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A nation of workaholics: Moritz Erhardt worked eight all-nighters in two weeks. For three days in a row he was in the office until 6am - Home News - UK. The other time was as foreign editor of the The Independent. Anyone who has done such a job will tell you, at great length and particularly if they've been a features writer, that news editing is the most arduous thing you can do on a newspaper; it takes a special sort of lunatic (not me) to manage it for more than a few years. As the middle-man between reporters who want to write the story one way and senior editors who want to headline it another, you are, as one of my superiors memorably put it, "the shit in a shit sandwich". The hours are long, the pressure on your judgement is significant and you have to pretend to know about everything – and the news keeps happening all the time.

Any sort of lunch break feels like a dereliction of duty. A day off feels like a reckless invitation for a revolution in the Middle East. Of course, there are those to whom such efforts will seem puny. That excess of ambition had set him on the path to his dreams. It wasn't always this way. War by media and the triumph of propaganda. War by media and the triumph of propaganda 5 December 2014 Why has so much journalism succumbed to propaganda? Why are censorship and distortion standard practice? Why is the BBC so often a mouthpiece of rapacious power?

Why do the New York Times and the Washington Post deceive their readers? Why are young journalists not taught to understand media agendas and to challenge the high claims and low purpose of fake objectivity? These are urgent questions. The times we live in are so dangerous and so distorted in public perception that propaganda is no longer, as Edward Bernays called it, an "invisible government".

The information age is actually a media age. This power to create a new "reality" has building for a long time. I was a correspondent in the United States at the time and recall the overnight elevation to guru status of the author, a young Yale academic, Charles Reich. That's a shocking statement, and one supported by other famous journalists to whom I put the same question.

Là-bas si j'y suis

These 6 Corporations Control 90% Of The Media In America. Le Monde, nouveau quotidien des entrepreneurs ? Le 29 avril 2013, Le Monde lançait en grande pompe une énième nouvelle formule. Confronté depuis 2005 à une baisse continue de sa diffusion, à une érosion de ses recettes publicitaires et à une multiplication des crises financières et des recapitalisations (situation qui n’épargne pas le reste de la presse quotidienne), le quotidien vespéral multiplie les tentatives de renouvellement de son offre éditoriale. Mais sous couvert de grands mots qui promettent d’innover pour réinventer le journal et le journalisme, se cachent bien souvent de simples artifices marketing qui visent à rendre l’information plus attrayante – en espérant un surcroît de ventes.

Nous montrions ainsi en 2010 [ 1 ] que le développement du journalisme « de questionnement » et de « contre-enquête » promu à l’époque ne cherchait pas tant à « mieux informer » qu’à développer « la marque » Le Monde en présentant de façon aguicheuse « le film de l’actualité »… Blaise Magnin. Deux troïkas, une seule ligne. Et si c’était dans son supplément littéraire hebdomadaire – Le Monde des livres – que se nichaient quelques-unes des rares voix hétérodoxes qui subsistent encore dans la rédaction du quotidien dit « de référence » ? Dans la page 6 de ce supplément, daté du 22 février 2013, quatre colonnes sont consacrées au livre posthume de Françoise Giroud, Histoire d’une femme libre [1], dont le manuscrit, rédigé dans les années 1960, et que l’on croyait perdu, a été récemment exhumé par Alix de Saint-André. Jusque-là, rien de que de très normal. Ce qui l’est moins, c’est un petit encadré reprenant un extrait de l’ouvrage, et qui a dû échapper à la vigilance du directeur de la publication… Pour le passage à publier, il n’y avait en effet que l’embarras du choix, mais on pouvait logiquement penser qu’il aurait trait au rapport passionnel de Françoise Giroud avec Jean-Jacques Servan-Schreiber, qui est au centre du compte rendu que Josyane Savigneau fait du livre.

Online Activism Against Mainstream Media: Spain´s Social Media Crisis of the Year. Everything started when a tv station (Telecinco, a Mediaset company) aired a paid interview in a leading variety show (“La Noria”) with the mother of a convicted criminal, guilty of a crime that shocked Spain in 2011. A widespread practice worldwide, the paid interview triggered a campaign on social media, led by blogger Pablo Herreros under the hashtag #otraTVesposible (“another tv is possible”). Quickly, more than 33,000 signatures were collected by Change.org online activism platform (in Spain it is called “Actuable.es”), requesting that the advertisers pulled-off their ads from the show. Brands like Vodafone, Decathlon, L´Oreal, Campofrio, Mercedes Benz, among others, started to follow the request to boycott the show, some of them expressing their embarrassment with the interview in formal statements or through their social media platforms.

