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Opportunités de la crise

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Europe : les traders siffleront bientôt la fin de la récré. (Des traders au siège de la bourse new-yorkaise, le 2 avril - Richard Drew/AP/SIPA) Depuis le début de cette semaine, les opérateurs des marchés financiers signifient à tout le monde que la crise de l’euro est toujours d’actualité. Le mercredi 4 avril, l’Espagne a placé avec beaucoup de difficultés un emprunt d’un peu plus de 2,5 milliards avec des taux qui sont passés de 3,38% à 4,42%.

La décote sur le marché secondaire de cet emprunt implique un taux d’intérêt de revente de ces titres à 4,8%. Encore ne s’agit-il que de titres à court terme. Les difficultés financières contre lesquelles se débat le pays sont, bien entendu, la cause de cette situation. La permanence de la crise Il y a à cela plusieurs raisons. Et la permanence du déni Les affirmations péremptoires de Nicolas Sarkozy, pour qui la crise est aujourd’hui du passé, semblent bien dérisoires. L’heure des choix La crise, elle, est toujours là. Du même auteur [1] N. Europe : les traders siffleront bientôt la fin de la récré. Europe : les traders siffleront bientôt la fin de la récré Jacques Sapir - Economiste | Jeudi 5 Avril 2012 Contrairement à ce que prétend le président sortant, la crise est toujours là.

Selon l'économiste Jacques Sapir, elle éclatera à nouveau cet été, peut-être même avant. Après avoir diagnostiqué les raisons de ce rebond de la crise des dettes souveraines, Jacques Sapir s'engage et affirme que les principaux candidats n'y sont pas préparés et semblent dans le déni de réalité. (Des traders au siège de la bourse new-yorkaise, le 2 avril - Richard Drew/AP/SIPA) Depuis le début de cette semaine, les opérateurs des marchés financiers signifient à tout le monde que la crise de l’euro est toujours d’actualité. Le mercredi 4 avril, l’Espagne a placé avec beaucoup de difficultés un emprunt d’un peu plus de 2,5 milliards avec des taux qui sont passés de 3,38% à 4,42%. Les difficultés financières contre lesquelles se débat le pays sont, bien entendu, la cause de cette situation.

L’heure des choix. It's not all bad news from Greece (Includes interview and first-hand account) Athens - Despite the crisis in Greece, there are a plethora of sustainable, ecological and ethical initiatives being offered throughout the country. Already in Athens the alternative economy is starting to catch on. People who have had to sacrifice many of life's little pleasures because of financial constraints are discovering that you don't always need money to get what you need. My partner and I were just shopping for a therapeutic massage on an alternative currency website. After some comparisons we found a professional masseur who would come to our house and give a one hour massage for the affordable price of 35 Ovolos. Ovolos, which was a form of currency in ancient Greece, is a website that allows you to exchange goods and services without using Euros. Read more... So you can get lessons, repairs and services by using alternative currency or by joining a time bank, but what about food?

Real Deomcracy Media Team A photo of diners at the Steki Metanaston collective kitchen. Parlons de la banque et parlons en vraiment. "C'est Goldman Sachs qui dirige le monde, pas les gouvernements" Interrogé lundi 26 septembre sur la BBC, Alessio Rastani, un trader indépendant de Londres, a parlé crûment de la crise financière actuelle. "L'économie va s'effondrer, et très durement. (...)

Les solutions envisagées ne vont pas marcher. " Questionné sur les solutions politiques qui pourraient rassurer les marchés, il n'a pas non plus fait dans la dentelle: "Nous ne soucions pas vraiment d'avoir une économie qui repart. Notre boulot, c'est de faire de l'argent. Personnellement, j'ai rêvé de ce moment pendant trois ans. J'allais au lit en rêvant d'une nouvelle récession. (...) La récession est une opportunité pour nous. " "Les gouvernements ne dirigent pas le monde. Siemens moves millions from French bank to ECB.

Société Générale: les vraies raisons du retrait de Siemens. Le retrait par Siemens de 500 millions d’euros auprès de la Société générale, est révélateur d’une nouvelle tendance : face à la crise financière et l’assèchement du crédit, plusieurs entreprises allemandes ont trouvé la parade: fonder leur propre banque. "On n’est jamais mieux servi que par soi-même" , le célèbre adage semble désormais en passe de s’appliquer aux entreprises en Allemagne, alors que plusieurs d’entre décident de se passer des banques.

Siemens en est la figure de proue: elle retire ses billes de ses différentes banques. La Société Générale en fait les frais aujourd’hui et est probablement en train de perdre un de ses plus importants clients. Cependant, contrairement à ce qui a pu être dit ou écrit, ce n’est pas les nouvelles difficultés rencontrées par la banque française qui a précipité une opération "Sauve qui peut" de la part de Siemens. "Les banques font semblant, mais ne prêtent plus" Il y a un an, Siemens a donc trouvé la solution, créer sa banque perso.