Portugal des prêts à taux plus bas et pour des durées au moins doublées.

Mercredi soir, Nicolas Sarkozy et Angela Merkel étaient déjà parvenus in extremis à trouver une position commune sur le nouveau plan de sauvetage de la Grèce et sur la participation du secteur privé. Dans ce contexte déjà tendu, les investisseurs ont dû digérer de nombreuses statistiques macroéconomiques guère enthousiasmantes. En revanche, les annonces d'entreprises ont été plus positives. Valeurs en hausse Pernod Ricard, l? Valeurs en baisse. L'essentiel du nouveau plan de sauvetage de la Grèce.

Vogelsong: On va garder ce tweet préc... SYMBOLIQUE SAUVETAGE DE LA ONZIÈME HEURE. Billet invité Il aura fallu à Angela Merkel et Nicolas Sarkozy sept heures de discussions, dont certaines en présence de Jean-Claude Trichet, arrivé sur le tard à Berlin, pour adopter une « prise de position commune », en vue d’un accord à propos du sauvetage de la Grèce. Sans qu’il soit certain, vu la formulation ambiguë employée pour l’annoncer, que la BCE la partage. A moins que, pour sauver les apparences, Jean-Claude Trichet n’ait pas voulu être formellement associé à des décisions qui relèvent des gouvernements. Le quotidien allemand Bild, ce matin, annonçait que des dirigeants de grandes banques européennes seraient conviés au sommet de cet après-midi.

Symbole on ne peut plus parfait de la réalité du pouvoir, s’il est vérifié, après l’intrusion de l’Institute of International Finance dans les négociations préparatoires, où il a joué un rôle prépondérant. Le contenu de l’accord obtenu à l’arraché dans la nuit n’est pas connu.