Of course, the tv station struck back, trying to undermine the credibility of the blogger and of the campaign. Again, outrage in Spain. Connect: L’extrême-droite à l’assaut des médias et de la critique des médias. Une nébuleuse d’extrême droite Ils se défendent souvent d’être d’« extrême droite », puisqu’ils transcenderaient tous les clivages Qui sont-ils ? Ce sont les sites, nombreux et interconnectés, qui défendent une version nationaliste de la souveraineté nationale, une version xénophobe d’une prétendue identité française, un libéralisme économique national opposé au libéralisme économique transnational, une critique de la globalisation capitaliste qui, sous le terme de mondialisme, esquive le qualificatif.

Comme ce fut toujours le cas avec l’extrême droite et culmina avec le fascisme et le nazisme, les sites d’extrême droite se nourrissent de thèmes apparemment anticapitalistes contre « l’oligarchie » ou la « tyrannie médiatique », et se drapent derrière la défense du « peuple » – le « vrai » - contre les élites. Dans leur prose et leurs vindictes, l’islam d’aujourd’hui – rebaptisé islamisme - a remplacé le judaïsme d’hier. Ce n’est pas tout. Un Observatoire de type nouveau ? Des économistes hétérodoxes répondent au « Cercle des économistes » très orthodoxes. Le très (très…) médiatique Cercle des économistes organise, du 6 au 8 juillet 2012, les très (très…) médiatiques « Rencontres économiques d’Aix-en-Provence ».

Aux mêmes dates et dans la même ville, le très peu (très, très peu…) médiatique Cercle des déconnomistes organise les « Rencontres déconnomiques ». Nous publions ci-dessous, sous un titre de notre choix, le communiqué de réponse à une invitation qui leur fut faite. (Acrimed) Réponse des déconnomistes hétérodoxes au Cercle des économistes À leur grande surprise, les Déconnomiques ont été contactées par Olivier Pastré, porteur, pour le Cercle des économistes, d’une proposition de « débat contradictoire » avec quelques-uns de nos économistes à nous ! Passé le moment de rigolade, il a bien fallu s’interroger : quelle mouche les avait donc piqués ? Depuis dix ans, on ne voit qu’eux, on ne lit qu’eux, on n’entend qu’eux. L’un dans l’autre, le Cercle des économistes, à l’évidence, passe un sale quart d’heure. Tribune : journalistes politiques, journalistes pathétiques. « On est vraiment pathétiques, là... » Cet aveu désolé est signé Claude Askolovitch, journaliste à Marianne.

Il a été prononcé mercredi 13 juin, sur Direct 8, lors d’un débat sur le désormais célébrissime tweet de Valérie Trierweiler. À ses côtés, David Revault d’Allones, du Monde, Eric Brunet, de BFM – RMC, et Yves Thréard, du Figaro, que l’on pouvait voir, au même moment, face à Joseph Macé-Scaron sur i-Télé – ô magie du petit écran ! – pour un débat sur... le tweet de Valérie Trierweiler. L’émission de Direct 8, « Langue de bois s’abstenir », animée par Philippe Labro, se présente comme « le rendez-vous des éditorialistes de référence de la presse française ». Si l’un de ces « éditorialistes de référence » a soudainement poussé ce cri du cœur, c’est qu’il avait sans doute pris conscience de l’espace indûment occupé par un sujet certes inédit mais très secondaire. Le tweet ou le « ni-ni » ? Or que se passait-il au même moment ? Tweet ou pas tweet ? « Editorialistes de référence » Valérie Trierweiler, la “première journaliste de France” | @ Pèèèris.

EmailEmail La normalité commence sérieusement à m’enquiquiner et à m’inquiéter. Parce que, non, je ne trouve pas « normal » que Valérie Trierweiler demeure journaliste pendant le mandat de François Hollande, avec la complicité d’un magazine à grand tirage tel que « Paris-Match. » Je trouve même cela inacceptable, et je m’étonne que nous soyons si peu nombreux à en faire un flan. Sans doute parce qu’en France, ce type de position radicale sur le métier passe pour de l’intégrisme professionnel. Les esprits indépendants trouvent cette situation tout au plus « surréaliste », ce qui a doublement le don de m’énerver, en tant que Belge, pour l’emploi inapproprié d’un terme qui nous est cher.

