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Le "so called" plan de sauvetage activé

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Les clés du nouveau plan d'aide à la Grèce. La dernière tranche d'aide débloquée Le suspense aura duré trois semaines. L'UE et le FMI ont finalement donné vendredi leur feu vert au versement "début juillet" de la 5ème tranche d'aide. Ils avaient menacé ces derniers jours de geler le versement de la dernière tranche de 12 milliards d'euros du prêt de 110 milliards consenti au pays en mai dernier si le gouvernement n'intensifiait pas ses efforts pour réduire le déficit.

Une enveloppe de prêts supplémentaire Mais le paquet d'aide initial ne va pas suffire. Un an après le sauvetage, associé à un premier plan d'austérité, la Grèce n'arrive pas à recouvrer sa crédibilité. Toujours plus d'austérité Le gouvernement grec va devoir encore muscler son programme de rigueur, avec des mesures d'économies portées à 6,5 milliards d'euros en 2011, et à 22 milliards sur la période 2012-2015. Le gouvernement avait dévoilé l'essentiel de ces mesures le 23 mai dans un programme budgétaire à moyen terme. 50 milliards d'euros de privatisations.

Greek Set to Get Next Aid Installment. Pourquoi la dette grecque ne sera pas restructurée. Sauvetage grec - Bruxelles juge le refus slovaque inhabituel. La Grèce à tous les étages - Grèce aides banqueroute FMI DSK - l. Paru dans leJDD Dominique Strauss-Kahn s'entretient avec les ministres américain et français de l'Economie, Timothy Geithner et Christine Lagarde. (Reuters) Tout faire pour sauver la Grèce et rassurer les marchés. Maintenant que le plan d’aide est activé, que va-t-il se passer? De part et d’autre de l’Atlantique, on prépare les prêts d’urgence. Justement, la monnaie européenne, les Allemands y tiennent, mais sans la Grèce.

Bruna Basini et François Clémenceau - Le Journal du Dimanche. Christine Lagarde: la zone euro solidaire mais pas complaisante. Minister: Germany could say no to Greece aid. German Finance Minister Wolfgang Schaeuble says that Germany has not yet decided whether it will agree to Greece's request for financial aid. Schaeuble told weekly Bild am Sonntag the fact that neither the European Union nor Germany have made a decision regarding Greece's aid request until now means that the answer could be either positive or negative.

The minister said the decision depends on whether "Greece will continue its tough savings plan for the coming years. " Greece said Friday it would ask for a joint euro zone-International Monetary Fund financial rescue -- a move that has the German public concerned that their tax money is going to bail out another country. IMF chief Strauss-Kahn tries to ease Greece fears. Dominique Strauss-Kahn, the managing director of the International Monetary Fund, says the Greek people should not fear the IMF. He was responding to a Greek journalist who said Greeks are demonising the IMF and fear the country's economic crisis will be worse with its involvement. He replied that the IMF was there to help Greece, but deflected questions about negotiations with its government.

On Friday, Greece asked for an EU-IMF bailout of its debt-ridden economy. Mr Strauss-Kahn was speaking after the agency's main ministerial steering committee met in Washington. 'Act fast' The agency has a reputation for requiring borrowing countries to make deep cuts in popular government spending programmes, says the BBC's economic correspondent, Andrew Walker, from the IMF headquarters in Washington. "Greek citizens should not fear the IMF," he said. Meanwhile, politicians from Greece's fellow Eurozone members, France and Germany, have warned Greece it must be far more prudent in future. Athens protest.

Germany Holds A Gun To Greece’s Head – 24/7 Wall St. The ministers attending the G20 conference urged the IMF and Eurozone nations to handle the debt situation in Greece as quickly as possible. There is understandable concern that if the capital markets fear that Spain’s problems are not unlike like Greece’s that traders could sell off Spanish sovereign debt and crippled that nation’s ability to raise money. This would spread the bailout problem to two countries and other weak European economies could follow. The key to the 45 billion euro package to Greece is Germany, the largest economy in Europe. The IMF will supply as much as 15 billion euros to the rescue plan, but analysts say that Germany would have to provide half of the Eurozone contribution. Chancellor Angela Merkel is certainly under pressure to walk away from the aid package. Merkel has been slowly backing away from the plans to help solve the Greek debt crisis. It is assumed that the IMF will be charged with negotiating with Greece to create an austerity budget.

Douglas A. Greece bailout casts shadow over G20 talks | Business | The Obse. The International Monetary Fund (IMF) and the European Union are scrambling to agree a joint package of financing for Greece after the country's deepening financial crisis forced its government to make an urgent call for rescue. With figures of up to €45bn being talked of as a first instalment, Greece's bailout will dwarf anything previously undertaken by the IMF. The huge sums and disputes over the terms of the joint aid package have cast a pall over the meeting of finance ministers in Washington for the G20 meeting this weekend. "This is uncharted territory for the IMF," said one British official who wished to remain anonymous.

Dominique Strauss-Kahn, the IMF's managing director, said: "We have been working closely with the Greek authorities for some weeks on technical assistance, and have had a mission on the ground in Athens for a few days working with the authorities and the European Union. We are prepared to move expeditiously on this request. " Grèce: la zone euro se prépare à approuver dimanche le principe. Crise grecque : le pire n'est pas sûr. La situation est grave, mais il ne faut pas exclure que la crise grecque se révèle, au final, bénéfique pour l'Europe. Ce sont les crises qui font progresser l'Europe : c'est toujours dans l'urgence et devant la nécessité qu'on parvient à faire évoluer des textes qui, pourtant, paraissaient jusque-là « gravés dans le marbre », qu'on arrive à remettre en cause des règles et des procédures que des années de négociations intensives n'avaient pas permis de faire bouger.

A condition, bien sûr, de résoudre la crise avant qu'elle ne prenne des dimensions catastrophiques et ne menace la construction européenne elle-même. Cette règle va-t-elle se confirmer une fois encore avec la crise grecque ? Jusqu'à maintenant, c'est plutôt le sentiment inverse qui s'est imposé : à chaque fois qu'une issue semblait se dessiner, elle était remise en cause dans les jours qui suivaient. Au point que l'euro a semblé jusqu'ici de plus en plus gravement menacé. Il faut choisir son camp Commenter cet article. La BCE s’affranchit des agences de notation - Coulisses de Bruxe. C’était prévisible, c’est fait.

Ce matin, la Banque centrale européenne a décidé de ne plus tenir compte de la note de la dette souveraine grecque afin de s’émanciper de la tutelle des agences de notation. En effet, Standard&Poor’s avait dégradé de trois crans la dette grecque le 27 avril dernier, de BBB+ à BB+, la reléguant au rang des investissements spéculatifs, les obligations pourries (junks bonds).

En apparence technique, cette décision aurait pu avoir un effet catastrophique pour Athènes, la BCE ne prêtant de l’argent aux banques commerciales qu’en échange d’actifs notés au minimum BBB-. Cela posait un véritable problème à la BCE, puisqu’il apparaissait que les agences de notation avaient clairement le pouvoir de l’obliger à refuser la dette souveraine d’un État membre de la zone euro, alors même qu’elle affirme que la cessation de paiement n’est pas une option sérieuse et que le plan d’austérité de la Grèce est crédible.