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IT'S OFFICIAL: ISDA TRIGGERS GREEK CDS. Greece confirms debt swap deal success. 9 March 2012Last updated at 16:46 ET Greek Finance Minister Evangelos Venizelos: "This is the only route to put the country back on its feet" Greece took an important step towards its second bailout after it managed to win a crucial debt swap, European leaders have said. The Greek deal with banks and other lenders is the largest restructuring of government debt in history. Some lenders who lost money as a result of the debt swap will be compensated. That is after the International Swaps and Derivatives Association classified the deal as a "credit event", triggering insurance payments. Under the debt swap, banks and other financial institutions have agreed to exchange their existing Greek government debt for new bonds, which are worth much less and pay a lower rate of interest.

Some investors bought a type of insurance against that happening. The credit ratings agency, Moody's declared Greece in default on its debt on Friday. It said the terms of the debt swap met its definition of a default. Unhappy new year for Greece | Business. "The bailout agreement needs to be signed otherwise we will be out of the markets, out of the euro. The situation will be much worse. " That was the unhappy new year message from the Greek government and probably should not be regarded as another attempt to coerce the voters into accepting deeper austerity measures. Rather, it sounded like a plea to private sector holders of Greece's bonds to please hurry up and accept 50% haircuts on their investments. The so-called PSI (private sector involvement) deal was announced in October but still has not been agreed, despite frequent optimistic noises from Athens.

This is fast becoming a serious headache, since the next bailout, which has to happen before a €14bn (£11.7bn) Greek bond matures at the end of March, will stall without it and Greece would indeed be on its way out of the euro. The problem is twofold. That's the second problem: the projections have become so strained that the October deal is starting to lose credibility. Dettes européennes : premiers pas vers une annulation. En juillet dernier, le monde de la finance privée s’est pris à frissonner d’effroi lorsque les autorités européennes reconnurent la nécessité d’une décote de 21% pour la dette grecque. Réunis ce week-end dans ce qu’ils appellent un dernier compte à rebours, les mêmes autorités viennent de porter cette décote à au moins 50%. En attendant mieux (enfin, pire pour certains !)

Une décote, qu’est-ce ? Ben justement, un sale coup pour les caisses, celles des banques qui, comme dit la plèbe, vont pouvoir s’asseoir sur leurs créances pourries. La “décote”, vous savez, c’est un de ces mots pudibonds avec lesquels on masque des réalités qui sont, elles, bien plus crues. En l’occurrence, cette “décote” de plus de la moitié de la dette grecque, c’est une autre façon de reconnaître que le pays est bien en défaut de pouvoir la payer et que les banques créancières vont essuyer des pertes équivalentes ! Pastille Valda contre angine carabinée Un divorce à l’amiable… contraint et forcé. La lettre de cachet du seigneur Trichet à son féal Berlusconi. Petit à petit, la crise de la Grande perdition taille en lambeaux les ultimes fausses apparences du système et met à nu les ressorts d’une malsaine réalité. Ainsi de cette lettre « secrète » du président de la Banque centrale européenne (BCE), Jean-Claude Trichet, au premier ministre italien, Silvio Berlusconi.

La lettre remonte au 5 août dernier, mais vient seulement d’être révélée par le quotidien italien Corriere de la Sera. Son contenu est si imbuvable que peu à peu, elle est reprise aux quatre vents et remonte en surface comme malodorant cadavre. Une privatisation à peine déguisée des États Que contient donc cette lettre pour sentir ainsi le souffre ? « la libéralisation totale des services publics locaux et des services professionnels […] via des privatisations de grande ampleur »« une révision en profondeur des règles régissant le recrutement et le licenciement des salariés »« intervenir davantage dans le système de retraites » [M. Y a-t-il un “oui-ouiste” dans la salle ? M. Si la Grèce fait défaut... La Grèce a de fortes chances de ne plus pouvoir rembourser ses créanciers et de payer les intérêts dus. Dans ce cas, son système bancaire s'effondrerait, le FMI et l'Union européenne renforceraient leur tutelle, mais la Grèce pourrait renégocier une réduction de dette.

Les représentants de la troïka constituée par la Banque centrale européenne (BCE), la Commission européenne et le Fonds monétaire international (FMI) ont brusquement quitté la Grèce au début du mois. Ils avaient peu apprécié de constater que le pays ne remplissait pas ses engagements en matière de réduction des déficits et avait pris du retard dans la mise en œuvre des mesures convenues. Du coup, le gouvernement grec tente de mettre en place de nouvelles mesures d'austérité, notamment en matière de réduction des retraites et de suppression d'emplois publics. Quelles en seraient les conséquences ? Pour la Grèce, cela signifierait tout d'abord que son système bancaire tomberait en faillite et qu'il faudrait le soutenir. Grèce: La tutelle ou la faillite. Que faire pour aider la Grèce à sortir du marasme ? « Si on n’est pas capable de résoudre le problème d’un pays qui pèse 2 % du PIB de la zone euro, alors tout bascule.

Car ce cela remettra en cause tout le projet de stabilisation et d’intégration du continent européen que l’on poursuit depuis 1950 », estime ce responsable européen qui a requis l’anonymat. « La Grèce est un problème modeste, mais c’est un détonateur dans un vaste explosif ». Plusieurs solutions pour redresser les comptes publics grecs sont envisageables. Décryptage. * Le défaut de paiement Pour les marchés, c’est acquis, le défaut grec aura bien lieu. Plusieurs partis – surtout minoritaires — de la droite et de l’extrême droite européenne, en Allemagne, aux Pays-Bas, en Autriche, en Slovaquie ou en Finlande militent aussi pour cette solution extrême.