Je reconnais volontiers le déchirement que peut représenter l’empêchement de se livrer à sa vocation. Et je suis lassée de constater que c’est systématiquement la femme qui doit remettre en cause sa carrière, pour ne pas faire ombrage à son compagnon. Laurence Ferrari, on t’aimait tant… "Autrefois c’est vous qui faisiez les images, et maintenant ce sont les images qui vous font" – Un journaliste en 1957 dans "Temps de cerveau disponible" de C. Nick Dans l’ordre chaotique du monde, le changement d’écurie médiatique de L. Ferrari fait figure d’épiphénomène microcosmique. Pourtant ce battement d’ailes de papillon déclenche des tempêtes de commentaires. Et pas seulement chez les initiés, les spécialistes en trombinoscope médiatique, en mercato journalistique où les interchangeables font le spectacle de leurs sarabandes.

Mais aussi chez les péquins, qui tous les soirs la recevaient à leur table. Les invités c’est important, on aime les choisir, pour leur tenue, la façon qu’ils ont de ne pas trop s’imposer, et pour la bonne humeur sécurisante qu’ils instaurent. Mais l’affaire est plus importante que ça. La diction, ça se travaille. Le boulot d’animateur de l’information, car c’est de cela dont il s’agit ne consiste pas à « faire du journalisme ».

Like this: J'aime chargement… The French media: in bed with power. Nicolas Sarkozy’s links with press barons are almost hilarious, with the entanglements of a Brazilian soap opera It’s easy to make the mistake of thinking that France is a left-wing country. I live in Paris on the marching route of the regular demonstrations – manifestations, known affectionately as manifs. On the radio on Saturday mornings, people wish each other “Bonne manif!”. The socialist François Hollande, favourite to win this spring’s presidential elections, says, “My adversary is finance.” But socialism is only the French surface. When I read French newspapers, I’m usually impressed. As French journalism has become upper-middle-class, it’s crept even closer to power, says Quatremer.

One way Parisians show off is by swapping gossip about politicians. More precisely, they respect the private life of powerful politicians. This tameness makes French media attractive to billionaires. France’s media-political embrace climaxed under President Nicolas Sarkozy. Simon.kuper@ft.com. 22 novembre 1918: écrasement du soviet de Strasbourg. 22 novembre 1918 : écrasement du Soviet de StrasbourgLe texte suivant est un article de Didier Daeninckx de novembre 2000. 11 novembre 1918 : le drapeau rouge flotte sur Strasbourg et l'Alsace proclame la République des soviets... Un jour, venant de Strasbourg où j'étais allé repérer les décors d'une nouvelle, je me suis arrêté devant la plaque d'une importante voie de la capitale alsacienne, la « rue du 22 novembre ».

Je ne saurais dire pourquoi cette dénomination avait attiré mon attention, mais j'avais demandé à un passant à quel événement elle faisait référence. « A la Libération, en 1944 », m'avait-il répondu. Un simple coup d'oeil sur un livre d'histoire régionale m'apprit que les troupes du général Leclerc avaient fait leur entrée fulgurante dans Strasbourg le 23. La plaque émaillée bleu comportait une grossière coquille historique, ou alors elle commémorait un autre fait marquant. Il en sera de même dans toutes les villes des deux provinces perdues en 1870. . – Neuf-Brisach ! 6a01053693348d970c0168e5bdf735970c-pi (2549×1733)

Les Nouveaux Chiens de garde et les aboiements de Laurent Joffrin. « Laurent Joffrin : “Les nouveaux chiens de garde ? Une opération politique” » : tel est le titre de l’entretien que Laurent Joffrin a accordé à Renaud Revel, pour Lexpess.fr, le 16 janvier 2012. Parlant du film, en effet, Laurent Joffrin affirme : « on voit bien qu’il participe d’une opération politique menée par un petit groupe venu de l’extrême gauche. » Que voit-il exactement ? Depuis près de trente ans au moins, depuis la diffusion de la mémorable émission « Vive la crise », le 22 février 1984, Laurent Joffrin modernise et refonde la gauche [1] : c’est son droit, c’est même son job ! C’est, du même coup, l’une de ses principales occupations de… journaliste. Alors, vous pensez bien qu’en matière d’opération politique, c’est un connaisseur ! Joffrin lui-même est un expert : un expert, non seulement en refondation permanente de la gauche, mais aussi en critique de la critique des médias. Il a même écrit un livre.

Méprisables méprises La preuve que « cela » n’existe pas ? Henri Maler. Bientôt, nous ne serons plus "bon enfant". Plus de mille personnes rassemblées pour huer les parrains du capitalisme, on s’est dit : « Bon, les journaux vont en parler. » Mais non. Une semaine s’est écoulée, et rien. Pas un mini-papier. Pas une ligne nulle part. Donc, bon, il faut bien qu’on se charge de saluer notre propre triomphe… « Ouh !

Ouh ! C’est bien difficile de les départager, nos douze Gens Pires, livrés à la vindicte populaire lors de notre Nuit des Rapaces. Jusqu’au verdict : « Pour chacun de ces personnages, nous avons mesuré le taux de mécontentement en décibels, résume Antoine Chao – l’huissier en charge du ouhouhmètre. C’est Gérard Filoche qui a choisi la patronne des patrons. Ça me rappelle la première fois qu’on l’a rencontré, Gérard Filoche. Fakir était au creux de la vague, presque au fond du trou, à l’hiver 2008. Il faut ici citer deux copains, Antoine et Liévin, qui ont depuis vogué vers d’autres horizons - une école d’ingénieur pour l’un, du conseil auprès de sociétés coopératives pour l’autre.

Techniques subliminales et politique. Un équilibrage du son troublant sur France 2 Le hasard d’un voyage en région parisienne m’a conduit à regarder en famille l’émission « On n’est pas couché » ce samedi 17 octobre sur France 2 avec comme invité Jean-Luc Mélenchon. N’ayant pas de télévision, je ne regarde pas une émission de façon passive mais plutôt comme un événement rare à l’occasion duquel je privilégie l’analyse et le regard critique. Je connais Mélenchon à travers ses vidéos et son blog sur Internet et je me prépare à suivre cette émission avec intérêt. Jean-Luc Mélenchon sur France 2 à "On n'est pas couché" Sur cette vidéo à la minute 28, on entend le passage de parole de Jean-Luc Mélenchon à Natacha Polony.

Si l’on écoute attentivement la prononciation des « S », on constate une différence notable de sonorité. On relève également cette différence avec Frédéric Beigbeder et Audray Pulvar ainsi qu’avec François de Closet, seul Mélenchon est affecté par cette réduction de bande passante dans les aigues. « Crise des dettes » ? « Notre hymne à la rigueur », par les experts médiatiques. La chaîne alimentaire des médias. Les patrons de presse n’ont que faire de la déontologie (SNJ) Carte interactive des médias web français. Junk journalism does to our brain what junk food does to our body. L’Explosion du journalisme. Pierre Desproges à propos de la privatisation de TF1 - Prenons l. French gag : un grand patron de presse renonce par conviction au. Guerre et presse. Mise sous tutelle de la presse en ligne ? En ligne, les journalistes n'ont pas inventé grand chose - novöv. Le journalisme dans de sales draps « Piratage(s) 5 journalistes cloîtrés : une expérience sur Twitter et Facebook.

Des blogueurs critiquent les sites d'info. Blogueurs vs journalistes : le prix Iznogoud ? France 2 célèbre la mise en concurrence du trafic ferroviaire - Procès en diffamation de Bolloré contre France Inter (Survie) - Lire, sur la presse économique, Critique de la raison journalist. Le Tribunal du « Grand Journal » de Canal Plus juge Vincent Peil. Vincent Peillon face à Laurent Duhamel - France Inter - une vidé. « La Faute de M. Peillon », fable (1) : Haro sur le tricheur - A. « La Faute de M. Peillon », fable (2) : « Circulez, y a rien à v. L’impossible critique des médias par la gauche – Le cas V. Peill. Le "data journalism" contre Albert Londres. NSFW: After Fort Hood, another example of how ‘citizen journalis. La Loppsi : sujet tabou dans les médias ? "Trop geek" selon L'Ex. Arte dénoncera "les effroyables imposteurs" du Net mardi à 20H35. « Huit journalistes en colère » sur Arte : contre eux-mêmes ? Il. Apocalypse news.

« Effroyables imposteurs » sur Arte : le roi est nu - Acrimed | « Effroyables imposteurs » sur Arte : le roi est nu - Les blogs. Peter Watkins, une bouffée d'oxygène dans la pollution audiovisu. « La théorie du complot » en version France Culture (par P.-A.Ta. L’indécence commune selon D. Pujadas « Piratage(s) « Audiovisuel Public : le Conseil d’Etat sanctionne les excès du. Nicolas Demorand, gardien de la démocratie ? - Acrimed | Action. Situation et stratégie du groupe News Corporation de Rupert Murd. Aujourd'hui, interro écrite sur l'avenir du journalisme ! - novö. La médiatisation de l’enquête de Florence Aubenas : un cache-mis. Le documentaire « Le jeu de la mort » : une critique de la télév. Les journalistes tombent de leur piédestal | slate.