. * Placer la Grèce sous administration européenne C’est la politique adoptée par la zone euro et le FMI depuis deux ans. . * Créer un « Trésor européen » Photo: Reuters. Yes, Greece could devalue (while staying in the euro) La BCE, donjon vacillant de l’Europe. Tandis que l'opinion publique s'acharne sur les grecs, le rôle, souvent oublié, de la Banque centrale européenne dans la gestion de la crise financière n'est pas inoffensif Sur fond de manifestations violentes à Athènes, de débats tendus au parlement grec où de nouvelles mesures d’austérité viennent d’être votées, et pendant que les dirigeants européens et les créanciers de la Grèce se réunissent à Rome afin d’éviter une faillite de la Grèce, le débat a tendance à cliver l’opinion publique : qui sont les coupables de la situation actuelle ?

Est-ce le peuple grec ? L’oligarchie qui l’a dirigé et la dirige encore ? Est-ce la faute au FMI, à l’euro, à l’Europe ? Et pendant ce temps, il reste un acteur majeur dont le rôle est largement sous-estimé, voire ignoré : la Banque Centrale Européenne (BCE). Rôle qu’elle a pris à coeur depuis 2008 et qui, à force d’en abuser, menace aujourd’hui la prospérité et la démocratie en Europe. Comment la BCE a gonflé la bulle immobilière Photos flickr doug88888. Angela Merkel, « l’homme malade » de l'euro. « Si la chancelière allemande, Angela Merkel, avait proclamé en décembre 2009 sa solidarité avec la Grèce, cela aurait marqué la fin de la crise », a affirmé tout à l’heure, Jorgo Chatzimarkakis, à Bruxelles, lors d’une conférence de presse.

Pourtant, ce député européen allemand est membre du FDP, le parti libéral qui, en Allemagne, estime que Merkel est trop molle dans la crise grecque et qu’il y a longtemps qu’on aurait dû laisser Athènes faire faillite. Le fait que ce député critique ainsi ouvertement Angela Merkel, montre que le vent est peut-être en train de tourner à Berlin face à la désastreuse gestion de la crise par le gouvernement conservateur-libéral (CDU-CSU/FDP). Dans la plupart des pays de la zone euro, l’exaspération est déjà à son comble : « en instillant le doute sur l’appartenance de la Grèce à l’euro, on a créé la crise dans laquelle on est », a ainsi martelé Guy Verhofstadt, le président du groupe libéral et démocrate du Parlement européen. Photos: Reuters. Grèce: la crise sans fin. Comment donner de l’air à une Grèce qui ne parvient pas à sortir la tête de l’eau ? Vendredi, à l’issue du G8, Nicolas Sarkozy a reconnu qu’il faudrait sans doute en passer par une «restructuration douce» de la dette publique grecque, qui dépasse 150% de son PIB, bien que le mot demeure tabou : «Si la restructuration signifie qu’un pays ne doit pas rembourser ses dettes, c’est non, ce mot ne fait pas partie du vocabulaire français.

En revanche, si la question est de savoir comment les investisseurs privés ou les partenaires privés peuvent prendre une part du fardeau, il ne s’agit pas du tout d’une restructuration […] et nous devons avancer dans cette direction.» Il est vrai que dix-huit mois après le début de la crise de la zone euro, le cauchemar semble ne jamais devoir finir. Dire que le bateau euro tangue est donc un euphémisme.

Les chefs d’Etat et de gouvernement du G8 se sont logiquement inquiétés de la situation. A lire aussi, l'article de Charles Wyplosz sur le site Telos. All For One Euro And One Euro For All? La Grèce n'est plus en mesure de rembourser sa dette. Pour beaucoup d'économistes, la dette grecque, qui a atteint près de 143 % du PIB en 2010 contre 105 % en 2007, est devenue insoutenable. Et ce, malgré les 110 milliards d'euros sur trois ans mis sur la table il y a tout juste un an par l'Europe et le FMI.

Cette somme avait été calibrée pour faire face à une crise de liquidité, c'est-à-dire l'incapacité momentanée d'Athènes à se financer sur les marchés à des taux raisonnables. Or, le plan de rigueur imposé à la Grèce n'a pas permis d'inverser cette tendance. Il s'est révélé très défavorable à la croissance : la récession a atteint 4,5 % du PIB en 2010. Du coup, les recettes budgétaires ont été très décevantes. Le gouvernement socialiste de Georges Papandréou a bien coupé dans les dépenses de l'État, mais il a été incapable de s'attaquer réellement à la fraude fiscale, presque un sport national en Grèce. L'impossible retour sur les marchés Les risques d'une restructuration Les autres solutions Comment éviter d'en arriver là ?

Expectations Grow for Greek Debt Restructuring. La dette grecque continue d'inquiéter les marchés - Economie. Organiser enfin le défaut grec - POLITIQUE ECONOMIQUE. Sean O'Grady: Delaying doomsday in Athens may help to stave off economic apocalypse - Business Comment, Business. Greece has, in effect, been locked out of capital markets for some time, its funding needs met by the €110bn (£97bn) rescue loan organised by the EU and the IMF last May, plus some stealthy funding via its private banks from the European Central Bank, apparently happy to take near-junk Greek bonds as collateral.

The €110bn rescue package could be seen in that sense as a way of offering the Greeks some breathing space to prepare for the inevitable – clearly the way the Germans see it. The real question is whether it sparks another, more severe "contagion", in which a whole series of European countries just tell their bondholders to get lost. That risk is ramped if the governments – and voters – of creditor nations such as Germany and, most recently, Finland, tire of loans and tilt towards restructuring as an inevitable, though painful, alternative to constant infusions of cash.

As always, the biggest domino, Spain, will determine the course of events.